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Je suis non circoncis, et j'aime particulièrement mon prépuce et tout ce que fais avec pour me donner du plaisir.

Mais parfois j'aurai aimé être circoncis, pour bien montré mon gland qui est très gros

Alors un jour j'ai trouvé la solution en me branlant avec du gel, en utilisant la méthode suivante.



J'avais mis un peu de gel dans ma main et commençais à masser ma bite, décalottée, en plaçant ma main de la manière suivante :

Ma paume sur le dessus de ma bite et mes doigts dessous, et je masse vers le bas, en serrant assez fort, ce qui a pour effet de rouler le prépuce et à la fin il est juste sous le gland, et le frein aussi.

Il n'y a donc plus ce bourrelet épais comme quand on décalotte simplement.

Voilà, ai-je été assez explicite.



Je complète souvent cette procédure en portant un cockring, qui englobe couilles et bite

Résultat, une bite bien à l'horizontale et gland turgescent

J'aime que mon sexe se présente dans cet état, à la plage, au sauna, et aussi quand je vais me faire épiler le maillot intégral en institut, et l'esthéticienne ne peux ne pas voir ce beau gland, et comme c'est moi qui tient ma bite pendant qu'elle m'épile, de temps en temps je presse discrètement le gland pour faire sortir les gouttes de précum(d'ailleurs une fois ça a bien coulé et elle a essuyé avec un papier)



Je me suis bien sûr excusé sur mon début d'érection, elle m'a dit, c'n'est pas grave.



Le cockring, je le mets que chez moi quand je suis seul, et que je me ballade à poil dans l'appartement.

Pour les non circoncis, essayez ma méthode, vous m'en direz des nouvelles

Ou alors qui veut l'essayer avec moi?

Très excitant ton post. Il y a une dizaine d'années ou un peu plus je me suis volontairement sectionner ou casser le frein... J'ai eu beaucoup de relations homos ou hétéros mais voulais faire cette expérience ou maso extrême. Bien excité un soir seul chez moi je me suis mis à l'oeuvre, je savais que ça risquait de saigner mais bof..... Je me suis décalotter au maximum, ai tirer le plus que je pouvais et tout d'un coup j'ai entendu un clac (je me souviens bien du bruit et ça m'excite encore), une douleur aiguë, n'ai pas regardé tout de suite, me suis dirigé vers la baignoire au cas où ça saignerai beaucoup mais ça n'a pas si important. L'hémorragie a été de courte durée, me me suis pas loupé car après quand la douleur s'est estompé j'arrivais à décalotter au maximum, puis ai continuer ensuite à m'étirer, ça a pris encore du temps mais les fois suivantes les saignements étaient minimes, ai coupé petit à petit le reste de frein qui restait, maintenant ce n'est qu'un lointain souvenir ce petit bout de peau. J'ai eu mal pendant quelques mois ou longues semaines mais maintenant je peux être empalé sans risque ou sodomiser sec sans risque de rupture. C'est vrai qu'on bande moins dur mais on trouve d'autres plaisirs, si on veut vraiment avoir du volume il suffit de mettre un élastique à la base de la verge. En groupe ou avec un partenaire quand je décalotte à fond d'un seul coup et que mon gland apparaît complètement décalotter ça impressionne mon petit monde qui n'a qu'une envie de venir y goûter..... Pratique un peu dangereuse à faire seul mais quel plaisir ai eu ce fameux week end en solitaire..... N'y regrette rien.....

Ayant envie d'essayer de nouvelles pratiques et après avoir parcouru le site , je me suis essayé à ceci :



Bite bien bandée, je me suis décalotté à fond et ai gardé ma main gauche prés des couilles en enserrant mon zob pour que la peau ne remonte pas. J'ai ensuite fait un anneau avec mon pouce et mon index droit sous le gland. j'ai tiré cet anneau vers le haut.....j avais mis un bon porno avant......il faut juste enlever la main des couilles pour récupérer son jus.....

Essaie avec une petite cuiller :

— Vas-y mon vieux, décalotte-moi, fais quelques aller-retours de sorte que la peau du prépuce commence à se replier sur elle-même vers l'intérieur, puis tu prends le bout du manche de la cuiller et tu rentres bien complètement le bord du prépuce sous le reste de la peau, petit à petit en faisant le tour depuis le frein jusqu'au frein. Tu peux mettre un peu de salive si ça aide...



C'est ainsi que, petit à petit, je parvins à retourner vers l'intérieur toute la peau de son prépuce. Le gland était désormais bien dégagé, sans aucun bourrelet ou "col roulé". Mon Denis avait vraiment l'air d'être un mec circoncis...

Le récit complet se trouve ici : viewtopic.php?f=39&t=9280#p46414



A.

max dorcel a écrit : ↑ven. 31 mai 2013, 08:33
Je suis non circoncis, et j'aime particulièrement mon prépuce et tout ce que fais avec pour me donner du plaisir.

Mais parfois j'aurai aimé être circoncis, pour bien montré mon gland qui est très gros

Alors un jour j'ai trouvé la solution en me branlant avec du gel, en utilisant la méthode suivante.



J'avais mis un peu de gel dans ma main et commençais à masser ma bite, décalottée, en plaçant ma main de la manière suivante :

Ma paume sur le dessus de ma bite et mes doigts dessous, et je masse vers le bas, en serrant assez fort, ce qui a pour effet de rouler le prépuce et à la fin il est juste sous le gland, et le frein aussi.

Il n'y a donc plus ce bourrelet épais comme quand on décalotte simplement.

Voilà, ai-je été assez explicite.



Je complète souvent cette procédure en portant un cockring, qui englobe couilles et bite

Résultat, une bite bien à l'horizontale et gland turgescent

J'aime que mon sexe se présente dans cet état, à la plage, au sauna, et aussi quand je vais me faire épiler le maillot intégral en institut, et l'esthéticienne ne peux ne pas voir ce beau gland, et comme c'est moi qui tient ma bite pendant qu'elle m'épile, de temps en temps je presse discrètement le gland pour faire sortir les gouttes de précum(d'ailleurs une fois ça a bien coulé et elle a essuyé avec un papier)



Je me suis bien sûr excusé sur mon début d'érection, elle m'a dit, c'n'est pas grave.



Le cockring, je le mets que chez moi quand je suis seul, et que je me ballade à poil dans l'appartement.

Pour les non circoncis, essayez ma méthode, vous m'en direz des nouvelles

Ou alors qui veut l'essayer avec moi?

Je ne suis ni juif , ni musulman, mais opéré à 2 ans pour phimosis! Donc circoncis, cet état particulier et les femmes qui ont pratiquées mon gland ont toutes béni ce fait! Le gland est effectivement tres gros opu apparait comme tel. Gros succès!! Par contre au repos , on perd quelques centimètres!

Pour donner un effet circoncis, voici comment je procède :

Je prends une capote non lubrifiée (ou encore une capote normale que l'on rince au savon, que l'on talque et qu'on enroue à nouveau.

Une fois en érection, je déroule la capote sur ma bite et à peu près à mi-chemin, j'empoigne la capote que je tire au maximum vers la base de ma queue. Toute la peau reste ainsi coincée vers le bas et le gland reste en permanence libre ; enfin presque puisqu'il y a le latex dessus. Je me branle ainsi à même la capote, donc à même le gland. Vous voyez ?

J’ai un long prépuce qui recouvre presque entièrement le gland quand je suis en érection. Pendant des années, chaque fois que je me branlais, c’était de la manière la plus classique en faisant coulisser le prépuce sur le gland à chaque va-et-vient, mais sans oser décalotter complètement mon gland. Quand je le faisais, ça m’excitait grave et l’éjaculation suivait assez vite. J’ai découvert toutes les techniques d’Onan il y a seulement trois ans (mieux vaut tard que jamais!) et j’ai commencé à toutes les essayer, notamment les caresses avec le gland décalotté. Au début, l’impression était étrange, comme celle d’une nudité ultime, mon gland s’offrant aussi à la vue et au toucher comme tout le reste. Quelquefois je me retrouvais à jouer avec lui à n’importe quel moment de la journée, juste la braguette ouverte. Alors si l’excitation montait trop, je paniquais d’être ainsi décalotté et le seul mouvement de me "recalotter" en urgence faisait sortir la sauce…



Tout ceci est devenu de l’histoire ancienne: mon gland s’est habitué à rester décalotté. Me masturber comme un circoncis est même devenu ma manière la plus fréquente, même si j’aime aussi toujours jouer avec mon prépuce.



Les techniques d’une seule main où je touche mon gland en direct sont nombreuses. Il y a toutes celles où l’on n’a pas besoin d’un grand va-et-vient et qui évitent ainsi le "recalottage". Entre autres: le mini-joystick (le poing immobile tient le manche avec la peau tirée et le pouce s’amuse sur le gland), le génie de la lampe (c’est mon pouce qui frotte seul et les autres doigts maintiennent la hampe et la peau tirée comme ils peuvent, selon ma position), évidemment ma technique de la cerise sur le gâteau (voir mon topic: viewtopic.php?f=3&t=9710), l’anneau flottant (caresse légère qui n’entraîne pas la peau avec elle, parfois même je pratique aussi ce qu’on pourrait appeler "le poing flottant"), et aussi une manière à moi de pratiquer les cinq doigts (l’index, le majeur, l’annulaire et éventuellement l’auriculaire vont et viennent sur la face postérieure tandis que mon pouce est immobile sous le gland, face antérieure, ou carrément sur le gland lui-même).



Ensuite, évidemment, j’adore utiliser les techniques qui permettent de garder la peau tirée vers la base de la hampe avec l’intervention de l’autre main: le portail est la plus fréquente (viewtopic.php?f=3&t=32), mais je pratique aussi de temps en temps les cordons de la bourse (viewtopic.php?f=10&t=89) ou le compresseur (viewtopic.php?f=10&t=87). Ces techniques ont aussi l’avantage, si je suis allongé, de maintenir mon dard fièrement dressé à la verticale et, que je sois dans le noir ou en plein jour, je sens, j’imagine et/ou je vois avec fierté mon bel instrument dénudé, ma hampe veineuse, raide comme un bâton, mon gland offert, orgueilleusement gonflé comme un paon qui fait la roue. Alors la main maîtresse de mes plaisirs peut se permettre toutes les randonnées sur ce pic magnifique émergeant de la forêt de mes poils pubiens, tantôt à sec jusqu’à ce que la peau deviennent lisse et soyeuse, tantôt en jouant avec mon précum sur le gland, le frein, ou même tout le haut du manche quand il y en a beaucoup, et parfois avec du lubrifiant.



Bien sûr, en procédant ainsi je ne pratique plus les va-et-vient frénétiques et sauvages d’antan qui me menaient vite à l’orgasme. Mes caresses sont plus lentes et je prends mon temps. Mais, croyez-moi, ça vaut le coup!



lépicurien