Edging comme mode de vie (en anglais)
Publié : dim. 10 mai 2020, 19:34
Ce blog est dans un anglais précis et presque sophistiqué, mais c'est écrit comme une thèse pratique d'un mec qui a refondé sa vie autour de l'edging :
J'ai du mal à admettre que l'idéal qu'il explique c'est de vivre sans jouir, mais en même temps je comprends que toute la satisfaction que tu peux te donner pendant une longue stimulation de ta queue peut t'apporter une satisfaction supérieure au fait de jouir. Il propose une échelle de branles en 5 classes qui signifie que tu peux progresser vers la classe 5 dans laquelle je pense qu'il se trouve, sans orgasme mais en branles permanentes. J'ai du mal à m'imaginer son agenda et sa vie sociale (sur son profil Xtube il se définit comme solosexual : ) mais quand je vois certains mecs que je vois chaque jour sur Chaturbate pendant des heures, je pense que c'est possible d'avoir une vie qui tourne autour de sa propre bite.
L'expérience qu'il a bâtie tout au long de sa vie semble utile pour tous les gourmets de la branle qui lisent Chez Onan. Je la prends comme un extrême qui peut faire office de cible à atteindre, même si personnellement je ne m'engagerai pas sur une vie sans orgasme : j'aime trop l'éjaculation parce que j'adore le sperme surtout quand il est expulsé, et parce qu'à force d'expérience je trouve que je suis arrivé à des orgasmes bien meilleurs que quand j'étais ado avec plus de jus, qui durent assez longtemps avec assez de contractions et de points hauts dans le plaisir, même si la quantité de jus et la force des giclées ont diminué. Mais pour aller dans le sens de ce qui est proposé dans le blog, c'est vrai que très souvent je me retrouve à m'astiquer doucement pour monter à 80 % du plaisir maximum et mon but est d'y rester longtemps en plateau, sans chercher par la suite à monter à 100 pour jouir. Je me retrouve alors avec une sorte de tension diffuse (disons un niveau 15 % de plaisir) dans la zone de la queue, des couilles et du périnée, qui donne de l'énergie. Si cette tension décroit, il suffit de recommencer et là comme il n'y a pas eu d'orgasme il n'y a aucune période réfractaire et je remonte facilement à 80.
Dans le texte de ce blog il y a certains paragraphes intéressants, à côté de son échelle de la branle, comme la description de deux nuits passées à l'hôtel sans son ordinateur qu'il appelle "principal outil de sa vie sexuelle" (je crois que c'est vrai pour la plupart des hommes aujourd'hui, mais on ne décrit jamais son ordi comme ça, comme si c'était totalement tabou d'expliciter l'idée que notre outil principal de travail, pour nos textes ou nos mails, est aussi devenu l'outil principal de notre sexualité personnelle). Pour revenir à ses nuits d'hôtel, l'auteur du blog décrit le fait qu'il se retrouve seul avec sa queue, sans stimulation vidéo, et qu'il s'est retrouvé en plus forte connexion avec. C'est vrai que j'ai lu plusieurs fois comme conseil d'essayer de se branler sans stimulation vidéo. J'essaierai ce soir ...
.J'ai du mal à admettre que l'idéal qu'il explique c'est de vivre sans jouir, mais en même temps je comprends que toute la satisfaction que tu peux te donner pendant une longue stimulation de ta queue peut t'apporter une satisfaction supérieure au fait de jouir. Il propose une échelle de branles en 5 classes qui signifie que tu peux progresser vers la classe 5 dans laquelle je pense qu'il se trouve, sans orgasme mais en branles permanentes. J'ai du mal à m'imaginer son agenda et sa vie sociale (sur son profil Xtube il se définit comme solosexual : ) mais quand je vois certains mecs que je vois chaque jour sur Chaturbate pendant des heures, je pense que c'est possible d'avoir une vie qui tourne autour de sa propre bite.
L'expérience qu'il a bâtie tout au long de sa vie semble utile pour tous les gourmets de la branle qui lisent Chez Onan. Je la prends comme un extrême qui peut faire office de cible à atteindre, même si personnellement je ne m'engagerai pas sur une vie sans orgasme : j'aime trop l'éjaculation parce que j'adore le sperme surtout quand il est expulsé, et parce qu'à force d'expérience je trouve que je suis arrivé à des orgasmes bien meilleurs que quand j'étais ado avec plus de jus, qui durent assez longtemps avec assez de contractions et de points hauts dans le plaisir, même si la quantité de jus et la force des giclées ont diminué. Mais pour aller dans le sens de ce qui est proposé dans le blog, c'est vrai que très souvent je me retrouve à m'astiquer doucement pour monter à 80 % du plaisir maximum et mon but est d'y rester longtemps en plateau, sans chercher par la suite à monter à 100 pour jouir. Je me retrouve alors avec une sorte de tension diffuse (disons un niveau 15 % de plaisir) dans la zone de la queue, des couilles et du périnée, qui donne de l'énergie. Si cette tension décroit, il suffit de recommencer et là comme il n'y a pas eu d'orgasme il n'y a aucune période réfractaire et je remonte facilement à 80.
Dans le texte de ce blog il y a certains paragraphes intéressants, à côté de son échelle de la branle, comme la description de deux nuits passées à l'hôtel sans son ordinateur qu'il appelle "principal outil de sa vie sexuelle" (je crois que c'est vrai pour la plupart des hommes aujourd'hui, mais on ne décrit jamais son ordi comme ça, comme si c'était totalement tabou d'expliciter l'idée que notre outil principal de travail, pour nos textes ou nos mails, est aussi devenu l'outil principal de notre sexualité personnelle). Pour revenir à ses nuits d'hôtel, l'auteur du blog décrit le fait qu'il se retrouve seul avec sa queue, sans stimulation vidéo, et qu'il s'est retrouvé en plus forte connexion avec. C'est vrai que j'ai lu plusieurs fois comme conseil d'essayer de se branler sans stimulation vidéo. J'essaierai ce soir ...