L'essayage
Publié : sam. 10 nov. 2012, 06:25
Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs, j'ai toujours détesté aller dans les magasins pour essayer des habits. L'idéal aurait été pour moi d'acheter vite fait et d'emporter un pantalon comme ça. Impossible, bien sûr. Pourquoi cette répulsion ? Sans doute parce que je suis timide, et que je répugne à me déshabiller, m^me dans une cabine juste séparée par un léger rideau qu'un souffle suffit à soulever; ensuite, je n'ai pas un physique d'Apollon, alors j'ai un peu peur du regard d'une vendeuse qui me jauge sans en avoir l'air...
Mais quand même, je me demandais ce que pouvait penser ces femmes qui toute la journée vendent des jeans et de slips à des inconnus de tous styles : indifférence ? Excitation ? Mystère.
enfin, tout le monde peut changer d'avis, tout ça, tout ça.
Cet après-midi là j'étais le seul client du rayon hommes de ce grand magasin, en quête d'un jeans. Que je finis par trouver, et à ma taille.
"Vous avez trouvé votre bonheur ?" une voix douce, qui est celle d'une jeune vendeuse souriante. "Il faut l'essayer. Venez, je vous montre les cabines, vous serez tranquille, il n'y a personne. Si je peux me permettre, vous avez fait un bon choix, les hommes apprécient ce jeans pour son maintien et sa douceur sur la peau..."
Bel argument de vente !
Je me retrouve dans une cabine avec un miroir, elle ferme le rideau en m'assurant qu'elle va revenir dans un instant.
Oui, bon, j'aurais fini avant, de toute façon.
Je déplie l'objet du délit et me met en slip. Reste plus qu'à enfiler le pantalon...mais je ne sais pas ce qui me passe par la tête, pourquoi pas, personne n'en saura rien.
J'enlève mon slip que le laisse par terre devant moi et j'enfile lentement le jeans. C'est vrai que c'est agréable. Attention en remontant la braguette de ne pas coincer le bitonio encapuchonné; et je regarde dans la glace.
"Ca y est, vous l'avez passé ?". elle écarte le rideau, et entre dans la cabine, toujours ce côté prévenant et gentil.
Gêne. Pourtant, elle ne voit pas mon slip, par terre, une chance.
Elle s'accroupit pour me faire les revers rapidement, et glups, j'ai une vue plongeante sur son décolleté et ses deux petits seins.
"C'est la bonne taille, pas trop ajusté, pour être à l'aise dans tous vos mouvements" dit-elle, les yeux sur ma braguette. enfin, je me fais un film, elle va sortir et je vais me changer, payer et partir.
"c'est un denim épais et solide" sa main remonte doucement le long de ma cuisse et semble s'attarder un peu sur mes fesses.
"Avec une ceinture, ce sera parfait. Vous mettez des caleçons ou des slips ?Slips, plutôt, je crois..." son regard a coulé brièvement à terre.
Je suis tout rouge, mais pas que de honte.
"Je ne suis pas un garçon, mais je crois que je préférerais comme vous les braguettes à zip, plus pratique que les boutons."
Sa main s'est déplacée pour glisser un index le long de la fermeture éclair.
Je sens et je vois dans la glace ces jolis doigts baisser avec lenteur mais décision la fermeture éclair.
"Vérifions si tout fonctionne normalement... Je ne voudrais pas vous blesser...la braguette entrouverte, elle glisse le pouce et l'index à l'intérieur, pour aller chercher en bas mon zizi, qu'elle sort avec précaution.
Je ne dit rien, je me laisse faire, quoi qu'il arrive.
"En cas d'envie pressante, c'est plus pratique, et vous voyez, je ne vous mentais pas sur l'aspect sensuel."
Impossible de résister (mais qui le ferait?) le petit oiseau commence à monter et à découvrir le gland.
Joli spectacle : la braguette descendue, la queue dressée, prête à l'emploi.
Mais que fait-elle?
"D'ailleurs,la braguette est doublée, pas de risque de vous blesser, même sans slip"
elle joue, s'amuse, rentre mon zizi dans le jeans, remonte la braguette...puis le redescend, écarte, sort le gland, qu'elle décalotte en le faisant coulisser contre le tissu.
La queue gonflée, ma douce vendeuse sort brusquement, en ouvrant le rideau et dit "Voilà, est-ce que vous le prenez?"
Pas le temps de répondre, un jet jaillit brusquement, puis un autre.
Je regarde ce sperme sans frotter, j'adore. C'est à la fois excitant et frustrant.
Je vais revenir essayer des slips...
Mais quand même, je me demandais ce que pouvait penser ces femmes qui toute la journée vendent des jeans et de slips à des inconnus de tous styles : indifférence ? Excitation ? Mystère.
enfin, tout le monde peut changer d'avis, tout ça, tout ça.
Cet après-midi là j'étais le seul client du rayon hommes de ce grand magasin, en quête d'un jeans. Que je finis par trouver, et à ma taille.
"Vous avez trouvé votre bonheur ?" une voix douce, qui est celle d'une jeune vendeuse souriante. "Il faut l'essayer. Venez, je vous montre les cabines, vous serez tranquille, il n'y a personne. Si je peux me permettre, vous avez fait un bon choix, les hommes apprécient ce jeans pour son maintien et sa douceur sur la peau..."
Bel argument de vente !
Je me retrouve dans une cabine avec un miroir, elle ferme le rideau en m'assurant qu'elle va revenir dans un instant.
Oui, bon, j'aurais fini avant, de toute façon.
Je déplie l'objet du délit et me met en slip. Reste plus qu'à enfiler le pantalon...mais je ne sais pas ce qui me passe par la tête, pourquoi pas, personne n'en saura rien.
J'enlève mon slip que le laisse par terre devant moi et j'enfile lentement le jeans. C'est vrai que c'est agréable. Attention en remontant la braguette de ne pas coincer le bitonio encapuchonné; et je regarde dans la glace.
"Ca y est, vous l'avez passé ?". elle écarte le rideau, et entre dans la cabine, toujours ce côté prévenant et gentil.
Gêne. Pourtant, elle ne voit pas mon slip, par terre, une chance.
Elle s'accroupit pour me faire les revers rapidement, et glups, j'ai une vue plongeante sur son décolleté et ses deux petits seins.
"C'est la bonne taille, pas trop ajusté, pour être à l'aise dans tous vos mouvements" dit-elle, les yeux sur ma braguette. enfin, je me fais un film, elle va sortir et je vais me changer, payer et partir.
"c'est un denim épais et solide" sa main remonte doucement le long de ma cuisse et semble s'attarder un peu sur mes fesses.
"Avec une ceinture, ce sera parfait. Vous mettez des caleçons ou des slips ?Slips, plutôt, je crois..." son regard a coulé brièvement à terre.
Je suis tout rouge, mais pas que de honte.
"Je ne suis pas un garçon, mais je crois que je préférerais comme vous les braguettes à zip, plus pratique que les boutons."
Sa main s'est déplacée pour glisser un index le long de la fermeture éclair.
Je sens et je vois dans la glace ces jolis doigts baisser avec lenteur mais décision la fermeture éclair.
"Vérifions si tout fonctionne normalement... Je ne voudrais pas vous blesser...la braguette entrouverte, elle glisse le pouce et l'index à l'intérieur, pour aller chercher en bas mon zizi, qu'elle sort avec précaution.
Je ne dit rien, je me laisse faire, quoi qu'il arrive.
"En cas d'envie pressante, c'est plus pratique, et vous voyez, je ne vous mentais pas sur l'aspect sensuel."
Impossible de résister (mais qui le ferait?) le petit oiseau commence à monter et à découvrir le gland.
Joli spectacle : la braguette descendue, la queue dressée, prête à l'emploi.
Mais que fait-elle?
"D'ailleurs,la braguette est doublée, pas de risque de vous blesser, même sans slip"
elle joue, s'amuse, rentre mon zizi dans le jeans, remonte la braguette...puis le redescend, écarte, sort le gland, qu'elle décalotte en le faisant coulisser contre le tissu.
La queue gonflée, ma douce vendeuse sort brusquement, en ouvrant le rideau et dit "Voilà, est-ce que vous le prenez?"
Pas le temps de répondre, un jet jaillit brusquement, puis un autre.
Je regarde ce sperme sans frotter, j'adore. C'est à la fois excitant et frustrant.
Je vais revenir essayer des slips...