Première éjaculation
Publié : mar. 20 avr. 2021, 09:43
Je venais d'avoir treize ans depuis quelques semaines. Depuis un certain temps déjà, je me posais beaucoup de question concernant l'éjaculation. Les cours d'éveil à la sexualité donnés en classe permettent de comprendre beaucoup de choses sur la sexualité mais ne précisent en aucun cas comment une éjaculation se passe. A l'époque, treize ans (début des années 80), il était difficile pour moi d'en parler ouvertement avec qui que ce soit. J'avais beau évoquer la question avec un copain (du même âge), je n'avais pas de réponse (je partais donc du principe que lui non plus ne savait pas comment cela se passait). Je connaissais la sensation depuis déjà pas mal de temps que procure une érection, même si l'envie de le caresser n'était pas encore présente. Treize ans, en ce qui me concerne, je suis grand, mince et à peine un peu poilu (je n'ai jamais été exceptionnellement fourni point de vue pilosité). Il est vrai que dans les vestiaires communs de l'école, je n'en revenais pas de voir chez certains de mes condisciples, lors des séances de natation, des sexes déjà largement pileux. A partir donc de cette époque, je me retrouvais seul le vendredi en début de soirée pendant quelques heures (mes parents partaient avec mon frère chez un logopède à une bonne vingtaine de kilomètres de chez nous). Donc le temps de déplacement, et le temps de la consultation (très longue) me permettait d'être seul à la maison. Nous sommes en novembre 1982, vendredi soir, seul. Depuis quelques semaines déjà, je ressentais le besoin de me mettre entièrement nu et de profiter de la vision de mon sexe tendu arborant quelques poils. J'avais remarqué également qu'un liquide transparent coulait lorsque j'étais en érection depuis un petit temps. Je ne faisais que cela, me mettre nu, et admirer ma bite. Je ne la touchais pas car l'idée ne m'était pas encore venue (je répète que jusque là, je ne connaissais pas grand chose dans le domaine). D'ailleurs petite anecdote au passage, je pensais que c'était cela "éjaculer" mais je me rendais bien compte également que c'était malgré tout un peu succin. Et nous voilà donc un soir de novembre, dans les mêmes circonstances. Seul, nu dans le salon, les volets sont fermés, personne pour m'importuner. Je suis en érection, sexe tendu, goutte qui perle régulièrement et ce de plus en plus. J'aime beaucoup voir ce liquide couler le long, je ne me touche toujours pas à cette époque. Je ne sais pas pourquoi, habituellement après un certain temps lors de mes précédentes soirées, je m'arrêtais et me rhabillais en me satisfaisant de la sorte. Ce soir-là, je ne sais pour quelle raison, je continue cette découverte en solitaire du plaisir de regarder mon sexe gonflé et suintant. Je me souviens parfaitement, je suis debout, me contemplant en inclinant la tête à gauche, à droite, histoire de mieux observer encore ce que la nature m'a donné. Je sens quelque chose de différent, je ne sais pas quoi exactement. Je suis pris soudainement d'une sensation inhabituelle, commençant par une sorte de vertige. Je m'assieds dans le divan, je bande, je mouille. Je sens monter en moi une sorte de chaleur qui fini par me monter à la tête, je ressens des spasmes dans le bas ventre, la sensation d'étourdissement est de plus en plus forte et là, d'un coup, c'est l'explosion. Je ne sais pas ce qui m'arrive, je suis étourdi, saoulé par cette sensation jusque là jamais ressentie. J'ai les yeux fermés, je les ouvre et je découvre alors l'ampleur de ma première éjaculation. J'en ai partout, sur le ventre, dans les quelques poils, sur le torse et sur le divan également. Le premier ressenti, qui me vient à l'esprit et qui dure quelques secondes est un état de panique, qu'est-ce qu'il m'est arrivé. Le temps de reprendre ses esprits et c'est à ce moment que l'on comprend que la première éjaculation est arrivée. C'est à ce moment là que j'ai compris que j'avais de par le passé vécu ces mêmes sensations pendant certaines nuits (pollutions nocturnes)mais sans jamais vraiment comprendre. La sensation a été extrême (rarement voire jamais revécue de la sorte).
Par la suite, lors des soirées solitaires suivantes, je répétais cette même technique qui bien sûr m'ont permis de réitérer l'expérience. ce n'est qu'après un certain temps que j'ai commencer à réellement me toucher et me branler.
ce souvenir restera à tout jamais gravé dans ma mémoire.
Par la suite, lors des soirées solitaires suivantes, je répétais cette même technique qui bien sûr m'ont permis de réitérer l'expérience. ce n'est qu'après un certain temps que j'ai commencer à réellement me toucher et me branler.
ce souvenir restera à tout jamais gravé dans ma mémoire.
