Veuf, travaillant dans une fonderie, j'ai été gravement brulé aux deux mains il y a deux semaines, je suis en arrêt de travail pour au moins deux mois, les bandages sont impressionnants et j'arrive à peine à m'occuper de mes repas ou de la toilette. On m'a donné une infirmière qui passe rapidement le matin pour m'aider dans les tâches les plus courantes, mais elle à d'autres patients à voir et ne traîne pas chez moi...
Je suis en appart dans un immeuble récent, je ne connais pas tous le monde, je n'ose pas demander de l'aide et pourtant j'en aurai bien besoin, j'ai croisé un couple de mes voisins de palier, on s'est présenté les uns aux autres, ils ont une dizaine d'années de moins que moi, la femme est mignonne, énergique, le mari semble quelconque, ils m'ont plaint, m'ont dit qu'ils avaient pitié de moi, c'est gentil, mais ça n'aide pas beaucoup...
L'autre matin, ça sonne à la porte au moment où j'essuyais tout ce que j'avais mis à côté en essayant de pisser droit avec mes moufles en bandes velpo, je vais ouvrir, c'est la voisine rencontrée l'autre jour, elle me demande si elle dérange, je dis non, elle a une idée pour m'aider dans les tâches courantes, je lui dis d'entrer en lui proposant un café, quand elle voit le temps que je met à le préparer, elle le fait à ma place, en deux temps, trois mouvements...
Elle me parle de son idée, elle ne travaille pas, son mari gagne bien, sans enfants à s'occuper, elle s'embête dans son appart, et s'est dites qu'elle pourrai venir me faire du ménage, du repassage, bref, tous les trucs qui me gonflent parce que je n'y arrive pas, j'hésite un peu, elle est mariée, que va dire son mari, elle me répond que "celui-là" n'a qu'à s'occuper de ses affaires, elle aide qui elle veut, le bénévolat n'est pas interdit par la religion...
J'accepte son aide, elle fait un tour rapide de l'appart pour voir ce qui est prioritaire, elle ouvre les wc pour jeter un œil et voit que j'ai raté la cuvette, je suis très gêné, elle me dit, rassurante et pleine de condescendance, "et bien mon pauvre Monsieur... Il est temps que je vous vienne en aide..." et elle attaque de suite en allant chercher des produits lessiviels et tout ce qu'il faut pour le grand ménage, - allez regarder la télé... ne restez pas dans mes jambes... me dit-elle en me poussant vers le salon, je pose mon cul dans le canapé...
La voilà qui s'active, énergique, une hyperactive je pense, je la regarde faire quand elle est à ma portée, je regarde aussi son physique, ses formes sous la blouse qu'elle a mis, elle a une poitrine généreuse et un fessier bien ferme et rond , brune coiffée en chignon, sans maquillage ou presque, elle a cette beauté naturelle de la femme vaillante au travail, j'en bande déjà à moitié, ce n'est pas difficile, depuis le temps où je n'ai pas baisé et que je ne puis plus m'auto satisfaire, j'ai les valseuses pleines qui ne demandent qu'à être vidées...
Une envie de pisser me reprend sur les coups de midi, elle me prépare à manger et j'en profite pour me faufiler jusqu'aux wc, à peine ai-je ouvert la porte qu'elle rapplique comme une furie, "Ah non…!!! - vous n'allez pas m'en mettre partout… - j'ai tout nettoyé et désinfecté… Laissez-moi faire… à moins que ce soit pour la "grosse commission"…? - non, non… lui dis-je, - c'est juste pour p…faire heu… - J'ai compris… dit-elle, - pour faire un pipi…? - Oui…
Prestement, elle me défait le pantalon et la braguette pour passer ensuite sa main dans mon slip et attraper ma verge, j'avais commencé à débander mais mon engin était encore forme et elle eu un sourire en le regardant, - et ben dites donc…! - la nature vous a gâté… - c'est pas comme celui que j'ai chez moi… dit-elle en ricanant, et elle dirige, d'une main assurée, mon outil vers la cuvette, - il faut faire ça aussi…- pour ne pas en mettre partout… dit-elle en me découvrant le gland, la caresse involontaire de sa main chaude sur ma queue et son décalottage, me coupe toute envie de pisser et je me remets à bander…
- Holala…!!! - ben voilà autre chose… dit-elle, mais pas gênée pour autant, elle ne la lâche pas, continuant de tirer la peau vers le plus bas qu'elle peut, ce qui ne fait qu'en rajouter à mon plaisir et à mon érection;
- J'ai été aide-soignante avant de me marier… J'en ai vu des choses… ne soyez pas gêné avec moi… Surtout dans votre état… me dit-elle gentiment. Et puis… faudrait que vous pensiez à vous chercher une dame pour vous remarier… vous ne pouvez pas rester tout seul comme ça… C'est utile une femme dans un grand appartement… ça fait plein de chose une dame… comme pour ça… ajoute-elle en commençant à me branler.
Je ne sais plus où me foutre, d'un côté, j'ai une putain d'envie de jouir sous sa main et d'un autre, je me demande si tout cela est bien réel et où ça va me mener, je la laisse quand même faire, ce n'est pas tous les jours que l'on a une branleuse bénévole à la maison, de plus, elle branle bien et s'est mise à me masser les testicules.
- Ah… faudrait penser à faire un brin de toilette plus poussé… souligne-t-elle en experte. Je sais bien que cela ne doit pas être facile… avec vos gros pansements… je pourrais vous aider… Si vous le voulez bien sûr… Derrière, ça ne doit pas être très nickel non plus je pense…ajoute-t-elle en me passant un doigt entre les fesses.
Du coup, elle me fait fantasmer, sa proposition de ma laver, le passage de son doigt, en plus de sa masturbation sur ma verge, me durcissent encore plus, elle me félicite sur la taille de mon engin et me redit qu'une femme à la maison apprécierait un bel homme comme moi et si bien équipé, je ne suis pas long à venir, l'abstinence forcée et l'érotisme torride de cette situation imprévue, font que je ne peux retenir cet orgasme incontrôlé qui me monte de partout, j'ai un râle étouffé en lâchant de longs traits de sperme auxquels elle ne s'attendait pas, il y en a partout sur le wc, et quel pied je viens de prendre.
- Houlala…!!! - Impressionnant…!!! dit-elle, - mais bon… va falloir que je re-nettoie…
J'ai senti l'envie de pisser revenir en débandant, je le lui ai dit, elle est restée pour me la tenir, elle me souriait, regardait mon jet, me souriait encore, quand j'ai eu fini, elle me la secoua délicatement et me l'essuya avec du papier, puis elle se déculotta, s'assit sur la cuvette, et vida sa vessie devant moi avec un chuintement très excitant, comme je n'en avais pas entendu depuis longtemps.
Elle m'a laissé seul pour aller manger avec son mari, bonne cuisinière en plus, j'appréciais le repas qu'elle m'avait préparé, en pensant fortement à la toilette qu'elle allait me faire, et je rebandais de nouveau, elle est revenue vers quatorze heures avec une petite trousse de toilette, des produits pour les soins de la peau me dit-elle, elle m'annonça que son mari était reparti bosser et ne reviendrait pas avant dix-huit heures trente, tout ça pour me faire comprendre qu'elle avait du temps à me consacrer, elle m'a dit qu'elle devait se changer pour ma toilette et est partie dans ma chambre, elle en est revenue presque nue sous sa blouse, elle avait enlevé ses vêtements, ne gardant que culotte et sous-tif qui se voyaient au travers du nylon, le faisait-elle exprès…? Savait-elle à quel point elle m'excitait…? J'en avais la queue durcie à l'extrême, coincée dans mon futal, prête à jaillir à la moindre ouverture.
C'est d'ailleurs ce qui se produisit quand elle me déshabilla dans la salle de bain, au baissage de mon slip, tel le serpent bondissant sur sa proie, ma verge se mit au garde-à-vous comme la lame d'un couteau automatique, ma bénévole sursauta puis gloussa des appréciations mêlées de compliments et d'envies déguisées, tout en la caressant des doigts.
- Mon Dieu…!!! - Déjà prête…!!! Qu'elle est belle… - Aaahh…Si j'en avais une comme ça chez moi… - Vous devez faire des ravages avec un engin pareil…?
- On doit la sentir passer…? - Surtout par la petite porte…!? Vous faites ça aux femmes vous…?
- Heu… oui… Si elles le veulent…
- Holala… quelle chance elles ont… c'est pas avec le mien que ça arriverait… Je suis pour ainsi dire, encore vierge de cet endroit… Mais bon…allez… la toilette… parce que ça sent un peu le fauve là-dessus…
Je suis resté la queue en l'air tout le temps qu'elle me savonnait, de la tête aux pieds, super agréable que de se faire laver, comme un massage, elle prenait son temps, douce et méticuleuse, n'oubliant aucun recoin, elle revenait sur ma verge par moments mais juste pour un ou deux aller-retour manuels et savonneux, là aussi elle me faisait durer, maintenant l'érection mais sans m'amener à l'éjaculation, arrive l'instant du lavage de "derrière", ma lavandière bénévole me fait me pencher en avant, mains appuyées sur le carrelage, elle inspecte ma raie en m'écartant les fesses des deux mains…
- Houlala…!!! - Je m'en doutais…! - C'est pas très propre là non plus…! - C'est un récurage complet qu'il va falloir vous faire…!
Et joignant le geste à la parole, elle m'asperge l'endroit de savon et commence à frotter fortement, au gant de toilette d'abord puis, estiment que c'est insuffisant, elle passe au gant de crin, beaucoup plus douloureux, j'ai l'impression qu'elle me nettoie les plis anneaux un par un, je commence à débander, j'ai la raie et l'anus en feu, je le lui dis, elle arrête avec le gant abrasif pour continuer avec ses doigts, le ponçage devient caresse, elle remet du savon, je me détends du sphincter, à tel point qu'un de ses doigts glisse dans mon anus, malencontreusement me dit-elle en s'excusant, mais son doigt reste dedans et me masse la rondelle de l'intérieur…
- Mais c'est qu'il aimerait ça…!? - Il se laisse faire…!? - Il y a déjà goutté…? Me demande-t-elle en enfonçant son doigt plus en avant.
- Heu… une fois… avec une amie…dans le temps… lui dis-je.
- Et vous avez aimez ça…?
- Oui…, avouais-je, un peu honteux.
- Je vois ça… Poussez un peu pour vous détendre…, et la voilà en train de me doigter, repassant son autre main entre mes cuisses, elle me masse les couilles puis se remet à me branler.
- Holala…!!! - Je sens aussi que vous êtes encombré… - ça doit être vos médicaments qui vous font ça…?
- Oui…Je crois…
- Allez…Un petit lavement ne vous fera pas de mal… J'ai ce qu'il faut… D'accord…?
- Heu…oui…si vous le dites… c'est vous l'aide soignante…, dis-je, lui cachant que ça ne me déplait pas, mon épouse m'en faisait parfois.
Ma voisine m'a lavementé, deux poires coup sur coup, puis je suis allé me vider aux wc, à mon retour, elle m'a encore lavé la zone anale et s'est remise à me doigter, mais plus en rythme et plus profondément, elle me masturbait agréablement bien et je sentais la jouissance monter, la première branlette avait évacuée mes émois, je contrôlais mieux la chose.
- Si cela vous dit…? J'ai un petit objet pour votre plaisir… mieux que mon doigt…?
— Faites-voir… lui dis-je
- Ça… Vous connaissez…? Me demande-t-elle, en sortant un vibromasseur de sa trousse de toilette, un blanc, d'une vingtaine de cm de long et d'au moins trois à quatre de diamètre…
— Je connais oui… j'en ai vus en photos…
- Et jamais essayé…? Me demande-t-elle.
— Non… C'est gros quand même…!
- Mais non… il y a plus gros… Celui-là est fait pour les puceaux comme vous… Vous allez aimer ça… On y va …?
— Heu…oui… mais si j'ai mal…vous arrêtez… d'accord…?
- Bien sûr…! Mais vous n'aurez pas mal… vous allez l'aimer, je vous dis… Allez… On donne ses petites fesses à la dame…! On tend sa croupe…!
J'ai fait ce qu'elle disait, j'ai tendu mes fesses vers elle et l'objet, j'entendais ses vibrations pendant qu'elle me massait l'anus avec, c'était très agréable, je devais être très détendu et encore savonneux de la rondelle quand elle a commencé à me l'enfoncer, c'est rentré comme dans du beurre, à part l'élargissement progressif de mon sphincter et de mon rectum, je n'ai rien ressenti de déplaisant, elle était délicate avec moi, me demandant si ça allait, si je voulais plus profond, plus vite, sa main sur ma queue faisait des miracles, elle m'a dit que je prenais bien dans les fesses, mais pas autant que son mari, j'ai demandé pourquoi elle disait cela, elle m'a répondu, "- plus tard… je vous le dirai… après…"
Plus j'en prenais, plus j'aimais ça, je tendais éhontément mon cul pour qu'elle me le défonce, je poussais sur mon sphincter pour qu'elle m'envahisse, j'ai été un peu plus long à venir, mais quel pied j'ai pris encore, il m'en restait dans les couilles et j'ai aspergé le carrelage de mon foutre, poussant des râles comme un goret et en la remerciant pour le bien qu'elle me faisait.
Elle m'a avoué avoir pris du plaisir à me le faire, que sa culotte était trempée, elle a lavé et désinfecté le vibro en me demandant la permission de l'utiliser sur elle, car elle était trop excitée pour rester sans se soulager, j'ai dis "bien sûr", ça n'a pas été long, accroupie dans la douche, elle s'est écarté le bord de la culotte pour se branler la vulve et le clit', puis elle se l'est enfoncé dans la chatte à grand coups de va-et-vient. Elle s'est fini en se le rentrant dans l'anus, à la même cadence que pour devant, elle a juté devant moi en miaulant, même pas cinq minutes que ça lui avait pris, une femme en manque certainement, une fois remis de nos orgasmes, je lui ai redemandé ce qu'elle avait voulu dire à propos de son mari…
- J'ai dis cela parce que lui s'en prend des vraies… des grosses…
— Hein…!!!? Vous voulez dire qu'il est…!?
- Et oui… Mon cher époux aime bien les hommes bien montés…comme vous par exemple…
— Mais comment le savez-vous…?
- Je l'ai surpris un après-midi à son travail… je passais par hasard… Il se faisait fourrer sur son bureau par un de ses jeunes collègues…
— Un collègue très bien outillé aussi… j'ai vu l'engin quand il s'est retiré du cul de mon mari… Et je peux vous dire qu'un truc comme il avait, aurait trouvé sa place mais avec douleurs, dans le mien… me raconta-t-elle, faisant une moue dépitée.
— Et bien dites donc…!!! Je n'aurai pas pensé ça de lui…
- Si vous voulez vérifier ce que je vous raconte… Je vous invite à diner et je m'occupe de lui faire voir que vous êtes bien monté…
— Ha oui…!? Et après…?
- Ben après…? Un jour, il viendra sonner à votre porte … Et là…!!!
— Hummm… C'est pas trop mon truc ça… Je préfère les dames… Même si j'aime le plaisir par derrière…Je préfère que ce soit fait par elles…
- J'ai mes chances alors…?! Me demanda-t-elle à brûle pourpoint, voyant en moi son futur amant.
— Venez me voir quand vous voulez… Je saurai vous être très reconnaissant pour votre bénévolat… Ma femme me disait toujours… Tu es le meilleur brouteur de minou que je connaisse
- Hooo…! Vous faites ça…?
— Oui… Entre autres…