Jours de Repos

Ici, raconte tous tes fantasmes de branles imaginaires...
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mondoi
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Jours de Repos

Message par mondoi »

J'avais une vingtaine d'années à l'époque et je bossais dans une peite entreprise d'une dizaine d'employés, j'étais le dernier arrivé et je devais faire mes preuves, comme on disait à l'époque.



Une fois, j'ai eu besoin de poser des jours pour descendre à un mariage en province, je vais voir le chef d'atelier qui me dit que ça ne va pas être facile vu qu'il y a du boulot, il m'envoie voir le patron qui me demande ce qu'a dit le chef, je le lui répète, il le fait venir dans son bureau.



Le patron me parle de la conjoncture difficile, le chef du boulot en retard, bref, ça coince, tous les deux me disent que je travaille bien, qu'il sont satisfaits de moi, mais qu'il faut savoir donner pour recevoir, je ne vois pas trop ce qu'ils veulent dirent par là, mais j'attends une proposition arrangeante pour tous, je dois aller à ce mariage à tout prix, j'ai promis, je suis un des témoins.



Je suis prêt à tout accepter, heures supp, double boulot, mais la discussion tourne tout à coup sur un autre registre, le patron me complimente sur ma musculature, il me palpe les épaules, le torse, en me disant que je suis un vrai costaud, que je suis bien fais de ma personne, il prend le chef à témoin en disant que nous sommes entre hommes, que l'on comprend la vie et ses besoins.



Les femmes sont des garces, concluent-ils tous les deux, on ne peut rien leur demander, alors qu'entre mecs, on peux s'arranger, on est pas des chochottes, et l'on sait se faire du bien sans elles, j'entrevois le but de leur manigance, surtout que le patron se passe plusieurs fois la main sur la braguette en me parlant et qu'une grosse bosse commence à apparaître sous celle-ci, en jetant un coup d’œil à mon chef d'atelier, je vois que lui aussi n'est pas insensible à la tournure de la discussion, un renflement tout en longueur lui pend le long de la cuisse sous son bleu de travail.



Le patron est collé à moi et tout en critiquant son épouse qui ne veux pas coucher quand il veut, il me passe une main sur les cuisses puis sur ma braguette, je suis tétanisé, coincé entre le besoin absolu d'avoir mes jours de repos supplémentaires ou de me rebeller en laissant tout tomber, d'un autre côté, je me dis que si je joue le gars faussement soumis et arrangeant, je pourrai m'en tirer à moindre frais, surtout pour mon petit cul, il vaut mieux une branlette acceptée qu'une sodomie forcée, surtout qu'ils sont deux.



Le patron, voyant que je ne proteste pas à ses caresses sur mon paquet cadeau, s'enhardit et me demande de lui montrer mon engin pour comparer avec le sien, mon chef ouvre son bleu et se passe une main dans le slip en nous regardant, j'ouvre mon bleu les mains tremblantes, le patron sort sa queue de son pantalon, il bande déjà bien, son engin est mafflu, pas trop long mais gros, avec un prépuce recroquevillé en accordéon, une grosse touffe de poil en recouvre la base.



Tu aimes bien te branler j'en suis sûr, me dit le patron, je lui fais oui de la tête, il ajoute, et bien si on se fait du bien ensemble, je vais être de bonne humeur, ton chef aussi, et ça ne posera pas de problème pour te donner tes jours, qu'en penses-tu ?



Oui Patron, je veux bien, mais je dois juste vous prévenir que j'étais pas bien au début de la semaine, une gastro qu'il a dit le toubib... "c'est tout ce que j'avais trouvé pour échapper à une sodo à deux bites"



- Ho mais ne t’inquiète pas, qu'il m'a répondu, nous n'avions pas l'intention de te casser ton petit cul, c'est pas le genre de la maison, nous ce que l'on aiment, c'est un bon massage décontractant, et après Basta, on en parle plus, tu fais ton sac et tu vas à ton mariage, ça te va ?



Pour toute réponse, j'ai tendu la main vers sa verge pour la caresser, mon chef s'est approché avec la sienne dressée en l'air, je l'ai prise dans l'autre main, le patron m'a fait asseoir face à leurs queues bandées et j'ai fais comme pour moi, caresses sur la longueur et sur les boules, massage du prépuce et du gland entre les doigts puis décalottage, un léger parfum d'urine et de dessous de prépuce m'est monté aux narines, mais rien de repoussant, l'odeur de bite que je connais, un peu de salive sur mes doigts pour leur lubrifier la tige et c'était parti.



Je devais bien me débrouiller car dès le début, je leur avais tiré quelques soupirs de contentements, la verge de mon chef était plus longue que celle du patron mais plus mince, j'essayais de reproduire le même branle à droite et à gauche, en gardant une cadence identique, je me prenais au jeu et voulais les faire jouir en même temps, je remouillais mes doigts et mes paumes pour des caresses directes sur les muqueuses, les premiers râles se sont fait entendre.



J'avais le droit aux compliments aussi, - tu es un bon p'tit gars me disait le patron, - C'est bien, c'est bien, continue, disait mon chef, j'accélérais ma branle, frottant les freins avec mes pouces, je leur prenais les couilles en main pour les serrer, puis re-branle et branle encore, je me suis aperçus que je bandais aussi, la situation sans doute, ou l'envie d'être branlé, j'ai compris qu'ils allaient venir quand ils ont crispés leurs mains sur mes épaules, ils ont eu chacun leurs râles de jouissance, quelques spasmes du bassin et j'ai vu le sperme jaillir, puissant, fournis, épais, j'en ai reçu sur le visage, les cheveux, les mains, j'ai masturbé jusqu'à la dernière goutte, essorant même les tiges ramollissantes entre mes doigts.



Quand je me suis levé, le patron a vu la bosse de mon pantalon, il a dit à mon chef qu'ils ne pouvaient pas me laisser partir dans cet état et qu'ils devaient me remercier pour le bon massage que je leurs avais fait, ils m'ont baissé pantalon et slip pour me masturber, ils sont même allés plus loin, me suçant chacun leur tour, un doigt a essayé de passer dans mon petit trou mais j'ai serré les fesses, branlette à quatre mains et sucette à deux bouches, je n'ai pas été long à venir, un super pied, ils ont goûté à mon sperme sans le vouloir et sans me faire de reproche pour ne pas les avoir prévenus que j'allais juter.



Le patron m'a payé le train pour descendre au mariage en me donnant les jours supp demandés, il m'a invité à venir le voir plus souvent pour une séance de massages déstressants quand j'en éprouvais le besoin.
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