Ces pages sont là exprès pour toi... Parle-nous de tes expériences, de tes aventures ou de tes fantasmes.
Je me rappelle il y a quelques années. Mon amie Nicole avait invité Andrée, une de ses bonnes copines qui travaillait alors dans une autre ville, pour une fête du Nouvel An. Nous avions fêté toute la nuit dans une boîte de jazz. Une fois la fête terminée nous avons pris un taxi pour rentrer. J'habitais alors seul dans un petit studio au centre ville.
Nous nous sommes retrouvés tous les trois dans ce petit appart, vers 2 heures du matin. Nicole et sa copine Andrée ont continué de parler un bon bout de temps en buvant de la bière. Il devait passer trois heures lorsque nous avons pensé à faire dodo. Bien sûr il n'y avait qu'un lit dans ce petit studio, un futon plus précisément. C'était tout de même assez confortable pour nous trois, bien qu'un peu serré. Mais fatigués comme nous l'étions d'avoir dansé et bu, nous nous sommes endormis assez rapidement.
Je me suis réveillé bien bandé au petit matin (comme ça m'arrive souvent...) J'étais presque nu, ne portant qu'un slip. Ma copine portait des vêtements de nuit qu'elle avait eu l'idée de laisser chez moi, au cas où. Quant à Andrée elle ne portait qu'une camisole et un slip puisque sa venue avait été improvisée. Bandé comme j'étais, je commençai à caresser mon pénis. Je le faisais très doucement car je ne voulais pas réveiller Nicole qui était à ma gauche, ni sa copine qui était à la gauche de Nicole.
J'étais donc étendu sur le dos, caressant ma queue en me rappelant notre soirée de la veille du Jour de l'An. Je regardais au plafond lorsque je me suis rendu compte qu'Andrée était éveillée elle aussi. Je ne sais pas depuis combien de temps, mais elle me regardait faire. Je me suis tourné vers elle et j'ai vu dans ses yeux qu'elle aimait bien ce qu'elle voyait... J'ai alors ôté complètement mon slip et j'ai continué à me masturber doucement, tandis qu'elle me regardait. À travers sa camisole je pouvais voir la pointe de ses seins bien en chair. Pourtant, je voulais la voir nue. Je lui dis à voix basse « Pourquoi n'enlèves-tu pas cette camisole ? »
Je n'ai pas eu besoin d'insister et je vis sa poitrine bien ronde. Elle commença également à se masturber avec la main gauche. Doucement j'utilisais une main pour caresser ses seins mais j'avais peur que Nicole, qui se trouvait entre nous, ne se réveille et soit choquée de la situation. Alors j'ai entrepris de déboutonner la blouse de nuit de mon amie Nicole. Ses deux petits seins et son sexe étaient toujours aussi magnifiques, mais les seins bien ronds d'Andrée m'excitaient de plus en plus.
Pendant que je continuais à me masturber d'une main, je commençais à embrasser le sein droit de Nicole. Andrée me regardait faire puis elle se mit elle aussi à téter l'autre sein de Nicole tout en se masturbant. Évidemment, il ne fallut pas beaucoup de temps pour que Nicole se réveille et constate que deux personnes étaient en train de lui faire l'amour. Elle passa sa main dans mes cheveux pendant que je continuais à téter et je crois bien qu'elle fit la même chose avec Andrée. Mon pénis était si raide que c'en était presque douloureux. Puis elle plaça sa main droite sur son sexe et entrepris elle aussi de se masturber. Nous étions maintenant tous les trois en harmonie et je pouvais contempler Nicole et son amie Andrée. Je crois bien que c'est Andrée qui est venue la première. J'ai éjaculé quelques secondes après elle, une bonne partie de mon liquide chaud se retrouvant sur le ventre de Nicole. Nous étions épuisés tous les deux. Nous avons alors aidé Nicole à venir. Moi en lui frottant le sexe et Andrée en lui massant les seins. Il fallut bien quelques minutes pour que Nicole jouisse enfin.
C'était un magnifique début d'année.
- Papillon (07/02/1998)
L'été dernier, lors d'une journée de congé et sans enfants dans les alentours, mon épouse et moi étions dans la cour arrière. Elle se faisait bronzer, étendue dans une chaise longue, et moi, une vingtaine de pieds plus loin, je travaillais près de la piscine.
Soudainement, un bruit attira mon attention. Mon épouse écartait le dessous de son maillot et de l'autre main se caressait. Elle m'invita à faire de même, de l'endroit où j'étais. Je fis descendre mon maillot et je commençai à me faire branler la bite.
Pendant que nous nous caressions, je m'aperçu que derrière notre haie de cèdre, qui est clairsemée par endroit, ma voisine nous observait en pensant n'être pas découverte. Je la vis même se passer la main entre les deux jambes.
Mon sexe devint bouillant et je sentis une grande jouissance à l'idée de savoir que deux femmes se caressaient devant moi. C'est alors que tout explosa et qu'un merveilleux liquide blanchâtre s'échappa de ma bite gonflée et rouge de chaleur. Ouf, quelle joie...
- Anonyme heureux... (11/04/1998)
Je suis marié et j'ai deux enfants. J'ai 63 ans et je bande comme un jeune homme. Je peux me vanter d'avoir une belle grosse bitte. C'est vrai que les femmes disent souvent « Je préfère une petite, bonne ouvreuse qu'une grosse fainéante ». Mais ma femme ajoute « Tant qu'à faire, si elle travaille bien, je la préfère grosse. » Nous sommes des adeptes inconditionnels de la masturbation. Ensemble, en solo ou en groupe. En face l'un de l'autre pour nous exciter, devant un miroir, dans la nature, dans la voiture et dans les endroits les plus insolites. Mais mon jeu préféré, celui qui excite le plus ma femme est la plume. Je me branle jusqu'à ce que je sois bien excité, puis avec une plume ou un pinceau à maquillage je me caresse le gland. C'est sublime. Chaque fois, je jouis comme un prince. Il va sans dire qu'avec les mêmes objets, ma femme se caresse le clito et qu'elle jouit terriblement bien. A 63, ma femme en a 49 je me branle ou nous nous branlons jusqu'à 3 fois par jour.
Personnellement, j'ai commencé très jeune vers 8 ans si mes souvenirs sont bons. Mais à l'époque et jusque vers 19 ans je me branlais avec des camarades, les filles étaient moins libérées que maintenant. Je recherchais la compagnie de camarades qui avaient une belle grosse queue. On se branlait, mais rien de plus... sauf que parfois on se suçait. J'aimais beaucoup me branler en suçant les belles queues bien grosses, et c'est un de mes camarades préférés que j'aimais beaucoup qui m'a donné le goût d'avaler le sperme, ce que je fais encore maintenant quand je me branle avec un homme. J'aime aussi le 69 avec un homme. Puis je trouvais qu'une belle bitte était très agréable à tenir dans la main et aujourd'hui je n'ai pas changé d'avis. Quand j'ai connu les premières filles, je n'ai pas cessé pour autant de me masturber, et souvent avec elles. Après mon mariage, j'ai initié ma femme qui a immédiatement adopté cette façon de se satisfaire. Bien sûr, nous baisions aussi, on se suçait et on se léchait, mais nos activités sexuelles principales étaient la masturbation. J'aime tenir ma bitte dans la main et ma femme adore caresser sa chatte. Ma queue est calottée et pour me branler, c'est bien meilleur, il n'y a aucun risque d'irritation du gland... et pas besoin de lubrifiant. J'aime la secouer en me caressant les couilles. Je n'ai jamais pratiqué la pénétration anale ni active ni passive, par contre, ma femme me lèche souvent l'anus pour me faire jouir. Ou alors je me caresse les couilles avec l'extrémité des doigts de l'autre main. Parfois je me branle avec deux doigts le gland calotté entre le pouce et l'indexe. Entre le pouce et le majeur et l'index venant taper doucement sur le bout du gland ou alors avec l'extrémité des cinq doigts. Bien sûr, la méthode la plus classique me fait bien jouir aussi, à pleine main, mais toujours l'autre main qui me caresse quelque part, soit le ventre, le pubis, les couilles, ou alors le périnée. Mais quel délice! Bref, nous varions souvent et nous n'avons jamais connu la routine. Une bonne hygiène alimentaire, ni tabac ni alcool, a contribué à ce que nous puissions continuer nos séances masturbatoires. Il va sans dire que nous avons aussi pratiqué la masturbation de groupe. Là, c'est le paradis, mais il faut y mettre certaines règles pour s'en tenir à la stricte masturbation, sinon il vaut mieux fréquenter des groupes qui pratiquent le coït. Salut à tous,
- Alain (04/03/1998)
J'avais sept ans, je couchais dans la même chambre que mon grand frère. Quelquefois, il se masturbait. Au début, je ne faisais semblant de rien, comme si je dormais. Mais un jour, je lui ai demandé ce qu'il faisait : il m'a tout expliqué. J'avais pris l'habitude qu'il me masturbe, ce qui arrivait assez fréquemment. J'avais des sensations incroyables, je n'éjaculais pas : même pas besoin de mouchoir ! J'étais aux anges quand il me masturbait. Ensuite, j'ai pris la relève. Je suis maintenant âgé de vingt ans et j'ai une petite amie. Je me masturbe encore de temps en temps. J'aime peut-être un peu trop ça, mais je me sens à l'aise dans tout ça.
- Anonyme (07/12/1998)
Je me suis masturbé la première fois vers 16 ans et 10 mois. C'est mon copain (mon meilleur ami), lors d'un camp de jeune, qui m'a masturbé la première fois. C'était très chouette, surtout que nous n'étions pas seuls dans la tente. Il a glissé sa main dans mon sac de couchage, au début j'étais étonné, je ne crois pas que je comprenais ce qu'il allait me faire. Il a commencé à descendre sa main dans mon training, puis dans mon slip. J'ai commencé à avoir une érection. Doucement, très doucement, il m'a caressé et puis arriva le plaisir. J'ai éjaculé. J'étais fier de lui. Je lui avais raconté l'après-midi que mon slip était mouillé le matin. Il m'avait demandé si je me masturbais. La réponse était négative.
Depuis lors je me masturbe souvent. Au début, j'étais gêné de salir mes slips blancs et de me lever le matin hors de mon sac de couchage avec des taches et de me monter nu devant les copains du groupe. Mais voilà j'ai vite compris que les autres aussi se masturbaient. Avec mon meilleur ami, au début, j'aimais le regarder nu son pénis en érection. Il savait que cela me faisait plaisir.
J'ai un très petit pénis (10 cm en érection). J'étais très angoissé par la taille de ma verge et c'est grâce à lui que j'ai osé avoir ma première aventure. C'est pas toujours évident d'affronter les nanas. Aujourd'hui, je continue à me masturber avec la méthode du stylo et décharge le plus souvent dans mon slip. C'est le seul avantage d'avoir un très petit pénis. J'aime aussi me branler nu mon pénis contre le drap.
- M. Pel. (13/12/1998)
Très jeune, vers 6 ou 7 ans, il m'arrivait souvent d'avoir des érections. Vers 10 ans, moi et ma soeur mangions seuls sur l'heure du dîner et nous avions commencé à jouer à un jeu très amusant : elle s'allongeait sur le lit de mes parents et je jouais le livreur de pizza qui s'était trompé de chambre. Lorsque je la voyais, je me glissais sur elle et on faisait semblant de faire l'amour. Puis, petit à petit, nous avons enlevé nos vêtements et nous nous sommes touchés mutuellement. Je mettais ma tête dans ses seins et elle me suçait la queue qui était déjà pas mal grosse pour un enfant de 10 ans (environ 15 cm). Nous avons commencé à faire comme si nous faisions l'amour, mais nous n'enlevions jamais nos culottes quand on se frottait nos sexes l'un sur l'autre.
Ça a été seulement 3 ans plus tard avant que je ne me branle vraiment. J'étais à plat ventre sur mon lit et j'ai eu une érection bien plus forte que d'habitude et je me suis frotté sur mon lit pendant au moins une heure. Quand j'ai joui, j'avais très mal à la queue, car elle était tout irritée. Par la suite, j'ai appris à me servir de mes mains et depuis je me branle chaque jour, au moins une fois par jour. J'adore ça.
Je me masturbe même avec un de mes amis en écoutant des films pornographiques. On ne se touche pas mutuellement, on regarde l'autre faire et on se montre de nouvelles techniques.
Bon pour finir, si vous vous êtes jamais branlé, bien faites-le au plus vite : vous savez pas ce que vous manquez !!!
- Anonyme (22/12/1998)
Salut ! J'ai 17 ans et j'ai eu ma première expérience de masturbation il y a 3 ans. J'étais allé coucher chez une amie d'enfance qui était super belle. J'étais en short boxeur et t-shirt sous mon sac de couchage et elle portait une camisole blanche et un slip blanc. Nous avons commencé à parler de sexe et ça m'a excité. Je me suis mis à bander en maudit et à me caresser discrètement sous le sleeping. Elle a remarqué et a proposé de se masturber sous nos sleepings. J'ai sauté dans le sien et nous avons enlevé notre linge. Ensuite, j'ai senti mon gland sur son sexe mouillé et ses seins contre mon torse. Elle a pris ma queue entre ses cuisses et a entrepris de me masturber en faisant glisser mon pénis entre ses cuisses chaudes. Ça a duré un bout de temps. J'ai ensuite inséré deux doigts dans sa chatte chaude et elle a pris mon sexe dans sa main. Nous nous sommes masturbés mutuellement. J'ai proposé ensuite de la pénétrer et elle a accepté. Elle s'est couchée sur moi et a inséré mon pénis dans son petit vagin d'adolescente. Je sentais son poids sur moi à mesure que ses seins venaient se frapper sur mon torse. J'ai joui comme jamais.
- Cybersexe (28/12/1998)
J'avais à peu près 11 ans quand un copain m'a proposé de me sucer ma queue. J'ai dit oui, car je trouvais ça amusant. On a couché ensemble et, tout à coup, j'ai senti sortir quelque chose de ma bite, dans la bouche de mon copain, et de même pour lui : ma bouche était remplie d'un liquide assez gluant, mais très bon !!! Depuis, on fait l'amour tous les jours et c'est excellent. Je trouve que c'est bon. Bien sûr, très souvent, on s'encule et on se tape des filles.
- Anonyme (28/12/1998)
La première fois tout court, je ne m'en souviens pas ; mais, en y réfléchissant, ce devait être vers 10 ou 12 ans.
La première fois devant quelqu'un, je m'en souviens bien, c'était 9 ans plus tard (il y a un an). Plus par défi envers moi-même que par goût véritable, même si cela ne m'a pas déplu.
En fait, peu de temps avant, dans des circonstances que je pourrais raconter un jour, je m'étais trouvé à deux reprises, passivement mais consentant, mis à poil et branlé par un mec d'une cinquantaine d'années. C'est alors que je me suis demandé si je serais capable de le faire activement plutôt que de me laisser faire ; c'était une interrogation purement théorique et je ne cherchais nullement une occasion, mais elle s'est présentée.
Un homme de 60 ans m'a pris en stop vers Dijon, j'allais à Nice. Grisonnant, bien mis, un peu dégarni, à peine ventripotent. Il allait à Menton. Nous avons parlé de choses et d'autres jusqu'à ce qu'il traite de branleur quelqu'un qui ne doublait pas assez vite et restait à gauche. Il a dit alors qu'il était stupide de le traiter ainsi puisque tout le monde se branle. Et il me dit: « Toi aussi tu le fais, non ? ». Au lieu de couper court, j'ai répondu sans réfléchir: « Ben oui puisque vous dites que tout le monde le fait ». Aussitôt il me fait tout un baratin pour me demander de le faire devant lui et promet qu'il ne fera que regarder sans me ni se toucher. Je lui réponds que c'est un plaisir solitaire. « C'est ce qu'on dit, mais je suis sûr que tu fantasmes que tu le fais devant quelqu'un. » Tilt. Je lui dis que ça ne se sabote pas comme ça au coin d'un bois ni dans une voiture, qu'il faut être confortable et avoir du temps ; donc que ce n'est pas possible. Il répond que de toute façon il se fait tard, qu'il faudra s'arrêter quelque part dans un hôtel où nous aurons confort et temps, et il recommence à baratiner. Je me trouve au pied du mur que je me suis moi-même construit. Il insiste encore et je finis par lui dire que je veux bien essayer, mais ne lui promets pas de réussir ; que je veux une chambre pour moi seul, que je payerai, et qu'il faut qu'il m'aide en achetant des magazines cochons !
Après le repas dans le restaurant de l'hôtel, il me rejoint dans ma chambre. Il s'asseoit devant une table sur laquelle il y a les magazines, je suis debout en face. Nous avons convenu qu'il resterait habillé et que j'enlèverai un vêtement chaque fois qu'il montrera une nouvelle photo. Comme je pensais que le déshabillage était une étape difficile, j'ai décidé de la franchir d'un coup en baissant d'abord et d'un coup jeans et slip et en les enlevant. Je me suis étonné, je n'étais pas à l'aise et je sentais son regard sur ma queue. Il regardait tellement qu'il en oubliait de tourner les pages. Il s'est repris et de fil en aiguille je me suis trouvé à poil. Toujours debout, j'ai fait un gros effort et j'ai commencé à me masturber en me concentrant sur les photos, mais je sentais toujours son regard peser très fort. Brusquement, je me suis détendu et ai trouvé la chose agréable. Il a eu peur que je jouisse trop vite, m'a demandé d'arrêter et m'a amené sur le balcon. Au bout de quelques minutes au frais à regarder les gens en bas, je ne bandais plus. Nous sommes rentrés et il m'a demandé de m'allonger sur la table, jambes pendantes. Il m'a demandé s'il pouvait me tâter légèrement, je lui ai dit oui. Je ne bandais toujours pas, ou très mou. Il m'a tripoté les couilles l'une après l'autre, puis les deux ensembles ; puis la queue ce qui a déclenché une érection immédiate. Il s'est arrêté et m'a dit de me faire jouir. Ce que j'ai fait, avec satisfaction je l'avoue. Il est allé ensuite dans sa chambre et le lendemain il m'a dit simplement que je lui avais fait très plaisir et qu'il m'en remerciait. Nous n'en avons plus parlé pendant le reste du voyage.
- Marc (29/12/1998)
J'ai commencé tellement jeune à me masturber que je ne m'en souviens pas. Je me masturbais avant l'âge de 4 ans. Bien sûr, à cet âge-là, je ne bandais pas. J'avais une technique très particulière : je m'allongeais à plat ventre, en slip, sur un lit qui n'était pas trop mou. Je plaçais ma verge vers le haut et à l'aide de mon index et de mon majeur, je faisais faire un va et vient au conduit (par ou passe le sperme et l'urine), juste sous mon gland, et le compressant pour qu'il ne bande pas (quand j'étais plus grand). C'est dans cette position que j'ai éjaculé la première fois. Je devais avoir 10 ou 11 ans. Quand je voulais me branler, je ne devais pas bander déjà, sinon c'était foutu. C'est dans la cour de mon collège que j'ai appris que mes copains ne faisaient pas comme moi. Quand j'ai commencé cette nouvelle technique, mon gland était très très sensible, pire que des chatouilles. Puis mon gland s'est habitué au contact de mes doigts.
- Anonyme (04/01/1999)
J'ai découvert cette merveilleuse pratique grâce à un ami. Un soir que nous étions sur le point de dormir, il a touché mon sexe et il a commencé à me crosser. J'ai tout de suite fait de même pour lui. Que de plaisir toute la nuit ! Depuis, je me masturbe au moins une fois par jour et j'adore ça.
- Simon (05/01/1999)
Comme la plupart des jeunes mâles, j'ai pénétré mon toutou par une fente que j'ai faite. Ma soeur est un jour entrée sans frapper : elle ma surpris à faire cette action et elle est devenue tout excitée et ne bougeais plus. Quand je l'ai vue, je lui ai fait signe d'entrer. Elle s'est déshabillée sans que je lui demande. Elle avait un corps super, j'ai adoré la bouffer et je crois qu'elle aussi à adoré ça. Ensuite elle ma sucer et j'ai joui 3 fois au moins.
- Anonyme (06/01/1999)
Je devais avoir 14 ans.
En colo, des copains parlaient de lits mouillés le matin et de la longueur de leur queue. Un d'entre eux disait qu'avec le 36 65 11 12 il avait un putain de barreau.
Alors en rentrant chez moi, j'ai essayé d'aller jusqu'à l'orgasme. J'ai alors découvert ce qu'était le sperme ! Je me souviendrai toujours de ce soir-là. Depuis je me branle tous les jours et c'est trop bon.
- J.B. (19 ans) (07/01/1999)
Je devais avoir 13 ans et j'étais en week-end chez mes grands-parents. Ma chambre était située au deuxième étage et la chambre de mon oncle (qui était âgé à cette époque de 25 ans) était juste à côté de la mienne. Toujours est-il que je me suis levé une nuit pour aller à la toilette. Lorsque je suis passé devant la chambre de mon oncle, il était en train de jouer avec son zizi (que je trouvai bien gros). Je l'ai regardé faire jusqu'à ce qu'il éjacule. Pendant ce temps, mon pénis durcissait de plus en plus. Quand je suis retourné dans ma chambre, j'ai fait comme lui et j'ai eu beaucoup de plaisir. Je n'ai pas éjaculé par contre. Ce n'est que quelques semaines plus tard que j'ai enfin joui. Quelle sensation ! J'ai aujourd'hui 38 ans, j'ai un pénis qui est plus petit que celui qu'avait mon oncle (car celui-ci ne fait que 14 cm). Mais depuis ce temps, j'ai beaucoup de plaisir à me branler. Je le fais de 3 à 4 fois par semaine.
- Anonyme (21/01/1999)
Je voudrais d'abord te féliciter pour ton site remarquable ! Je venais à peine de le découvrir lorsque le serveur a été fermé, et j'en ai été très déçu. C'est donc avec beaucoup de plaisir que je te retrouve aujourd'hui. J'ai 40 ans, mais je reste toujours jeune dans la tête.
Ma première expérience : j'avais environ 17 ans et à l'école j'entendais toujours les copains parler de sexe, de « branlette », sans trop savoir de quoi ils parlaient. Un jour, alors que je travaillais mes cours assis à mon bureau, j'ai repensé à toutes ces discussions, et j'ai ressenti une terrible excitation. J'ai alors ouvert mon pantalon et j'ai commencé à me caresser, puis à me masturber, sans savoir ce qui m'attendait. Je n'avais encore jamais vu de sperme. Soudain, un plaisir intense m'a secoué et j'ai vu un liquide blanc sortir de mon sexe : je jouissais pour la première fois. Depuis ce jour, je me masturbe plusieurs fois par semaine, et encore aujourd'hui, bien que marié, je m'offre encore des petits plaisirs solitaires.
Un de mes grands plaisirs est de me branler sous la douche. Je dirige le jet de la douche sur mes testicules et la base du pénis, j'imprime de légers déplacements à la douchette de façon à déplacer l'impact du jet d'eau sur mon sexe, et je laisse ainsi l'excitation monter : c'est génial.
- Gérard (04/03/1999)
Bonjour ! Ma première fois, j'étais à l'hôpital dans une chambre d'isolement. Après avoir pris du mieux, j'étais à regarder la chenille qui nettoie les trottoirs. J'avais la jaquette qui compressait ma queue et j'ai eu une érection.
L'infirmière rentre sur le fait : j'avais beau essayer de cacher mon état, elle approche et me rentre le thermomètre dans la bouche, elle saisit mon poignet puis regarde le soulèvement de ma jaquette qu'elle soulève d'ailleurs : « Ouais, tu serais mieux de faire descendre la pression » qu'elle dit. Comme je ne saisis pas, elle me dit que ça doit rester entre nous : je lui fais signe de la tête. Elle saisit ma queue et me masturbe jusqu'à l'éjaculation qui tomba dans le calorifère. Voici ma première jouissance.
Quand je suis sorti de là, elle était là et me dit « j'espère que tu vas te souvenir de mon enseignement toute ta vie » ! Ô que j'aurais aimé la revoir une fois adulte !
- Richard (12/03/1999)
Ma première fois s'est passée dans mon lit avec une amie. Je devais avoir 13 ans et mon amie 14. On se parlait de plein de sujets quand tout à coup elle frôla ma queue. On resta surpris, tous les deux, mais elle fut moins gênée que moi. Elle commença par la suite à me caresser ma queue à travers mon pantalon. J'étais tellement surpris que je n'y faisais rien : elle déboutonna mon pantalon et commença à me masturber. Moi, j'étais un peu gêné, mais la gêne s'en alla peu à peu et je commençai à la caresser un peu partout. Tout à coup, je lui éjaculai dans les mains : même si je n'ai pas éjaculé beaucoup, c'était toute une sensation ! C'était ma première fois et je me masturbe encore régulièrement.
- Anonyme (25/03/1999)
J'étais en visite chez mon oncle, je devais avoir 12 ans. Un soir, alors que j'étais couché avec mon cousin de 13 ans, nous avions discuté de notre sexualité et nous nous étions caressés un peu. Plus tard dans la nuit, je me lève pour aller à la toilette et je m'aperçois qu'il y a de la lumière au salon. Je m'y rends lentement et aperçus mon oncle qui se caressait le sexe. Je l'ai regardé faire pendant 2 ou 3 minutes : mon sexe est devenu dur et mon caleçon, un peu mouillé. Tout à coup, mon oncle m'aperçut et il vit que j'étais bandé. Il me fit signe d'aller le rejoindre et me dit qu'à voir mon pénis j'étais maintenant un homme. Il me dit de faire comme lui. J'étais très impressionné par la grosseur de son pénis et de voir tous ces poils qui entouraient celui-ci. Toujours est-il que je fis comme lui. Après quelque temps, je finis par éjaculer une peu de sperme. Mon oncle m'a félicité et il est venu à son tour. Son foutre a giclé sur son ventre et son cou. Depuis ce jour, je me masturbe. Je remercie mon oncle de m'avoir initié à ce jeu fort agréable.
- Jean-Maxime (02/04/1999)