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On en apprend tous les jours de ces jolis mots savants.

Ça doit pas faciliter la branle par contre.

Le saviez-vous ? L’ithyphallophobie est la peur du sexe masculin en érection

Cette phobie nuit sans doute grandement à la vie sexuelle



Parmi la liste des phobies étranges, en voici une peu connue, voire pas du tout : l’ithyphallophobie, ou la peur de voir un pénis entrer en érection. Oui, vous avez bien lu !



La peur de voir un sexe masculin entrer en érection est une maladie réelle. Elle concerne autant les hommes que les femmes et peut, naturellement, grandement nuire à la vie sexuelle de ceux qui en souffrent. L’ithyphallophobie vient du mot grec ‘ithy’ (droit), ‘phallo’ (pénis) et ‘phobie’ (peur).



Les symptômes de l’ithyphallophobie sont de l’anxiété à la vue d’un pénis en érection, ou simplement à la pensée d’y être confronté. La personne peut également ressentir du dégoût à la vue ou à la pensée d’un sexe masculin en érection, être dans l’impossibilité de toucher, ou même avoir une crise de panique.



Les causes, comme pour toute phobie, peuvent se trouver dans l’enfance, ou bien être liées à des traumatismes, comme des agressions sexuelles. Dans ce cas, il convient de faire un travail psychanalytique pour pouvoir endiguer ce problème.



L’ithyphallophobie est une peur étrange, particulière, qu’on connait très mal. Souvent liée à des souvenirs traumatiques, elle peut se guérir mais, en attendant, les personnes qui en souffrent peuvent être grandement gênées dans leur vie affective.

Source : dailygeekshow.com

C'est une maladie très grave!!! à classer dans le handicap susceptible d'attribution d'un taux d'invalidité à 100%... Blague à part, je suis de tout cœur avec ceux qui souffrent de ce syndrome... déjà pour le fait qu'ils ne peuvent accéder au plaisir suprême de la jouissance!

Pour un mec, généralement fier de sa bite en érection, cette phobie peut sembler incompréhensible, voire ridicule. Mais dans notre égoïsme, nous perdons de vue qu'en fait, nous ne sommes pas le public concerné...



En effet, l'ithyphallophobie est évoquée par Anne Labouret et Christophe Butstraen dans leur livre : Parlez du porno à vos enfants avant qu'Internet ne le fasse et ce n'est pas drôle du tout !



Imaginez que vous êtes une fillette de 7-10 ans, aux minuscules organes encore immatures, et que vous tombez sur les images ci-dessous.

De fait, la simple vue de telles images peut se révéler intimidante voire traumatisante...

A cette âge prépubère, les fillettes rêvent de belles robes, de princes charmants et de romances... Elles croient encore que "les bébés ça vient en s'embrassant".

Puis, nous, les mecs, on débarque avec ça :























































Labouret et Butstraen expliquent que ces mêmes images peuvent exercer l'effet inverse sur les garçonnets, à savoir les enthousiasmer ("Chouette ! Bientôt j'en aurai une comme ça!").



Quand j'étais ado, bien avant l'Internet et ses innombrables photos de bites, il était encore possible de faire croire aux filles qu'en érection, l'"outil" mesurait 30 cm en moyenne (sous-entendu : tu peux tomber sur encore plus gros ).

Tenir compte aussi qu'elles n'ont aucune idée de ce à quoi ressemble une éjaculation : elle ne savent pas si on va leur balancer 1/2 litre ou deux gouttes...



Pendant des siècles, et dans la plupart des cultures, les femmes ont ainsi vécu dans l'obscurité et l'ignorance la plus totale jusqu'à la nuit de noce...



Sans compter le risque pour les gamines de tomber sur des images encore plus intimidantes.

Elle devinent instinctivement que beaucoup d'hommes vont leur demander de le mettre en bouche, voire d'avaler le sperme...











La recommandation est de combattre l'ennemi (le porno) avec ses propres armes, en introduisant l'érotisme et la sexualité au moyen de pornos plutôt softs (pornos dits "de couples"), avec accompagnement des parents.

Ce genre de vidéos montrent des actes sexuels pleins de tendresse réciproque et illustrent bien que le moment peut/doit être un épanouissement pour la femme également.

L'ouvrage recommande de privilégier les séquences où la femme est au-dessus, afin de contrebalancer l'image à-priori dominante de l'homme pendant l'acte. Il est également conseillé de commencer par présenter des photos statiques avant les mouvements et les sons filmés...



Ces images, et les commentaires des parents, doivent expliquer que les organes de la fillettes vont se développer dans les mêmes proportions que la petite queue des garçons.































A.

Me suis retrouvé adolescent en pension où nous étions nombreux en dortoir. Y avait des gars qui se balladaient nus et énormément membré. Ils nous mettaient sous le nez leur engin..... je passe sur d'autres pratiques.... moi comme d'autres on se sentait réellement agressés. M'y suis remis mais cette expérience à été dangereuse à plusieurs points. Heureusement rien de tragique mais quelques collègues étaient prêts à en découdre par des moyens extrêmes.... On ne joue pas avec des personnes non consentantes.

Eric a écrit : ↑jeu. 16 avr. 2020, 20:54
Me suis retrouvé adolescent en pension où nous étions nombreux en dortoir. Y avait des gars qui se balladaient nus et énormément membré. Ils nous mettaient sous le nez leur engin..... je passe sur d'autres pratiques.... moi comme d'autres on se sentait réellement agressés. M'y suis remis mais cette expérience à été dangereuse à plusieurs points. Heureusement rien de tragique mais quelques collègues étaient prêts à en découdre par des moyens extrêmes.... On ne joue pas avec des personnes non consentantes.

Il faut voir ce que tes camarades de dortoir faisaient exactement...

Mais en internat, dans l'armée, en camp scout, etc. on doit pouvoir accepter de voir d'autres jeunes entièrement nus autour de soi.



Dans une chambrée de soldats, le matin on se lève avec une trique qu'on n'a aucun moyen de dissimuler à son voisin de lit, vu qu'il faut bien ôter son boxer de nuit pour enfiler son uniforme. Et, oui, on a quelquefois la bite engluée de sperme... Au début, quelques-uns tentent bien de se changer maladroitement sous leurs couvertures, mais ils en ont vite marre...

La plupart du temps les douches sont communes, etc.



La pratique intensive du cyclisme sportif provoque des érections causées par les frottements du périnée sur la selle. Dans le vestiaire qui s'ensuit, ces mecs-là circulent généralement avec le membre gonflé et proéminent ("érection molle").



Bref : difficile de criminaliser l'érection chez les jeunes hommes...

C'est un débat qui existe également dans la communauté naturiste, où il est recommandé aux hommes de se mettre à l'écart ou sur le ventre afin de dissimuler leur érection le temps de débander.



Cela dit, c'est connu que les Juifs et les Musulmans ont un problème avec la nudité et, à fortiori, s'il présente une érection...



A.

Merci arnaud.69 pour le partage. Ta première série de photos, celle des bites en érection, est incroyable. Ce sujet de la Zone Fun comporte une part très sérieuse que tu développes bien: le danger de la jungle d'internet pour les enfants. La psychanalyse explique en ce sens "le Petit Chaperon Rouge": la peur du loup est faite pour inviter les petites filles à la méfiance. Et si les contes restent un moyen de leur apprendre qu'il existe des adultes malintentionnés, quels contes raconter aux enfants pour les protéger de ces images?



Cela dit, pour nous, pour le côté fun, quelles photos! Hier soir, dans mon lit, je repensais aux contenus que j'avais pu voir sur ce site dans la journée: vidéos d'une autofellation et d'une queue qui suinte, entre autres. Je résistais à l'envie de me toucher, préférant laisser libre cours à ma rêverie. Et je passais seulement de temps en temps un doigt sur le méat de mon gland pour étaler le précum qui ne manquait pas de venir. Mais tout à coup je repense à ta galerie de photos et je suis pris d'une violente envie de ma bite. Je me suis fait alors une branlette bien hot.



Ces photos sont-elles belles? À première vue, on se laisse prendre aux explications qu'elles sont censées illustrer: oui, elles sont bien propres à effrayer les petites filles, certaines peuvent même paraître repoussantes. Mais à y regarder de près, je les trouve objectivement magnifiques car elles montrent les hommes en pleine action. Il y a une série de très beaux gourdins (1, 2, 4, 6, 9, 10, 12 et 13 notamment) qui n'impressionnent pas que par leur taille. Par exemple pour moi le premier est typique d'une branle bien commencée, même si le mec prend un instant la pose: son pieu est bien raide, certainement très dur comme le laisse deviner ce champignon hyper gonflé, rose de turgescence, légèrement satiné, plein à craquer (un champignon "atomique"!). J'aime aussi les chibres qui s'érigent au milieu d'une sombre et sauvage forêt de poils (2, 3, 5, 8, 11 et 12), surtout quand ces mêmes poils commencent à se coller ou sont trempés de sueur (3, 8 et 11): ces photos nous ressemblent, elles racontent notre degré d'excitation quand on s'est approché deux ou trois fois de l'orgasme, elles ont l'odeur de notre plaisir (ah! fourrager dans ces touffes! ah! les poils de cul bouclés et humides de la 8!). Troisième niveau: le gland qui suinte: promesse de jeux interminables de la photo 5! Et que dire de la photo 7?! Le mec a bien fait le travail: il a joui dans son prépuce ou dans sa main et a bien étalé tout ce beau foutre sur la hampe et le nœud. Mais quand on en est là, le plaisir n'est pas fini, on sait ce qui reste à faire: certains auront soin de récolter un peu de cette sauce avec leurs doigts quand d'autres aimeront amener tout doucement leur bel outil au repos en glissant délicatement un ou deux doigts sur cette bave pour de dernières caresses de pur bonheur!



Ces photos ont de quoi rendre ithyphallophile, si je ne l'étais pas déjà, et si ce mot existait...



Et pour finir, quelques photos de statues ithyphalliques (ce mot-là existe):



Statue de satyre ithyphallique. Le site nous explique que dans la Grèce antique les gros pénis étaient mal perçus. Priape, le dieu de la fertilité lui-même, était frappé de la malédiction d'une perpétuelle érection...



Grotesque: esclave nain.



Colonne ithyphallique de Dionysos à Délos. On se prend à rêver aux proportions de l'engin s'il était entier...