Premières fois
Publié : dim. 04 sept. 2011, 04:24
Premier orgasme
J'avais dix ans et demi. Sur je ne sais plus quelle chaîne de radio, il y avait un humoriste dont les sketches à deux balles n'avaient rien à envier à ceux d'un Bouvard. J'écoutais ça le soir dans mon lit, le radio-réveil au minimum pour ne pas que les parents sachent que je ne dormais pas encore, et aussi pour ne pas gêner mon petit frère plus jeune de onze mois que moi, avec qui je partageais ma chambre. Ecouter la radio après l'heure officielle du dodo, c'était terriblement excitant - comme quoi, les gosses, un rien les amuse .
Donc, voilà que l'humoriste débite son sketch, et, à un moment donné, parle "d'aérobic nocturne": "allez madame, c'est pas difficile comme mouvement, en haut, en bas, en haut, en bas, voilà.... Non madame Bidule, c'est pas un robinet ça, ne le tordez pas!" et autres gags minables. Bon, là, j'ai froncé les sourcils, parce que je ne pigeais, au début, pas de quoi il voulait parler. Et puis, d'un coup, éclair de génie! Mon intellect super-développé avait pigé qu'il parlait de la zigounette du monsieur! J'étais très fier de moi: on ne parlait pas de ces choses-là, donc FORCEMENT c'était un truc "de grand" et donc, j'avais compris tout seul un machin pour les adultes.
Super intellect, je vous dis!
Bon, sauf que là, j'avais pas compris le coup de l'aérobic nocturne. Que fait le savant lorsqu'il veut vérifier une théorie? Bah, il expérimente, non? Bon alors j'essaie, je tripatouille un peu et là, ouah, d'un coup, le truc finit par durcir! J'avais déjà eu ça (rarement) mais j'y faisais pas attention; là, je songe alors: garçon, t'es sur un coup fumant. Je tente donc le haut-bas-haut-bas... C'est pas mal, en tout cas c'est agréable. Conclusion: c'est un truc que font les grands entre-eux pour se faire plaisir le soir. C'est comme s'embrasser, en fait, mais en moins dégueu. Et comme c'est toujours agréable, je continue, un peu distraitement, en reprenant l'écoute de la radio.
Et là, au bout d'un moment, ça semble devenir meilleur. Allez, plus je vais vite, et plus c'est chouette? Doublons la cadence! Rameurs, on ne faiblit pas! Et là, OUCH, la crampe, enfin comme une crampe, mais sans la douleur, une longue décharge électrique chaude et ben, inexplicable. Le super-intellect fait fondre la plupart de ses fusibles en tentant d'assimiler le phénomène. Je couine doucement, et puis ça se calme, je suis en sueur, et wow. Mieux que les montagnes russes. Mieux que la radio caché sous la couette.
L'humoriste était peut être nul en blagues, mais visiblement, lui, il était calé sur l'usage du zizi!
Alors je réessaie. Et je vais plus vite, je me demande si ça sera différent, et ben non! Quand ça arrive enfin, le même bonheur, la même crampe, du pur plaisir.
Et là, je suis ennuyé. J'ai du bol, mon frérot dors déjà, mais, si je veux remettre le couvert, il sera dans les pattes. Bon alors tant pis. Faut que je lui explique. Le lendemain matin, un dimanche, je lui dis:
"j'ai appris un truc mégatop à la radio hier soir, MAIS il faut pas le dire, sinon on se fait dégommer. Tu jures ?"
Evidemment, il jure, tout en sachant très bien qu'il envisagera de me faire chanter à la première occasion. Tant pis, je prends le risque. Je m'allonge sur son lit à-côté de lui et je fais les mêmes passes que sur moi. Là aussi, il devient vide très dur, il me demande si c'est normal, et of course, je confirme. Et puis, il arrive proche de l'orgasme et il me dit: "ça tire, ça tire, arrête" mais je continue, et vlan, il manque de tomber du lit tellement c'est puissant. Là, je sais qu'il ne dira plus rien - c'est un truc trop chouette !
Là, je sais que j'ai mis le doigt sur un truc énorme. Et je me rends vite compte qu'en fait, il y a plein de méthodes pour arriver au même résultat. C'est pas la même sensation que les orgasmes "adultes"; c'est beaucoup plus long et plus difficile à venir, et ça ne "pulse" pas. Au lieu de ça, j'ai une seule, longue tension, qui se prolonge plusieurs secondes, comme si (je me le décrivais ainsi à ce moment-là) ma zigounette voulait se détacher et me sauter à la gorge. Et assez rapidement, je découvre aussi que si je reprend "l'aérobic" immédiatement après, je peux très vite avoir un deuxième orgasme... Et un troisième... jusqu'à ce que la peau du membre soit trop irritée par le frottement.
Où l'on a bousillé la machine à plaisir
A partir de là, pendant environ deux ans, moi et mon frère, on a souvent joué à se faire plaisir. Le plus souvent, chacun sur son lit, à celui qui y arriverait le premier, celui qui le ferait le plus souvent, etc. Parfois, plus rarement, à deux, en entraide mutuelle. Pas aussi souvent que par la suite, parce qu'on ne ressent pas encore le besoin de le faire, c'est juste un plaisir qu'on se fait, comme manger une glace.
Et voilà que, plusieurs jours de suite, je vois mon frère qui s'arrête assez vite, visiblement ennuyé. Au début, il me dit que tout va bien, mais avec une expression qui ne peut pas tromper un super intellect comme le mien. Alors finalement, il se décide à parler. "Je crois que je l'ai trop fait, maintenant, j'ai un truc bizarre, ça ne reste plus 'coincé', ça fait comme un genre de pompe." Et en effet (rappelez-vous: un super-intellect expérimente toujours, c'est sci-en-ti-fique!), quand son orgasme arrive, sa "crampe" rigide semble tenir de moins en moins, à la place, son pénis 'pulse'. Au début, deux fois, puis trois, ça "empire" chaque jour qui passe. Enfin, ça empire... Bien vite, on se rassure, parce que c'est toujours aussi bon, et qu'en plus, les sensations sont plus fortes, "comme des vagues qui arrivent à chaque pulsation". Et en plus, il doit astiquer de moins en moins longtemps pour y arriver! Là, ni lui ni moi ne le savons, mais c'est probablement le tout premier signe d'hormones nouvelles qui commencent à faire leur travail...
Tout ce que je sais, c'est que je suis plutôt jaloux, moi. Moi, l'aîné, je viens d'avoir 12 ans, et je dois aérobiquer comme un fou pendant presque une demi-heure, pour une seule pulsation de gamin, alors que lui, à 11 ans, il a pour ainsi dire fini quand je commence à peine! Et comme il doit frotter moins longtemps, il parvient à avoir davantage d'orgasmes avant que ça ne commence à lui faire mal... La vie est décidément bien injuste.
Elle continue à l'être pendant presque un an. Et puis, *enfin*, quelques jours seulement avant mon treizième anniversaire, je suis tout étonné de sentir ma crampe habituelle se "désenclencher" d'un coup, et être suivie d'un rapide petit coup sec, minable mais néanmoins bel et bien là. Je suis tellement excité que je secoue mon frère comme un prunier, ça y est, ça y est, je vais être aussi rapide que lui nananère! (Oui, enfin, il faut encore attendre quelques semaines, mais bon, l'essentiel était de commencer). J'ai rattrapé mon retard!
La puberté se fait attendre...
Et puis, forcément, j'apprends par diverses sources les bases de la sexualité, comment ça marche, à quoi ça sert. Et, entre autres, que certains de mes potes ont un liquide qui sort. Et des poils qui poussent. Moi, je n'ai rien de tout ça, et mon frère non plus. C'est tant mieux: on se voyait mal devoir nettoyer le matelas à chaque fois. L'idée même paraissait étrange.
Et là-dessus, quelques semaines après la fin de l'épisode précédent, mon frère, encore une fois, est plus rapide que moi, et ses premiers poils apparaissent. M* alors! Je dois attendre encore trois mois avant que les miens ne se décident à se montrer. Ouf, l'honneur est sauf: ça vient assez vite, et en plus, là, on entre en plein dans la puberté, à peu près en même temps donc. C'est génial, ce truc, là, la puberté: on grandit deux fois plus vite, on attrape des engins de combat (par rapport à ce qu'on avait à dix ou douze ans, c'est de l'artillerie de cuirassé comparé à un pistolet de poche XD) et les super-poils-qui-veulent-dire-t-es-plus-un-gosse.
Mais du liquide, rien.
...mais on échappe pas à son destin !
J'ai maintenant seize ans. Je sors avec une fille, et, comme dirait Michel Blanc: "je conclus" avec elle. Mais je tire toujours "à blanc". J'ai cessé de m'inquiéter de ça - après tout, je n'ai pas encore envie de me reproduire . Et puis voilà qu'un soir, moi et mon frère on se frotte à travers nos shorts de gym, des trucs satinés et donc particulièrement doux - un truc génial pour de branler quoi! Ma main sur son son short, la sienne sur le mien. Son orgasme arrive le premier. Et là, au bout de quelques pulsations, je sens un truc humide sur le short.
"Eh, t'as pissé dans ton froc, t'es trop excité toi" je dis en rigolant. Lui aussi d'ailleurs. Il n'y a pas grand-chose, l'équivalent d'une goutte et, d'ailleurs, plus rien d'autre pendant quelques jours. Et puis, encore dans une branlette à deux, là, "à découvert", je vois que le bout de son pénis devient humide. Et de fait, ça se reproduit, de plus en plus souvent... On finit par comprendre que ça y est, il commence à spermer. Il a du poil aux jambes, il se rase deux fois par semaine et maintenant, il éjacule... Bon, moi qui suit toujours imberbe, avec des jolies jambes de ballerine, je me dis qu'il n'a pas de bol, en fait .
Et non seulement ça, mais en plus, après quelques semaines, il a de plus en plus de liquide, et tout à coup, "ça" commence à se ramollir après l'orgasme. Il a du mal à continuer. En fait, sa période réfractaire apparait. Personne n'avait jamais rien dit à ce sujet! Alors là, évidemment, je me dis que j'ai VRAIMENT de la chance, et je prie silencieusement pour ne pas trop vite devenir comme lui.
A seize ans et demi, mon corps décide que tout compte fait, les poils, c'est très tendance. J'épile les quelques importuns qui tentent de coloniser mes jambes, mais bien vite, je renonce. Même la moustache commence à foncer. beuh! Et l'éjaculation? Ben rien, toujours et encore aussi sec que le Sahara. Et puis, à 17 ans et demi, je me branlais au-travers de mon jeans en regardant un truc porno sur l'ordi. Et là, un peu après l'orgasme, je sens une petite pastille mouillée sur mon caleçon. Et après quelques jours et quelques expériences similaires, je finis par admettre que ça y est, la transformation finale tant redoutée me tombe dessus. Et comme mon frère, après quelques semaines, à ma grande horreur, je cesse d'être multi-orgasmique.
Putain de puberté ! XD
J'avais dix ans et demi. Sur je ne sais plus quelle chaîne de radio, il y avait un humoriste dont les sketches à deux balles n'avaient rien à envier à ceux d'un Bouvard. J'écoutais ça le soir dans mon lit, le radio-réveil au minimum pour ne pas que les parents sachent que je ne dormais pas encore, et aussi pour ne pas gêner mon petit frère plus jeune de onze mois que moi, avec qui je partageais ma chambre. Ecouter la radio après l'heure officielle du dodo, c'était terriblement excitant - comme quoi, les gosses, un rien les amuse .
Donc, voilà que l'humoriste débite son sketch, et, à un moment donné, parle "d'aérobic nocturne": "allez madame, c'est pas difficile comme mouvement, en haut, en bas, en haut, en bas, voilà.... Non madame Bidule, c'est pas un robinet ça, ne le tordez pas!" et autres gags minables. Bon, là, j'ai froncé les sourcils, parce que je ne pigeais, au début, pas de quoi il voulait parler. Et puis, d'un coup, éclair de génie! Mon intellect super-développé avait pigé qu'il parlait de la zigounette du monsieur! J'étais très fier de moi: on ne parlait pas de ces choses-là, donc FORCEMENT c'était un truc "de grand" et donc, j'avais compris tout seul un machin pour les adultes.
Super intellect, je vous dis!
Bon, sauf que là, j'avais pas compris le coup de l'aérobic nocturne. Que fait le savant lorsqu'il veut vérifier une théorie? Bah, il expérimente, non? Bon alors j'essaie, je tripatouille un peu et là, ouah, d'un coup, le truc finit par durcir! J'avais déjà eu ça (rarement) mais j'y faisais pas attention; là, je songe alors: garçon, t'es sur un coup fumant. Je tente donc le haut-bas-haut-bas... C'est pas mal, en tout cas c'est agréable. Conclusion: c'est un truc que font les grands entre-eux pour se faire plaisir le soir. C'est comme s'embrasser, en fait, mais en moins dégueu. Et comme c'est toujours agréable, je continue, un peu distraitement, en reprenant l'écoute de la radio.
Et là, au bout d'un moment, ça semble devenir meilleur. Allez, plus je vais vite, et plus c'est chouette? Doublons la cadence! Rameurs, on ne faiblit pas! Et là, OUCH, la crampe, enfin comme une crampe, mais sans la douleur, une longue décharge électrique chaude et ben, inexplicable. Le super-intellect fait fondre la plupart de ses fusibles en tentant d'assimiler le phénomène. Je couine doucement, et puis ça se calme, je suis en sueur, et wow. Mieux que les montagnes russes. Mieux que la radio caché sous la couette.
L'humoriste était peut être nul en blagues, mais visiblement, lui, il était calé sur l'usage du zizi!
Alors je réessaie. Et je vais plus vite, je me demande si ça sera différent, et ben non! Quand ça arrive enfin, le même bonheur, la même crampe, du pur plaisir.
Et là, je suis ennuyé. J'ai du bol, mon frérot dors déjà, mais, si je veux remettre le couvert, il sera dans les pattes. Bon alors tant pis. Faut que je lui explique. Le lendemain matin, un dimanche, je lui dis:
"j'ai appris un truc mégatop à la radio hier soir, MAIS il faut pas le dire, sinon on se fait dégommer. Tu jures ?"
Evidemment, il jure, tout en sachant très bien qu'il envisagera de me faire chanter à la première occasion. Tant pis, je prends le risque. Je m'allonge sur son lit à-côté de lui et je fais les mêmes passes que sur moi. Là aussi, il devient vide très dur, il me demande si c'est normal, et of course, je confirme. Et puis, il arrive proche de l'orgasme et il me dit: "ça tire, ça tire, arrête" mais je continue, et vlan, il manque de tomber du lit tellement c'est puissant. Là, je sais qu'il ne dira plus rien - c'est un truc trop chouette !
Là, je sais que j'ai mis le doigt sur un truc énorme. Et je me rends vite compte qu'en fait, il y a plein de méthodes pour arriver au même résultat. C'est pas la même sensation que les orgasmes "adultes"; c'est beaucoup plus long et plus difficile à venir, et ça ne "pulse" pas. Au lieu de ça, j'ai une seule, longue tension, qui se prolonge plusieurs secondes, comme si (je me le décrivais ainsi à ce moment-là) ma zigounette voulait se détacher et me sauter à la gorge. Et assez rapidement, je découvre aussi que si je reprend "l'aérobic" immédiatement après, je peux très vite avoir un deuxième orgasme... Et un troisième... jusqu'à ce que la peau du membre soit trop irritée par le frottement.
Où l'on a bousillé la machine à plaisir
A partir de là, pendant environ deux ans, moi et mon frère, on a souvent joué à se faire plaisir. Le plus souvent, chacun sur son lit, à celui qui y arriverait le premier, celui qui le ferait le plus souvent, etc. Parfois, plus rarement, à deux, en entraide mutuelle. Pas aussi souvent que par la suite, parce qu'on ne ressent pas encore le besoin de le faire, c'est juste un plaisir qu'on se fait, comme manger une glace.
Et voilà que, plusieurs jours de suite, je vois mon frère qui s'arrête assez vite, visiblement ennuyé. Au début, il me dit que tout va bien, mais avec une expression qui ne peut pas tromper un super intellect comme le mien. Alors finalement, il se décide à parler. "Je crois que je l'ai trop fait, maintenant, j'ai un truc bizarre, ça ne reste plus 'coincé', ça fait comme un genre de pompe." Et en effet (rappelez-vous: un super-intellect expérimente toujours, c'est sci-en-ti-fique!), quand son orgasme arrive, sa "crampe" rigide semble tenir de moins en moins, à la place, son pénis 'pulse'. Au début, deux fois, puis trois, ça "empire" chaque jour qui passe. Enfin, ça empire... Bien vite, on se rassure, parce que c'est toujours aussi bon, et qu'en plus, les sensations sont plus fortes, "comme des vagues qui arrivent à chaque pulsation". Et en plus, il doit astiquer de moins en moins longtemps pour y arriver! Là, ni lui ni moi ne le savons, mais c'est probablement le tout premier signe d'hormones nouvelles qui commencent à faire leur travail...
Tout ce que je sais, c'est que je suis plutôt jaloux, moi. Moi, l'aîné, je viens d'avoir 12 ans, et je dois aérobiquer comme un fou pendant presque une demi-heure, pour une seule pulsation de gamin, alors que lui, à 11 ans, il a pour ainsi dire fini quand je commence à peine! Et comme il doit frotter moins longtemps, il parvient à avoir davantage d'orgasmes avant que ça ne commence à lui faire mal... La vie est décidément bien injuste.
Elle continue à l'être pendant presque un an. Et puis, *enfin*, quelques jours seulement avant mon treizième anniversaire, je suis tout étonné de sentir ma crampe habituelle se "désenclencher" d'un coup, et être suivie d'un rapide petit coup sec, minable mais néanmoins bel et bien là. Je suis tellement excité que je secoue mon frère comme un prunier, ça y est, ça y est, je vais être aussi rapide que lui nananère! (Oui, enfin, il faut encore attendre quelques semaines, mais bon, l'essentiel était de commencer). J'ai rattrapé mon retard!
La puberté se fait attendre...
Et puis, forcément, j'apprends par diverses sources les bases de la sexualité, comment ça marche, à quoi ça sert. Et, entre autres, que certains de mes potes ont un liquide qui sort. Et des poils qui poussent. Moi, je n'ai rien de tout ça, et mon frère non plus. C'est tant mieux: on se voyait mal devoir nettoyer le matelas à chaque fois. L'idée même paraissait étrange.
Et là-dessus, quelques semaines après la fin de l'épisode précédent, mon frère, encore une fois, est plus rapide que moi, et ses premiers poils apparaissent. M* alors! Je dois attendre encore trois mois avant que les miens ne se décident à se montrer. Ouf, l'honneur est sauf: ça vient assez vite, et en plus, là, on entre en plein dans la puberté, à peu près en même temps donc. C'est génial, ce truc, là, la puberté: on grandit deux fois plus vite, on attrape des engins de combat (par rapport à ce qu'on avait à dix ou douze ans, c'est de l'artillerie de cuirassé comparé à un pistolet de poche XD) et les super-poils-qui-veulent-dire-t-es-plus-un-gosse.
Mais du liquide, rien.
...mais on échappe pas à son destin !
J'ai maintenant seize ans. Je sors avec une fille, et, comme dirait Michel Blanc: "je conclus" avec elle. Mais je tire toujours "à blanc". J'ai cessé de m'inquiéter de ça - après tout, je n'ai pas encore envie de me reproduire . Et puis voilà qu'un soir, moi et mon frère on se frotte à travers nos shorts de gym, des trucs satinés et donc particulièrement doux - un truc génial pour de branler quoi! Ma main sur son son short, la sienne sur le mien. Son orgasme arrive le premier. Et là, au bout de quelques pulsations, je sens un truc humide sur le short.
"Eh, t'as pissé dans ton froc, t'es trop excité toi" je dis en rigolant. Lui aussi d'ailleurs. Il n'y a pas grand-chose, l'équivalent d'une goutte et, d'ailleurs, plus rien d'autre pendant quelques jours. Et puis, encore dans une branlette à deux, là, "à découvert", je vois que le bout de son pénis devient humide. Et de fait, ça se reproduit, de plus en plus souvent... On finit par comprendre que ça y est, il commence à spermer. Il a du poil aux jambes, il se rase deux fois par semaine et maintenant, il éjacule... Bon, moi qui suit toujours imberbe, avec des jolies jambes de ballerine, je me dis qu'il n'a pas de bol, en fait .
Et non seulement ça, mais en plus, après quelques semaines, il a de plus en plus de liquide, et tout à coup, "ça" commence à se ramollir après l'orgasme. Il a du mal à continuer. En fait, sa période réfractaire apparait. Personne n'avait jamais rien dit à ce sujet! Alors là, évidemment, je me dis que j'ai VRAIMENT de la chance, et je prie silencieusement pour ne pas trop vite devenir comme lui.
A seize ans et demi, mon corps décide que tout compte fait, les poils, c'est très tendance. J'épile les quelques importuns qui tentent de coloniser mes jambes, mais bien vite, je renonce. Même la moustache commence à foncer. beuh! Et l'éjaculation? Ben rien, toujours et encore aussi sec que le Sahara. Et puis, à 17 ans et demi, je me branlais au-travers de mon jeans en regardant un truc porno sur l'ordi. Et là, un peu après l'orgasme, je sens une petite pastille mouillée sur mon caleçon. Et après quelques jours et quelques expériences similaires, je finis par admettre que ça y est, la transformation finale tant redoutée me tombe dessus. Et comme mon frère, après quelques semaines, à ma grande horreur, je cesse d'être multi-orgasmique.
Putain de puberté ! XD