Petite mésaventure récente
Publié : ven. 08 mars 2013, 13:15
C’est arrivé le week-end dernier. J’étais en train de tailler des haies dans le jardin et ma femme était dans la maison. Comme souvent quand je fais des travaux physiques en plein air, j’ai la tête vide, l’esprit qui vagabonde, et il n’est pas rare que je ressente assez vite une excitation sans cause précise. Quand l’envie est forte, que je me sens libre, il m’arrive d’aller me réfugier dans l’appentis au fond du jardin pour aller me masturber…
Samedi était un de ces jours-là, et très vite j’ai ressenti le besoin de me satisfaire. Je suis allé dans l’appentis en question, j’ai posé mes outils, ôté mes gants, et j’ai commencé à me caresser à travers la vieille culotte de jogging avec laquelle je bricole. Je n’ai pas tardé à bander assez fortement. Je suis alors allé tout au fond de l’appentis, tournant le dos à l’entrée, et j’ai extrait mon sexe du pantalon. J’ai commencé à me caresser assez vivement pour provoquer une éjaculation rapide parce que je ne suis toujours qu'à demi rassuré quand je fais ça alors que je ne suis pas seul à la maison. Je sentais monter le plaisir rapidement et j’étais en train de chercher du regard l’endroit où j’allais me laisser aller pour ne pas laisser une trace trop visible. Il y avait sur le sol une jardinière à fleur qui contenait encore de la terre de l’été dernier et je m’en approchai pour y jouir quand j’ai soudain entendu la voix de ma femme qui criait « tu es où ? » Panique totale ! Heureusement l’ouverture de l’appentis est perpendiculaire à l’axe du jardin par lequel elle arrivait, mais ne la voyant pas, j’ignorais à quelle distance elle se trouvait. Instinctivement, j’ai relevé brusquement mon jogging sur mon sexe tendu, et je me suis accroupi pour faire semblant de chercher quelque chose dans l’empilement de vieux pots de fleurs. Mais est-ce l’imminence dans laquelle j’étais de jouir, est-ce le frottement du coton du pantalon sur mon gland sensible, ou le décalottage brusque provoqué par mon accroupissement soudain alors que l’élastique de mon slip comprimait la base de mon sexe, toujours est-il que je me suis mis à éjaculer…
Imaginez la situation ! Ma femme derrière moi qui me demande « qu’est-ce que tu cherches ? » tandis que je sens les flux successifs du jaillissement de mon sperme dans mes vêtements, et que j’essaie de bredouiller une réponse plausible ! Je ne sais pas si c’est l’angoisse, mais j’avais l’impression que cette éjaculation n’en finissait pas… J’ai fini par saisir un grand bac à fleurs et par me redresser en le tenant devant moi pour dissimuler la tache humide que je supposais à mon jogging… Heureusement, mon épouse ne s’est pas attardée…Car effectivement, la large auréole mouillée du pantalon ne laissait pas de doute sur ce qu’il venait de se produire… Bref, j’en ai été quitte pour une jouissance raté (car autant vous dire que je n’ai guère pu savourer le plaisir) et deux heures de travail supplémentaires dans le jardin pour laisser sécher mes vêtements !
Amitiés à tous, et soyez prudents !
Victor
Samedi était un de ces jours-là, et très vite j’ai ressenti le besoin de me satisfaire. Je suis allé dans l’appentis en question, j’ai posé mes outils, ôté mes gants, et j’ai commencé à me caresser à travers la vieille culotte de jogging avec laquelle je bricole. Je n’ai pas tardé à bander assez fortement. Je suis alors allé tout au fond de l’appentis, tournant le dos à l’entrée, et j’ai extrait mon sexe du pantalon. J’ai commencé à me caresser assez vivement pour provoquer une éjaculation rapide parce que je ne suis toujours qu'à demi rassuré quand je fais ça alors que je ne suis pas seul à la maison. Je sentais monter le plaisir rapidement et j’étais en train de chercher du regard l’endroit où j’allais me laisser aller pour ne pas laisser une trace trop visible. Il y avait sur le sol une jardinière à fleur qui contenait encore de la terre de l’été dernier et je m’en approchai pour y jouir quand j’ai soudain entendu la voix de ma femme qui criait « tu es où ? » Panique totale ! Heureusement l’ouverture de l’appentis est perpendiculaire à l’axe du jardin par lequel elle arrivait, mais ne la voyant pas, j’ignorais à quelle distance elle se trouvait. Instinctivement, j’ai relevé brusquement mon jogging sur mon sexe tendu, et je me suis accroupi pour faire semblant de chercher quelque chose dans l’empilement de vieux pots de fleurs. Mais est-ce l’imminence dans laquelle j’étais de jouir, est-ce le frottement du coton du pantalon sur mon gland sensible, ou le décalottage brusque provoqué par mon accroupissement soudain alors que l’élastique de mon slip comprimait la base de mon sexe, toujours est-il que je me suis mis à éjaculer…
Imaginez la situation ! Ma femme derrière moi qui me demande « qu’est-ce que tu cherches ? » tandis que je sens les flux successifs du jaillissement de mon sperme dans mes vêtements, et que j’essaie de bredouiller une réponse plausible ! Je ne sais pas si c’est l’angoisse, mais j’avais l’impression que cette éjaculation n’en finissait pas… J’ai fini par saisir un grand bac à fleurs et par me redresser en le tenant devant moi pour dissimuler la tache humide que je supposais à mon jogging… Heureusement, mon épouse ne s’est pas attardée…Car effectivement, la large auréole mouillée du pantalon ne laissait pas de doute sur ce qu’il venait de se produire… Bref, j’en ai été quitte pour une jouissance raté (car autant vous dire que je n’ai guère pu savourer le plaisir) et deux heures de travail supplémentaires dans le jardin pour laisser sécher mes vêtements !
Amitiés à tous, et soyez prudents !
Victor