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Décalottage
Publié : mar. 30 avr. 2013, 15:55
par bob102
Tout est dans le titre.
SVP, seuls les mecs qui ont un prépuce qui recouvre plus des 3/4 du gland au repos répondent
please
Re: Décalottage
Publié : ven. 20 mars 2020, 02:22
par Frank
décalottage complet, car mon frein est rompu presque totalement,vers 18 ans si je me souviens bien, pour cause de branle trop vigoureuse !
Re: Décalottage
Publié : ven. 20 mars 2020, 12:29
par chri
Frank a écrit : ↑ven. 20 mars 2020, 02:22décalottage complet, car mon frein est rompu presque totalement,vers 18 ans si je me souviens bien, pour cause de branle trop vigoureuse !
Exactement le même cas que moi! Et je me rappelle même m’en être pas vraiment aperçu sur le coup!
Re: Décalottage
Publié : sam. 21 mars 2020, 06:17
par Membre supprimé 8784
k
Re: Décalottage
Publié : sam. 21 mars 2020, 13:02
par chri
jeff03780 a écrit : ↑sam. 21 mars 2020, 06:17Belle queue Chris,
Merci
jeff03780 a écrit : ↑sam. 21 mars 2020, 06:17Ça a dû faire mal non?
Pas de vrai souvenir.. à l’époque je me « branlais » en tirant le plus possible, je n’avais pas encore expérimenté le mouvement va et vient
Du coup, y’a eu une sensation plus forte mais rien d’extraordinaire. Je recueillais dans un mouchoir, j’ai bien noté le sang le lendemain et aussi la petite croûte derrière sous le gland mais j’ai mis du temps à associer à la perte du frein !
Et après, ça coulissait tout seul
Re: Décalottage
Publié : sam. 21 mars 2020, 14:01
par arnaud.69
Anomalies génitales externes fréquentes, chez le garçon : adhérences, phimosis et paraphimosis
Dr Véronique DESVIGNES - 24/11/2014
Si la verge de votre garçon présente des adhérences du prépuce interdisant d’extérioriser le gland, vous devez, comme la plupart des parents vous interroger sur la meilleure chose à faire : faut-il le décalotter ou au contraire « laisser faire » la nature ?
Quelques questions au docteur Desvignes, pédiatre à Chamalières et attachée en néphrologie pédiatrique au CHU de Clermont Ferrand :
La difficulté du décalottage chez les garçons est-elle fréquente ?
Oui. Certains tout petits n’ont ni adhérences ni phimosis, et peuvent être rapidement et facilement décalottés, mais cela reste rare. En général, il existe physiologiquement des adhérences préputiales, c’est-à-dire que le prépuce est « collé » sur le gland. Les sécrétions préputiales blanchâtres (smegma), que l’on voit souvent en transparence, vont partir du bas vers le sommet du gland et permettre dans 80% des cas la libération spontanée des adhérences à partir de l’âge de 5 ans. Plus rarement peut exister un phimosis, c’est-à-dire que l’extrémité du prépuce est tellement étroite qu’elle ne permet pas la sortie du gland.
Pourquoi l’enfant doit-il pouvoir se décalotter complètement ?
Le but est que votre enfant, à l’adolescence, n’ait pas de problème lors des érections. L’existence d’adhérences de quelques millimètres dans le sillon qui sépare le gland et la verge n’est pas inquiétante. La plupart du temps, les premières érections de l’adolescence règlent ce problème sans vécu particulièrement douloureux.
Par contre un décalottage impossible ou incomplet en raison d’un phimosis serré ou d’adhérences étendues rendra celles-ci douloureuses.
Les urologues recommandent actuellement « une abstention de tout geste de décalottage avant l’âge d’un an, le respect de l’évolution naturelle du prépuce jusqu’à l’âge de cinq ans et le traitement en première intention par des corticoïdes locaux des phimosis congénitaux ou secondaires avant tout geste chirurgical. »
Mais en pratique, l’attitude des praticiens est beaucoup moins consensuelle.
Les pratiques de terrain
En fait il y a deux écoles : certains pédiatres et médecins, compte-tenu de ce qui a été dit plus haut, attendent que « la nature fasse bien les choses ». Ils vont donc vous expliquer, ainsi qu’à votre enfant, comment se laver, comment tirer tout doucement, sans forcer sur son prépuce. Ne rien faire ne doit en effet pas dispenser d’explications, faute de quoi votre enfant, une fois adolescent, risque de se retrouver avec un problème inattendu qu’il abordera difficilement avec vous ou avec le médecin.
D’autres pédiatres et médecins préfèrent continuer à lever les adhérences.
Les partisans d’une levée plus précoce des adhérences avancent plusieurs arguments: un nombre non négligeable de petits garçons garderait des adhérences préputiales étendues à 5 ans, 8 ans ou même à l’adolescence obligeant l’urologue soit à opérer sous anesthésie générale, soit à décalotter l’enfant au cabinet après application de crème anesthésiante. Pour ces enfants déjà âgés et ces adolescents, la douleur qui suit le décalottage, notamment lors des mictions, bien que de mieux en mieux gérée par les antalgiques, reste longtemps gravée dans les mémoires.
De l’avis des médecins qui décalottent les garçons plus petits, un décalottage plus précoce est considéré comme moins traumatisant pour l’enfant.
Les autres arguments avancés sont la prise en charge rapide par l’enfant de son hygiène et la fréquence moindre des infections urinaires. (C’est d’ailleurs pourquoi l’on conseille de circoncire les enfants porteurs d’anomalies de l’appareil urinaire chez lesquels les infections urinaires sont plus fréquentes et plus graves)
De fait l’application d’une pommade dermocorticoïde quelques jours ou semaines avant la tentative de libération des adhérences est absolument sans danger et permet d’assouplir le prépuce. Enfin l’application d’une crème anesthésiante pendant 10 à 15 minutes rend les manœuvres libératoires en cabinet très peu douloureuses.
Une fois les premières manœuvres libératoires faites en cabinet, des décalottages réguliers (une à plusieurs fois par semaine, en dehors puis dans le bain) permettent d’éviter la récidive des adhérences. Tout décalottage doit être suivi d’un recalottage rapide.
Si votre médecin opte pour un décalottage en cabinet, quel est le meilleur âge pour faciliter ce décalottage ?
Il est extrêmement variable, très opérateur-dépendant, et va de 6 mois à 5-6 ans.
Quoi qu’il en soit et quelles que soient les habitudes et convictions de votre pédiatre, généraliste ou urologue, tous sont unanimes pour penser que le prépuce est très fragile et ne doit pas être traumatisé. En effet des manœuvres trop brutales peuvent provoquer un saignement, des éraillures importantes au niveau de l’anneau préputial qui vont en diminuer l’élasticité, l’épaissir voire générer un phimosis secondaire rendant le décalottage impossible.
Et qu’en est-il du phimosis ?
Si les dermocorticoïdes sont inefficaces, avec un anneau préputial «rigide», qui interdit totalement la sortie du gland, c’est ce que l’on appelle phimosis. L’avis de l’urologue doit être demandé. Il faudra certainement opérer un jour votre garçon. Cette intervention peut se faire soit « a minima » juste pour permettre la sortie du gland en gardant l’essentiel du prépuce, soit en enlevant tout le prépuce (réalisant une circoncision dont certaines religions font un rite obligatoire).
Qu’est-ce que le paraphimosis ?
Le prépuce est retroussé sous le gland, lequel gonfle rapidement et rend le recalottage difficile. Cette situation survient généralement après un décalottage non suivi d’un recalottage rapide.
Ne paniquez pas mais essayez d’abord de recalotter vous-même votre garçon: avec 2 doigts de chaque côté de la verge, partez bien de la racine de celle-ci pour remonter le prépuce qui doit franchir le petit «ressaut» du gland. Si vous n’y arrivez pas, essayez de mettre le zizi dans de l’eau froide (le volume de la verge diminue, permettant souvent le recalottage, qui peut être facilité par l’application sur le gland d’un corps gras : vaseline, liniment oléo-calcaire, huile…).
En cas d’échec, amenez votre enfant chez le votre médecin ou à l’hôpital. Il s’agit d’une vraie urgence.
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Re: Décalottage
Publié : mer. 21 avr. 2021, 08:42
par Yop_31
J'ai répondu 17 ans mais en réalité c'est à 19 ans lors d'une masturbation que j'ai réussi à décalotter... avec petite rupture du frein et quelques gouttes de sang..
Il faudrait rajouter une ligne "plus de 17 ans" dans le sondage...
Cette impossibilité de décalotter (ou plutôt décalottage difficile et douloureux) aurait sans doute dû bénéficier d'un geste médical...car cela m'a causé irritation du sillon en raison d'une difficulté à le nettoyer... mais timide, je n'osais pas en parler.
J'ai été soulagé que ça se fasse tout seul, à 19 ans passés..(et ainsi résolu les problèmes d'hygiène du sillon).
Cela veut dire que jusqu'à ce premier décalottage, je me masturbais en frottant le prépuce sur le gland non découvert...et que du sperme coulait dans le sillon et y restait prisonnier, ce qui n'aidait pas à maintenir une bonne propreté du sillon....
Donc si un "jeune" lit ces lignes et s'il est concerné par le même problème, je lui conseille d'en parler à son médecin traitant... ça sert à rien de faire trainer des années en espérant une résolution naturelle du problème... même si cela a été heureusement le cas pour moi.
Re: Décalottage
Publié : ven. 21 mai 2021, 17:36
par Bistouquet01
Frank a écrit : ↑ven. 20 mars 2020, 02:22décalottage complet, car mon frein est rompu presque totalement,vers 18 ans si je me souviens bien, pour cause de branle trop vigoureuse !
salut les branleurs heureux d'avoir trouver ce site pour faire suite à ce post moi aussi je me suis rompu le frein lors d'une mastu trop poussée en fait je pensais vouloir de dépuceler à l’époque j'avais 16 ans résultat une hémorragie phénoménale
j'ai du planqué le drap pour que ma mère ne voit rien ...pourquoi pas échanger les photos de nos pénis mutilés
Re: Décalottage
Publié : ven. 21 mai 2021, 22:15
par Eric
Oui sujet très intéressant.... Avais raconté mon aventure ça va faire une vingtaine d'années que j'ai cassé volontairement mon frein dans la baignoire car je savais que ça allait pisser le sang... La douleur supportable même lors de la rupture et ensuite durant plusieurs semaines ensuite m'interdisait toute activité. J'ai encore à l'oreille le clac de déchirement. Avant de procéder je titillais depuis pas mal de temps, avais percé la peau, puis ce soir seul, décidé et excité ai forcé pour que ça lâche. Avais vu des gars à qui c'est arrivé en pleine action sans gravité. Peut être étais je imprudent, avais anticipé une grosse hémorragie en mettant de côté un préservatif à porté de main au cas où !... Ça a saigné pas mal dans la baignoire pendant quelques minutes... Je n'encourage pas à le faire, j'ai une certaine chance que ça se passe bien, mais on ne sait jamais... A l'époque étais pas mal maso, actuellement moins hardi suis plus sage...... En tout bon souvenir et sans regret...