Le poing taquin:
Cette technique a un point commun avec celle du "doigt taquin", d’où son nom: la stimulation du frein par petits mouvements de la peau du prépuce qu’on fait glisser dessus. Mais je pense que si tu es circoncis, elle doit aussi avoir son intérêt, à condition d’utiliser un lubrifiant. Pour arriver à trouver la position de départ, commence par placer ta main préférée sur ta queue, avec la prise du poing. Bascule ensuite ton pouce de l’autre côté, face postérieure, celle du frein, autrement dit du côté des quatre autres doigts, ceux-ci restant repliés sur la hampe pour bien la maintenir. Le bout de ces doigts touche le flanc de la hampe. Avance enfin ta main et ton poignet dans l’axe du bras tout en enroulant ces quatre doigts sur la hampe jusqu’à ce que leur extrémité vienne toucher franchement la face antérieure de ton manche. L’auriculaire y arrive moins bien: laisse-le se placer où il veut, il ne participera pas au mouvement. Contente-toi alors de tenir ton manche avec trois ou quatre doigts: la base du pouce sur le frein, perpendiculairement à la hampe, l’index, le majeur et éventuellement l’annulaire de l’autre côté, en opposition, l’ensemble formant une pince qui serre un peu sa prise. Tu n’as plus qu’à exercer des mouvements de va-et-vient de faible amplitude (2 à 3 cm), de bas en haut, pour une caresse exquise. La première phalange du pouce (quel taquin!) produit l’impression d’un petit rouleau, qui lamine, en douceur bien sûr, mais avec insistance, le frein et les deux jolis coussinets que le gland forme sur la face postérieure de ton bel outil. Tandis que l’index et le majeur sont comme deux petits rouleaux qui pressent la couronne de ton gland au niveau de la face antérieure. Un ascenseur de plaisir…
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