L'ami du petit déjeuné.
Publié : jeu. 15 déc. 2016, 00:02
Salut à tous je poste ici mon témoignage.
Je pense que je pratique le edging depuis des années sans vraiment le savoir, j'ai toujours préféré faire durer plutôt que d'aller au plus pressé.
Pendant mes années de célibat il m'arrivait de me branler pendant 8 heures de rang, parfois plus, jusqu'à l'éjaculation.
Aujourd'hui les choses sont un peu différentes mais je prends toujours entre 45 min et 2 heures pour la masturbation chaque matin mais cette fois en évitant soigneusement d'aller trop loin, bien sûr ce rituel se répète sur plusieurs jours. Je ne les comptabilise d'ailleurs pas vraiment, mais je sais qu'au bout du dixième les choses deviennent plus ardues généralement.
Techniquement le "surf", pour moi, repose essentiellement sur des variations dans la vitesse des mouvements, tout en mettant un point d'honneur à laisser le minimum de répit à ma queue. Le but étant de maintenir l'érection le plus longtemps possible. Il m'arrive d'utiliser un cock ring ou un ball stretcher ( ou les deux ) ou rien de tout cela. Je me branle le plus souvent debout en me laissant envahir par les vagues qui se succèdent mais tout en restant suffisamment attentif à tout débordement, auquel cas je ralentis...
C'est amusant de voir les similitudes qu'il peut y avoir entre les pratiques et surtout leur ressenti. Je dirai comme d'autres l'ont dit ici que ces séances me procure de l'énergie pour la journée, je remarque aussi qu'au fil des jours une (délicieuse) sensation de pression dans les couilles se fait sentir, une légère érection diffuse et continue, puis, personnellement, l'envie ( ou devrais je dire le besoin ) d'empoigner ma queue occupe toutes mes pensées. Il m'arrive parfois de m'isoler au taf pour assouvir quelques irrépressibles envies mais je sais qu'il faut être très prudent dans ces moments là, si je ne veux pas craquer ...la peur d'être surpris ajoute très certainement à l'exitation...
J'essaye de réserver mes éjaculations qui, après ces séances, sont souvent abondantes, à ma compagne ( quel sentimental ! ).
Par contre s'il y a une chose dont je suis pour l'instant incapable c'est l'abstinence, en générale je ne tiens pas plus de deux jours. Autant je trouve la "frustration" du edging tout bonnement délicieuse, autant le no touch reste hors de ma portée ou de mon intérêt ...tant pis.
En conclusion je dirais que tout se joue dans l'attention que l'on porte aux sensations que l'on éprouve ainsi que dans la respiration. Quant à moi je crois que je ne sais plus me branler autrementt, mais ça me convient tout à fait.
Merci pour ce site et cette communauté!
Je pense que je pratique le edging depuis des années sans vraiment le savoir, j'ai toujours préféré faire durer plutôt que d'aller au plus pressé.
Pendant mes années de célibat il m'arrivait de me branler pendant 8 heures de rang, parfois plus, jusqu'à l'éjaculation.
Aujourd'hui les choses sont un peu différentes mais je prends toujours entre 45 min et 2 heures pour la masturbation chaque matin mais cette fois en évitant soigneusement d'aller trop loin, bien sûr ce rituel se répète sur plusieurs jours. Je ne les comptabilise d'ailleurs pas vraiment, mais je sais qu'au bout du dixième les choses deviennent plus ardues généralement.
Techniquement le "surf", pour moi, repose essentiellement sur des variations dans la vitesse des mouvements, tout en mettant un point d'honneur à laisser le minimum de répit à ma queue. Le but étant de maintenir l'érection le plus longtemps possible. Il m'arrive d'utiliser un cock ring ou un ball stretcher ( ou les deux ) ou rien de tout cela. Je me branle le plus souvent debout en me laissant envahir par les vagues qui se succèdent mais tout en restant suffisamment attentif à tout débordement, auquel cas je ralentis...
C'est amusant de voir les similitudes qu'il peut y avoir entre les pratiques et surtout leur ressenti. Je dirai comme d'autres l'ont dit ici que ces séances me procure de l'énergie pour la journée, je remarque aussi qu'au fil des jours une (délicieuse) sensation de pression dans les couilles se fait sentir, une légère érection diffuse et continue, puis, personnellement, l'envie ( ou devrais je dire le besoin ) d'empoigner ma queue occupe toutes mes pensées. Il m'arrive parfois de m'isoler au taf pour assouvir quelques irrépressibles envies mais je sais qu'il faut être très prudent dans ces moments là, si je ne veux pas craquer ...la peur d'être surpris ajoute très certainement à l'exitation...
J'essaye de réserver mes éjaculations qui, après ces séances, sont souvent abondantes, à ma compagne ( quel sentimental ! ).
Par contre s'il y a une chose dont je suis pour l'instant incapable c'est l'abstinence, en générale je ne tiens pas plus de deux jours. Autant je trouve la "frustration" du edging tout bonnement délicieuse, autant le no touch reste hors de ma portée ou de mon intérêt ...tant pis.
En conclusion je dirais que tout se joue dans l'attention que l'on porte aux sensations que l'on éprouve ainsi que dans la respiration. Quant à moi je crois que je ne sais plus me branler autrementt, mais ça me convient tout à fait.
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