A 13 ans, j’étais vierge et naïf. Je jouais bien avec ma queue, mais je m’arrêtais sans aller très loin dans le plaisir, j’obtenais juste un peu de liquide huileux sur le gland, dont l’odeur était particulière, pas désagréable ! Je l’obtenais en frottant mon gland avec mon prépuce, parfois en emprisonnant un peu d’air. Je m’étais un peu essayé au « ligotage », mais en vain, rien.
Un jour, lors d’une séance de sports, au collège, pendant que les copains faisaient du foot, deux de mes copains et moi, nous nous sommes éloignés, en jouant, des immobilisations, on se faisait « prisonniers » ou quelque chose comme cela. A un moment donné, j’immobilise mon copain, qui est devant moi et qui me tourne le dos. Pour cela, je bloque ses mains dans son dos. Ses mains sont donc entre lui et moi, et nous sommes serrés l’un contre l’autre, ses mains à hauteur de mon short de sport . Le coquin appuie ses mains sur moi, donc sur mon sexe, je le laisse faire, surpris. Comme je ne réagis pas, il glisse alors ses mains sous ma ceinture et trouve ma bite… Voyant ce qui se passe, l’autre ami s’éloigne, nous laisse seuls, il doit savoir ce qui va se passer, mais, moi, non…
Mon copain m’entraîne alors derrière un buisson, nous y sommes en toute discrétion, c’est un endroit qui manifestement a déjà été utilisé pour sa discrétion.
Face à moi, il baisse « carrément » mon short et mon slip, il me caresse et me branle doucement, je bande fort.
Nous ne parlons pas. Je ne sais pas ce que je dois faire, ni même s’il faut que je fasse quelque chose, je ne sais pas ce qui va se passer. Il est patient, il me branle longuement, doucement. A tout hasard, je pense que je lui dois la réciprocité et je baisse son short et son slip. Mon copain est d’un an ou deux plus âgé que moi, mais sa bite est plus fine et petite que la mienne. Je le branle aussi, maladroitement.
D’un seul coup, je lui dis de s’écarter, mais trop tard. Je viens de jouir pour la toute première fois. Il a reçu des jets de mon sperme sur ses vêtements et sur lui…
Je continue alors à le branler, mais en vain.
Il me dit juste deux mots, dont je ne comprends pas, de façon certaine, le sens : « record battu », me dit-il. Je ne lui demande pas de quel record il s’agit !
Nous n’avons pas recommencé ensemble, je ne sais pas pourquoi. A partir de ce moment, je suis devenu un grand habitué de ce plaisir solitaire, en particulier dans la nature. Ce plaisir m’a accompagné toute ma vie, j’ai maintenant la soixantaine… Mais j’ai attendu d’avoir 48 ans, grace à internet, pour de nouveau avoir ce plaisir particulier de la branle mutuelle !