Ces pages sont là exprès pour toi... Parle-nous de tes expériences, de tes aventures ou de tes fantasmes.
J'étais étendu sur le ventre à étendre de la tourbe. J'avais la tête vers le bas de la pente. Tout à coup je sentis quelque chose tout au bas de mon ventre. Ce quelque chose devenait de plus en plus plaisant. Si bien que le désir d'arrêter devenait une chose de plus en plus improbable. Mais je n'étais pas seul et cela me gênais beaucoup. J'avais peur qu'on s'apperçoive de quelque chose. Je perdis tout contrôle et les mouvements que je faisais provoquait des plaisirs très invitant. Puis il est arrivé un moment où j'ai perdu contact avec mon entourage et je fus envahi par quelque chose de tout nouveau mais combien agréable. J'aurais aimé que ça ne cesse jamais. Puis lentement j'ai repris contact avec mon environnement. Je sentis que mes petites culottes étaient toutes mouillée. Là ma peur fut grande qu'on voit l'effet de ce liquide. Puis je me suis rendu à une toilette. Là je fus étonné de constater tout ce liquide blanchâtre. Là encore je me sentis tout exité et coupable. Mais je venais de découvrir le plus grand plaisir qui ne m'avait jamais été donné de vivre.
- Anonyme (26/10/1997)
Ah ah, petit curieux ! C'était dans la voiture de mon papa. Non, rassure-toi : pas d'attouchements incestueux, mais tous simplement les vibrations de la voiture transmises à la ceinture de sécurité arrière qui s'appuyait sur ma verge... ce qui me faisait bander. Un jour, je devais avoir 6 ans, j'ai posé la question à ma maman (quelque chose comme « maman, pourquoi j'ai le zizi qui durci ? ». Elle m'a tout simplement répondu que c'était normal. Évidemment, je ne trouvais rien de normal à cela, mais je n'ai rien ajouté. J'ai juste amplifié l'effet des vibrations. C'est comme ça que j'ai commencé à me masturber.
- Anonyme (12/11/1997)
Au pensionnat où je suis arrivé en cours d'année, le dortoir était transformé la nuit en un vaste lupanar, avec masturbation collective et fellation mais pas de pénétration (50 par classe). Et c'est là que j'ai commencé, au début sans émission de sperme, puis petit à petit le liquide est apparu.
- Anonyme (14/11/1997)
Un soir, juste après m'être couché, j'ai senti que ma bite était raide. D'habitude ça se calmait assez rapidement, mais cette fois-là ma queue ne semblait pas vouloir débander. C'était assez gênant car je ne pouvais pas dormir avec ma tige dressée entre les cuisses. J'ai donc décidé d'appuyer dessus avec ma main. Le problème, si on veut, c'est que plus j'appuyais dessus plus elle devenait rouge et chaude. En plus, c'était extrêmement agréable. J'ai donc continuer de la triturer il faut le reconnaître assez maladroitement, ce qui ne m'a pas empêché de lâcher ma première dose de foutre ! J'étais désemparé d'avoir la pine et le ventre englués de foutre. J'ai pris alors mon slip et je me suis essuyé la bite et le ventre avec. Le lendemain matin, j'ai retrouvé mon slip tout amidonné !
- Anonyme (20/11/1997)
Ma découverte de la masturbation a peut-être été un peu trop cursive. À l'âge de six ans, j'avais une gardienne qui aimait bien que je la touche sur la vulve quand ma soeur dormait dans l'après-midi. Par ce fait, ma sexualité s'est vite développée et j'ai commencé à jouer avec mon pénis.
Je me rappele encore de ma grand-mère qui m'avait attrappée à jouer avec mon pénis et qui me faisait de grands sermons en disant que c'était pêché et que le bon Dieu n'aimait pas ça. Ça m'a pris plusieurs années avant que je ne me sente plus coupable de le faire...
Aujourd'hui je me masturbe de façon régulière, et ce, même si j'ai des relations sexuelles régulièrement avec ma blonde. C'est même un besoin ; ça me détend et ça me fait du bien. On dirait que beaucoup de mes émotions sortent par là. Moi-même, quelques fois, quand je me masturbe 3 fois par jours je me demande si je n'ai pas un problème mais en lisant ta page, Onan, tu me réconfortes. Hé hé hé !
- Anonyme (27/01/1998)
Je devais avoir dans les 13 ans et demi. Je bandais depuis déjà longtemps, mais je n'avais encore jamais eu d'orgasme. Je n'ignorais pas qu'on pouvait se branler, mais cette idée me mettait mal à l'aise. Sur mon lit traînait un grand chien en peluche, tout aplati et assez épais. Un jour que j'étais seul, j'ai pris des ciseaux et j'ai taillé une fente entre ses pattes arrières. Je me suis déshabillé et me suis étendu sur lui. Je bandais comme un taureau. J'ai introduis ma queue dans la fente et me suis mis à limer. La mousse à l'intérieur de la peluche facilitait le glissement de ma queue. Au bout d'un moment, j'ai déchargé en me tapant mon premier et plus bel orgasme. Puis, je me suis retiré et j'ai recousu la fente. J'ai alors décidé de m'en servir à chaque fois que j'aurais envie de me vider les couilles. N'est-ce pas une bonne idée ?
- Anonyme (25/02/1998)
Je me souviens : c'était dans la chambre de mes parents.
Je me souviens : ils avaient un couvre-lit en fourrure. Une horreur. Je me souviens que le contact était doux. Je ne me souviens pas bien de mon âge, peut-être 10 ou 11 ans. Je me souviens que mon frère et moi fouillions dans les affaires de mes parents... et qu'un jour, nous avions trouvé un « Lui » oublié. Je me souviens que je me suis allongé sur le ventre. C'était doux, fort, chaud entre mes cuisses. Très dur aussi...
Je me souviens que plus je tournais les pages et plus je voyais ces femmes aux jambes ouvertes, plus l'excitation montait. Je me souviens que certaines étaient épilées et d'autres pas. Que leurs chairs étaient rouges et qu'elles avaient l'air d'aimer jouer avec leurs doigts.
Je me souviens que je me frottais contre la fourrure et que c'était de plus en plus dur et chaud. Je ne me souviens plus si mon frère faisait la même chose. Je me souviens du moment ultime où j'ai senti une décharge électrique : je n'avais aucune idée de ce que cela pouvait être. Je me souviens que ce fut délicieux et que j'étais trop jeune pour éjaculer...
Depuis la masturbation est ma meilleure amie.
- Louis (26/02/1998)
J'ai découvert que je pouvais avoir un orgasme par hasard. À l'époque (j'avais environ 11 ans), je croyais être le seul à avoir découvert cet extraordinaire plaisir.
J'avais l'habitude d'utiliser le masseur à vibration électrique de mes parents pour me masser les jambes. Un jour, j'ai eu l'idée de me masser un peu partout sur le corps. Je me suis déshabillé pour mettre la tête vibrante sur mes couilles, juste pour essayer. La sensation ne fut pas très agréable, je la qualifierais même de douloureuse. J'ai eu alors l'idée d'essayer sur mon pénis. À ma grande surprise mon pénis s'est mis à durcir après quelques secondes. J'ai donc continué à le faire vibrer. Mon pénis devenait de plus en plus ferme à mesure que les secondes s'écoulaient.
Je ne savais pas comment ça allait finir, mais je trouvais l'expérience très intéressante. Au bout d'une vingtaine de secondes, mes muscles pelviens se sont mis à se contracter involontairement et la tension artérielle commença à monter. Instinctivement, je me suis mis alors à exercer une plus grande pression sur le vibrateur pour augmenter la sensation de 'tension' qui montait en moi. Les contractions sporadiques se sont mis alors à se transformer soudainement en contractions permanentes. Le plaisir orgasmique s'est alors mis à monter et je répondais par une plus grande pression de la tête vibrante sur mon sexe.
Les contractions continues se sont alors transformées en un délicieux orgasme et mes muscles se sont alors mis à se décontracter et contracter rythmiquement (comme aujourd'hui, pour faire sortir le sperme) mais aucun liquide n'est sorti à cause de mon jeune âge.
J'avais fait une découverte fantastique mais j'étais inquiet de savoir si cette opération de 'massage' n'avait pas brisé mon sexe. D'autant plus qu'il s'était mis à réagir d'une drôle de manière au vibrateur ! Qu'à cela ne tienne, je n'ai pu résister à la tentation : à partir de ce jour fatidique, je n'ai pu résister à la tentation de 'masser' mon pénis à chaque jour.
Jusqu'à l'âge de 13 ans, je n'avais aucun écoulement séminal mais je peux vous jurer que les orgasmes étaient meilleurs ainsi. Ils étaient plus intenses et duraient plus longtemps. En plus, je pouvais me procurer un orgasme après l'autre, à des intervales de seulement 30 secondes entre les deux si je le désirais.
Lorsque je me suis mis à éjaculer, vers l'âge de 13 ans (au début un liquide pareil à du blanc d'oeuf, gluant et complètement transparent), l'intensité orgasmique s'est alors mis à diminuer et je ne pouvais plus avoir des orgasmes répétés comme avant.
- Anonyme (23/03/1998)
J'étais en train de me baigner dans ma piscine avec ma soeur (de 5 ans plus vieille) et elle n'arrêtait pas de me coller, ce que j'aimais vraiment et ce qui me faisais vraiment bander. On est entré parce qu'il ne faisait pas beau. Mes parents n'étaient pas là. Pour la première fois, elle s'est changée devant moi et elle m'a demandé : « Tu aimes ça ??? ». J'ai répondu oui et elle m'a dit : « Toi aussi déshabille-toi! » C'est ce que j'ai fait et elle a vu que j'étais bandé. Elle s'est mise à me masser et m'a demandé de faire pareil. Je frottais son vagin avec ma main, en accélérant et en entrant mes doigts, parfois. Elle m'a pris la main et la fait entrer dans son vagin : j'ai continué à le faire. Elle était couchée sur son lit. Je me suis mis à genoux, par terre, et j'ai commencé à la sucer. Je rentrais ma langue j'aimais ça ! Elle s'est mise à crier : j'ai continué. J'ai commencé à la pénétrer avec ma queue et elle a aimé ça. Je touchais à ses seins qui étaient plus fermes qu'au début. Je les suçait. Pour elle aussi, c'était sa première fois. Elle m'a dit d'arrêter car les parents arrivaient bientôt. Son lit était rempli de sueur, elle a joui au moins 4 fois : nous l'avons fait pendant au moins une demie heure sans arrêt. Je n'avais que 10 ans. Dès le lendemain, j'ai commencé à me masturber chaque jour, au moins 1 fois par jour. J'ai encore des rapports sexuels avec ma soeur et j'ai 14 ans, elle 19.
- Anonyme (26/04/1998)
Ma première fois ? J'avais 12 ou 13 ans. C'était l'été, et je faisais la sieste dans ma chambre, vêtu d'un seul maillot de bain. J'avais alors souvent des pensées vaguement érotiques qui entraînaient des érections. Érections sans suite : je me touchais un peu le sexe, mais sans méthode et sans insister jusqu'à un orgasme, même à sec.
Cet après-midi-là, mes rêveries m'ont entraîné jusqu'aux souvenirs d'une cousine du même âge avec laquelle j'avais souvent « joué au docteur ». J'ai reproduit avec ma main les attouchements qu'elle pratiquait. D'abord sur le maillot de bain puis, comme elle le faisait, j'ai descendu mon maillot pour me toucher directement le sexe. Toujours sans méthode particulière, touchant les testicules, le pénis, le gland au gré des sensations. Cette fois-là, le plaisir devait être plus intense, car au lieu de m'arrêter au bout de quelques minutes, j'ai continué jusqu'à ce qu'une drôle de sensation m'envahisse, et qu'en même temps qu'une espèce de secousse, un peu de liquide blanchâtre coule du gland. J'ai d'abord été surpris, puis je me suis rappelé ce qui m'avait été dit sur la puberté. Un peu de fierté alors, pendant que je regardais mon pénis se dégonfler et le gland passer du rouge foncé à un rose clair.
Par contre, je ne me rappelle pas la seconde fois, mais ç'a dû être très vite après, car j'ai pris l'habitude depuis ce jour de me caresser tous les soirs. Même s'il m'a fallu du temps pour acquérir une méthode efficace.
- Anonyme (05/03/1998)
Pour ceux qui en doutent : en ce qui me concerne, une bonne branlette tous les jours dans l'après-midi me conditionne pour un merveilleux calin avec ma femme le soir. Elle le sait. J'éjacule moins, tant pis, mais nous pouvons faire l'amour plus longtemps.
- Anonyme (25/03/1998)
La première fois que je me suis « auto-procuré » un orgasme, c'était un après-midi d'été. J'avais 13 ans et je distribuais les journaux dans mon voisinage. Quand j'ai vu, par une fenêtre, un fille un peux plus vieille que moi complètement nue, mon engin est devenue dur comme l'acier et je ne pouvais détacher mon regard de ses formes excitantes. Je me rendu compte, que j'était en train de jouer avec ma bite quand elle me vit. Elle se mit à rire et me fît signe de rentrer. En entrant, elle me demenda si elle était le première fille nue que je voyait, je répondu que oui. Elle me dit que si je voulais la regarder, il fallait que je me déshabille moi aussi. Ce que je fis sans hésitation. Elle me demanda si je pouvais me masturber devant elle, mais je n'avais aucune idée de ce qu'elle me demandait, ce qui la fit éclater de rire... Elle m'expliqua comment, et je faisais tout ce qu'elle me demandait ce qui l'exitait grandement. Après avoir eu mon orgasme, elle se masturba devans moi et me ficha dehors...
- Anonyme (12/05/1998)
C'était en ce que l'on appellait les classes vertes. J'avais grimpé au balcon du chalet pour surprendre deux nanas qui s'étaient enfermées pour éviter le chahut et les provocations des garçons. La porte-fenêtre était ouverte et le balcon n'était pas très haut : je n'ai rencontré aucun problème pour me hisser jusqu'à chez-elles.
Et là, le spectacle qui m'a été donné de voir fût merveilleux : 4 jeunes filles de 16 ans en train de se masturber ensemble, certaines avec leurs doigts, une avec une banane. Je suis resté caché dèrrière la porte, avec une évidente érection. Deux d'entre elles se sont masturbées mutuellement, en prenant la position du 69.
4 petites nanas que je connaissais bien étaient en train de couiner de plus belle devant moi ! J'ai mis quelques temps à décider de me montrer. Elles étaient surprises et certaines un peu honteuses. Elles se sont mises à rire. L'une d'entre elle a fermé la porte et les volets, puis m'a déshabillé sans rien me dire, je sentais qu'elle était très très exitée, ses copines riaient, elle s'est approchée de mon sexe et m'a sucé tout en continuant de se carresser.
Je regardais les autres filles pendant ce temps-là : elles ont continuées à se masturber mutuellemnt mais d'une façon plus agressive et très exitée. Elles m'ont toutes sucées les unes après les autres. J'ai éjaculé sur le ventre d'une des filles qui s'appelait Sonia. Elles n'avvaient jamais vu de sperme : elles l'ont gouté en lèchant le ventre de Sonia qui riait.
On a recommencé cela 3 mois après, d'abors un peu gênés tous de se retrouver, et ça s'est terminé en partouze. Excellent souvenir.
Je croise de temps en temps l'une d'entre elle, on n'en parle plus.
- Anonyme (15/03/1998)
Ma découverte de la masturbation remonte à l'age de 11 ans (j'ai 16 ans), alors que ma mère discutait avec mes 2 frères plus âgés. Je les écoutais d'un endroit ou je ne serais pas vu...
Ils se sont mis à parler de masturbation et de si ils le faisait. Bien sûr, ne connaissant pas ce que c'est, j'ai voulu essayer.
Moi aussi, comme un autre de mes amis onanistes, j'avais un gros ourson en peluche et bien entendu, je lui ai fait une fente entre les 2 pattes arrières. Bandé comme je l'étais, je me suis mis à limer, et à limer, jusqu'à ce que je me tanne de ne rien voir progresser.
Il y a 3 ans, alors que je me trouvais seul, je mis la main par hasard sur un film porno. Je me sentis tout bizarre, et je me suis mis, sans m'en rendre compte, à me masturber. Et ce, très fortement. Le moment fatidique, ce fut lorsque je me senti tout crispé dans le bas du ventre : de peur, je m'arrêtai... L'erreur est humaine ! Tu sais, Onan, si on arrête à ce moment-là, ca continue quand même... Je me suis rammassé le slip tout englué et cela m'a fait sentir coupable...
Je ne me masturbe régulièrement que depuis 2 ans et je trouve cette situation très intéressante, c'est pourquoi je me promènne sur ton site, et j'ai un conseil à donner à tous : profitez de votre corps au max, et il vous le rendra bien...
- Martin16 (07/06/1998)
C'était à l'hiver 1988, et j'avais 9 ans. Je me faisais garder chez une amie de ma mère, et elle avais une fille qui avait exactement mon âge. Nous étions en train de jouer dehors depuis plusieurs heures quand nous avons décidé de rentrer parce que nous avions les pieds gelés.
Une fois à l'intérieur, nous somme montés au grenier pour continuer à jouer : c'était notre endroit préféré. J'avais la bite vraiement gelée, et j'ai commencer à la serrer dans mes mains pour la réchauffer. Elle banda aussitôt, ce qui intriga et amusa ma copine, qui voulu essayer elle aussi. Elle commença à me frictionner la bite pour essayé de la faire grossir plus, mais j'étais déjà dur comme du fer. Je lui demandai de ralentir parce qu'elle me faisait mal, ce qu'elle fit. Elle continua à me masturber jusqu'à ce que je jouisse... J'ai été obligé de lui dire d'arrêter parce que je souffrais de jouissance.
Encore aujourd'hui, 10 ans après, dès que je suis seule avec, nous nous masturbons mutuellement, mais nous n'allons pas plus loin. Même si nous avons eu des relations sexuelle complète chacun de notre côté... Parce que nous y trouvons un tel plaisir que cela nous suffit... Ce fût ma première expérience...
- Marc (29/06/1998)
Je devais avoir 9 ou 10 ans quand j'ai découvert les premières vraies sensations sexuelles. Un été, j'étais à la piscine sur un matelas de mousse flottant. Je devais avoir une de ces petits érections que tous les gamins de cet âge ont. Je me remonte, me hissant plus haut sur ce matelas. C'est alors que ma petite verge, prise en sandwich, se trouva tendue. Je reste un long moment comme ça pour en savourer tout le plaisir.
Plusieurs jours plus tard, alors que j'étais seul dans ma chambre, je baisse ma culotte et regarde admiratif ce petit objet qui ma donné tant de volupté. Je repousse le prépuce pour tendre le corps et le gland au maximum, essayant de reproduire la sensation très agréable. Mon petit dard se met très vite à durcir et le plaisir s'accentue. Doucement ma main se met à aller et venir de bas en haut. Je suis sous l'empire des sens. Jamais je n'avais connu une telle jouissance. J'étais visiblement au maximum de mon érection, quand soudain une onde de chaleur parcourut mon corps entier et un orgasme me disloque. Je m'écroule sur mon lit, prisonnier de ces quelques centimètres de voluptueuse virilité. Mon appendice était déjà redevenu flasque, éprouvé par cet exercice si délicieux.
Petit objet si frêle, prolongement charnel du pubis et de l'entrecuisse, grand instrument de plaisir, qui ne cessera d'assouvir frénétiquement ma libido toutes ces années durant.
- Antoine (22/07/1998)
Ma première masturbation mémorable, c'était en vacances avec mes parents et mon frère. Nous traversions la France en deux étapes, et mes parents avaient réservé deux chambres dans un hôtel. Une pour eux, et une pour moi et mon frère. Il n'y avait qu'un grand lit, je me suis donc couché à côté de lui. On attendait une émission de télé (je sais plus laquelle, on s'en fout), et on est tombé sur un programme érotique soft, genre M6. J'ai commencé à bander dans mon slip, et je me suis caressé sous les draps, le plus doucement possible, pour que mon frère ne le voie pas. Mes gestes étaient tellement lents que mq branlette a duré au moins une demi-heure, la durée de l'émission. Je n'avais pas l'habitude de me toucher aussi longtemps, et là, la jouissance a été intense. J'ai complètement innondé mon slip de foutre. Après, je n'avais qu'une peur : c'est d'être obligé de me relever pour une raison quelconque, mon frère aurait vu que mon slip était trempé.
Depuis ce jour là, je me branle tous les soirs dans mon lit, et j'amidone tous mes caleçons. Il m'est même arrivé d'en tacher définitivement. Les draps aussi, d'ailleurs. Ce qui est embêtant car je suis sûr que quand ma mère les lave, elle voit qu'ils sont tachés de sperme.
- Anonyme (29/07/1998)
Je ne me souviens plus de ma première fois, à part du fait que ça c'était produit lorsque j'avais 11 ans. Il ne s'agissait que de quelques caresses qui ne me menaient presque jamais à l'orgasme. Comme je vivais (et vis toujours) dans une famille très conservatrice, je ne pratiquais cette pseudo-masturbation que pour satisfaire un besoin de liberté, pas pour faire l'expérience du plaisir.
Je continuai donc cette activité jusqu'à l'âge de 13 ans où j'appris ce que la masturbation pouvait vraiment me procurer : vers la fin d'une journée d'école, une de mes enseignantes me demanda sans raison apparente d'aller la voir à son bureau après les cours. Je m'y rendis pour découvrir mon enseignante de 23 ans complètement nue, étendue par terre en train de se masturber. Elle sourit, me dit de fermer la porte derrière moi et de me déshabiller, ce que je fis. Je suivis par la suite ses instructions, poussai ma main dans son vagin et commencai à la remuer lentement. Elle gémit et me plaqua l'autre main contre son anus. J'étais bandé depuis quelques minutes quand elle commença à me masturber, accompagnant le mouvement de son poignet de la fellation de mon gland. Elle se rendit compte que je n'en pouvais plus et me laissa la pénétrer par derrière. Comme j'étais plutôt jeune, je pus avoir trois ou quatre orgasmes de suite sans m'arrêter. Ensuite, mon enseignante s'aperçut que je fatiguais et elle prit la relève. Je vécus donc en même temps mon premier véritable orgasme, ma première éjaculation, ma première relation sexuelle et ma première expérience masturbatoire plaisante.
Je suppose que les actions de cette enseignante pourraient être interprétées comme de la pédophilie, bien que j'aie été consentant. Cela a tout de même été mon expérience sexuelle la plus fantastique.
- Anonyme (03/08/1998)
Je précise en commençant que je suis une fille.
Quand j'ai commencé à me masturber, j'étais très jeune. Je dirais 7 ou 8 ans. Je dormais encore avec ma couverture de bébé, ma doudou. Je ne sais trop comment m'est venue l'idée, la première fois, d'insérer une majeure partie de ma doudou à l'intérieur de ma petite culotte. Puis, à plat ventre, je me suis mise à me frotter dessus. C'était bon, mais je n'aboutissais à rien. Vers les mêmes années, je dormais souvent chez mon amie Julie qui avait 1 an ou 2 de plus que moi. Une nuit, on discutait, puis elle m'a proposé de me montrer quelque chose. Elle a mis sa main dans ma culotte et s'est mis à frotter le nerf sous ma peau dont le bout est le clitoris. Ça chatouillait, c'était plaisant. Bien sûr, ça n'a pas pris de temps pour que je lui rende la pareille. Si je revoyais Julie aujourd'hui, je serais très gênée ;-)
Puis, j'ai continué à me frotter sur ma doudou jusqu'à ce qu'un jour, je jouisse. Ce fut comme un long choc électrique chaud, une vibration intense et apaisante qui décontracta chacun de mes muscles, en partant de ma vulve vers chaque extrémité de mon corps. Je dois dire qu'ensuite, j'ai très bien dormi.
Il aura fallu plus d'une dizaine d'années avant que je pratique la masturbation avec mon copain de l'époque. Bien sûr, j'ai toujours caressé mes amoureux, je parle plutôt d'une masturbation ou chacun le fait de son côté en regardant l'autre. Quand je lis des histoires de masturbations en groupe, je trouve ça très excitant. Qui sait ? Peut-être que j'essayerai un jour...
- Caroline (12/08/1998)
Vengo ! (Masturbazione)
Alzo lo scettro irrigidito al cielo !
Umide ansie notturne si agitano dentro di me,
spirali di voluttà invadono l'anima mia,
si insinuano nei miei organi,
si accumulano fra le gambe
anelano ad emergere per innalzarsi al cielo.
Calde carezze evocano spasmi dolci come il miele
brividi rossi bruciano fra le mie cosce,
mi annebbiano la mente !
Mio dio, grazie per questa meraviglia !
ancora, ancora, ancora !!!
Ancora
ora l'onda che a lungo ha accarezzato l'anima mia
si innalza ! Ooora ! Prepotente e fiera,
Fra poco romperà o siii .... sul piede del mio faro acceso,
Oooora,
colpisce, si ! si frange ohhh si, si disperde
in mile frammenti di schiuma bianca.
Corre la mano veloce, corre come il vento
mio dio ahhhh !
ahhh siiii !! Veeengo !
- Ratitomax (18/06/1998)
Je me souviens qu'à 5 ou 6 ans, j'avais une amie qui nous amenait dans le champs moi et mon frère et elle nous a initié à l'amour et aux atouchements. Je me souviens même d'avoir pénétré cette fille à 7 ans et je me suis fait prendre par mère.
J'avais des grands frères (nous étions 12) et je couchais avec un en particulier. Il me laissait m'amuser avec son pénis et j'ai même connu l'éjaculation grâce à lui, à 5 pu 6 ans. J'ai eu peur la première fois.
Je suis resté avec cette envie de toucher et de frôler un pénis et, à 40 ans, j'ai eu l'occasion de rencontrer un homme pour partger mes émotions sexuelle. Cette fois je n'ai pas eu peur : j'ai ressenti du remord, mais j'ai aimé ça. Aujourd'hui je recommencerais et cette fois je prendrais le temps d'apprécier.
- Anonyme (26/09/1998)
La première fois que je me suis masturbé, je devais avoir 12 ans. Je prenais ma douche puis, pour une raison que j'ignore, je me suis assis dans le fond de la baignoire pour me savonner. Quand j'arrive à mon pénis, je retire le prépuce pour bien me laver. Je le sens alors se durcir, je repousse la peau et m'aperçois qu'il durcit encore. Je recommence mon mouvement quelques fois et je reste surpris et inquiet de voir sortir du liquide blanc. Mais inutile de vous dire que le plaisir l'emporte sur mon inquiétude, car dans mon lit le soir même je recommence.
Je suis dans la quarantaine, aujourd'hui, et je me souviens très bien de ma première fois. Et bien que je sois marié et heureux je pratique toujours la masturbation seul ou avec mon épouse. Je me masturbe aussi à l'occasion avec un ami.
- Ti-Loup (27/09/1998)
Je venais de devenir éclaireur (chez les scouts), j'avais 11 ans. Les copains parlaient toujours de masturbation, je ne savais pas ce que s'était.
À mon premier camp, le soir dans la tente, ils avaient décidés de faire un concours, ils me demandèrent si je voulais participer. Comme je ne savais pas de quoi ils parlaient, j'ai dit non. Alors le CP décida de m'initier. Il me montra comment faire, je fis comme il me montra, ce fût super : j'éjaculai un liquide transparent.
Par la suite nous nous masturbions mutuellement (mais jamais de pénétration et de fellation)..
- Anonyme (03/10/1998)
J'étais chez un ami (j'avais 12 ans et lui 13), en vacances en juillet, et nous partagions la même chambre. Depuis mon arrivée, il me paraissait qu'il aimait me provoquer en s'habillant de façon suggestive : i.e. aucun sous-vêtement sous ses salopettes, slips presque transparents et il s'arrangeait toujours pour se déshabiller devant moi avant de se mettre au lit. J'avais eu plusieurs érections à le voir agir.
Un soir, alors qu'il faisait très chaud, le temps étant pesant, je m'étais couché par dessus les couvertes ne portant qu'un mini slip.
Il a commencé à pleuvoir et à tonner. J'étais couché sur le coté, faisant face au coté opposé à mon copain donc ne le voyant pas. Je le sentis monter dans mon lit et se coller à mon dos. Il était nu et sa verge se pressait contre mes fesses.
En un rien de temps, j'étais bandé. Je sentis sa main descendre vers mon bas ventre et flatter mon engin par dessus mon slip. Je me suis retourné sur le dos et j'ai frôlé son penis bandé de ma main gauche en me retournant.
Au lieu de la remonter je l'ai laissé à égalité de son pénis et il l'y a collé.
En un rien de temps, j'étais à poils et nous nous sommes masturbés jusqu'à la jouissance. Nous nous sommes innondés le corps à plusieurs reprises ce soir-là... Et les suivants.
- Anonyme (15/11/1998)
J'avais près de 8 ans. Je fus opéré d'un phimosis (peau qui déborde de trop du prépuce). À l'époque, cela me fit horriblement mal.
En cette période, je vivais chez ma tante. Elle était séparée de son mari (cela doit expliquer la suite). Elle devait me décalotter au moins une fois par jour et je devais me le faire aussi moi-même. Je ne fis pas : c'était trop dur à supporter, et quelques jours après je ne voulais plus que ma tante me le fasse non plus. Mais elle insista avec juste raison, et me dit : « Ce soir, on regardera la télévision et j'irais très doucement. J'essaierai de ne pas te faire souffrir. » Effectivement elle alla doucement et je pense qu'elle me masturba doucement. Ce qui devait arriver arriva : je me mis à avoir une érection. Je me sentais plutôt gêné de cette réaction, mais en même temps je ne trouvais pas cela désagréable.
Les jours se suivirent avec le même scénario du soir. Ma tante m'expliqua tout sur la masturbation, celle des garçons et des filles, et me fit comprendre que cela était dans la normalité des choses de la vie. Elle me fit passer à la pratique par moi-même et me montra comment elle procédait sur elle-même.
Je ne suis pas la pour juger son comportement, mais j'ai découvert le plaisir de la masturbation. Ce que je pratique constamment pour diverses raisons aujourd'hui et me permet de garder un équilibre harmonieux et d'éviter bien des tensions.
- Anonyme (18/11/1998)
Ma première fois fut très coquine. À 13 ans, je suis entré dans la chambre de ma soeur qui a 6 de plus que moi. Elle était avec une amie et son mec. Ils étaient tous à poil. Ma bite durcit à tel point que je me pris à m'exciter contre le mur. Son amie me vu et me dit de rentrer. Je suivis son ordre. Elle m'expliqua qu'ils faisaient tous ce qu'ils voyaient sur le film porno qu'ils regardaient. Elle me demanda de participer. J'acceptai. Elles commencèrent à me branler et je les branlais 69. Elles criaient de plaisir et peu à peu elles me demandaient de les sucer. Je jouit la douce liqueur dans leur bouche et je les pénétrai. Maintenant encore, elles organisent des partouzes dont je suis un habitué.
- Anonyme (27/11/1998)