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Mon fantasme serait de subir une visite médicale chez un médecin vicieux et qui aime les mecs. toute la éance, il resterai habillé, ayany juste envi de me tripoter.

Je me déhabillerai devant lui. Il me demanderai d'enlever aussi mon slip.

Debout, tout nu, il me palperai partout, manipulerai mes tétons pour les faire réagir, me ferai pencher en avant, coudes sur cuissses pour bien dégager mon anus et mes parties génitales.

Ensuite il m'installerai sur sa table d'ocultation, à 4 pattes, les cuisses écartées au maximum. Il me prendrai la températue, et débuterai un touché rectal. Il irai de plus en plus profond jusqu'à masser ma prostate. Il placerai un haricot en métal sous moi pour récupérer le sperme évacué par le touché. En même temps, il matiendrait mon sexe entièrement décaloté, l'empêchant de se recouvrir.

Une fois vidé par le massage de la prostate, il me masturberai comme une traite de vache. ensuite, il me ferai retourner sur le dos, cuisses grande ouverte pour me faire jouir à fond. Quel pied !

Mon médecin m’a déjà fait un toucher rectal….ça ne ressemblait pas du tout à cela!

Si tu veux réaliser ton fantasme, il te faudra monter un scénario avec un un pote de masturbation….

moi j'ai deja baisé dans le cabinet d'un spécialiste, mais c'était prévu.

Sexamat a écrit : ↑mar. 04 janv. 2022, 11:53
Mon médecin m’a déjà fait un toucher rectal….ça ne ressemblait pas du tout à cela!

Si tu veux réaliser ton fantasme, il te faudra monter un scénario avec un un pote de masturbation….

Je fais souvent cela au téléphone avec des mecs. Le médecin ( moi) fait entrer la patient, le fais mettre en slip, lui palpe les aisselles et l'aine à la recherche de ganglions , lui pose des questions sur sa vie sexuelle ( hétéro, homo, bi ), la fréquence de ses rapports, la fréquence de ses masturbations.



Si le gars est jeune, il avoue se masturber peu souvent, entre deux baises, je l'incite à se masturber le plus souvent possible ( 1 à 2 fois par jour). Je lui demande de le faire devant moi, pour analyser son éjaculat; et je lui propose de lui montrer ma bite, courte et trapue, qui bande sous ma blouse blanche. En général le gars est étonné par son gabarit et accepte de me la tripoter. La consultation se termine quand nous avons joui tous les deux.

Et tu es vraiment médecin?

J’ai déjà reçu un toucher rectal d’un médecin gai. Il a si bien pris son temps pour me tâter la prostate que j’éjaculé, sans bander. C’était délicieux.

Sexamat a écrit : ↑mar. 04 janv. 2022, 19:03
Et tu es vraiment médecin?

Pas du tout, je joue avec mes souvenirs de gamin, quand le pédiatre me décalottait et me tripotait les bourses. Il avait un cabinet à part, il fermait la porte que ma mère ne le vois pas et ne l'entende pas ! J'avais peur de bander mais je me branlais le soir en y pensant. Ce vicieux m'a ouvert le plaisir !!!

J'étais à l'université. J'avais oublié que c'était le jour de la visite médicale. Comme je ne portais jamais de slip sous mon jean (aujourd'hui non plus d'ailleurs) j'étais un peu gêné mais j'y suis allé quand même. Du coup, pour aller dans le cabinet de radiologie, assez sombre il est vrai, je me suis retrouvé debout à poil la poitrine plaquée contre la vitre de l'appareil de radio. C'est là que j'ai senti une main me caresser les fesses et l'arrière des cuisses....ça a été rapide et le radiologue m'a simplement dit que l'examen était terminé et que je pouvais me rhabiller.

Voilà, un bon souvenir que j'ai toujours en mémoire.

Pour répondre à Ronchaste :

J'ai vécu quotidiennement la hantise de la tuberculose toutes les années 1950 et 60. On m'a administré le premier bcg qui est arrivé en France début années 60.

Le bacille de Koch se transmet par la moindre gouttelette de salive. Le symptôme c'est la toux. Légère d'abord, jusqu'à cracher ses poumons dans le lavabo. Avant l'arrivée du premier vaccin il n'en existait aucun. Et les premiers vaccins bcg, soit ils étaient trop forts et vous donnaient la maladie, soit ils n'étaient pas assez forts et ils étaient d'une efficacité douteuse. Donc même vaccinés depuis de nombreuses années il fallait passer devant les plaques de radio.

Il existait des médicaments mais il fallait absolument repérer la tuberculose chez quelqu'un le plus tôt possible. Au tout début les médicaments arrivaient à faire régresser le point de tuberculose. Prit trop tard et trop développé les médicaments arrivaient à stopper le point de tuberculose mais n'arrivaient pas à le faire régresser. Donc il fallait amputer de la moitié d'un poumon. Le virus de la tuberculose évolue rapidement. Donc il fallait passer devant les plaques de radio au moins trois fois par an. Il y avait aussi des camions itinérants pour le dépistage. Et des sanatoriums partout en France.

Mon médecin généraliste pédiatre qui m'a suivi de mes 10 ans à mes 18 ans, avait fait installer un appareil de radiologie complet dans sa salle d'examens.Ma mère m'y conduisait ou m'y envoyait au moins trois fois par an pour cette raison. Son appareil de radio lui permettait aussi de voir ce qui se passait dans le ventre.

Je suis passé nu et en chaussettes tout contre la plaque de radio, au moins trois fois par an, de mes 13 ans à plus de 18 ans. Et devant ma mère jusqu'à presque 16 ans. Avant de monter sur la table d'examens toujours nu en chaussettes.

pat440 a écrit : ↑lun. 21 mars 2022, 16:50

Sexamat a écrit : ↑mar. 04 janv. 2022, 19:03
Et tu es vraiment médecin?

Pas du tout, je joue avec mes souvenirs de gamin, quand le pédiatre me décalottait et me tripotait les bourses. Il avait un cabinet à part, il fermait la porte que ma mère ne le vois pas et ne l'entende pas ! J'avais peur de bander mais je me branlais le soir en y pensant. Ce vicieux m'a ouvert le plaisir !!!

Toutes les années 1950,60 et 70, les médecins et leur personnel s'arrangeaient partout pour que les familles n'assistent pas et n'entendent pas. En particulier quand les examens étaient collectifs. Aussi bien en raison de ce qu'ils faisaient tellement c'était sale et quand ils/elles criaient, mais aussi à cause des réactions réflexes des déculottés, révolte, cris.

Mais chez mes deux médecins de famille, le premier jusqu'à mes 9 ans, le deuxième de mes 10 ans à mes 18 ans, tout se passait sous le nez de la mère qui était vraiment au spectacle. La mère était amenée à aider le médecin, pour le déshabillage comme pour obliger son fils ou sa fille à obéir. Ca été mon cas. La présence de la mère prouvait que tout se passait normalement.

Dans les salles d'examens des visites scolaires ça criait beaucoup. Un peu moins avec les plus de 16 ans. Ceux qui attendaient leur tour en slip pendant des heures dans la salle à côté savaient ce que ça voulait dire et compatissaient.

Aux conseils de révision en mairies la plupart du temps les familles, ces dames en particulier, assistaient, et de près, aux examens des conscrits de 18 ans tout nus. Qui défilaient les uns après les autres par dizaines en quelques heures. La présence de ces dames n'était pas forcément innocente. Ca pouvait être aussi dans un but d'instruction et d'information. Pour l'instruction des plus jeunes en particulier. A une époque où il était très difficile de voir des corps nus et d'être informé sur les réalités de la nature et sur certaines pratiques des médecins. Même si ces dames parlaient beaucoup entre elles, les travaux pratiques ont toujours été un complément très utile pour accompagner l'enseignement.

Il est indispensable de tout replacer dans le contexte social de ces années là.

Argon54 a écrit : ↑dim. 20 mars 2022, 22:00
J’ai déjà reçu un toucher rectal d’un médecin gai. Il a si bien pris son temps pour me tâter la prostate que j’éjaculé, sans bander. C’était délicieux.

La, ce n'est plus un toucher rectal, c'est un massage de prostate! et c'est super bon!

Vos récits me rappellent que vers mes 14/15ans notre médecin de famille était un homme d'une cinquantaine d'années, et qu'il avait pour habitude à chaque visite de "contrôle" (2 ou 3 fois par an de mémoire) de me tâter les bourses pour vérifier la descente des testicules avec la puberté...

Je trouvais sa palpation agréable tout en étant gêné... d'autant plus qu'il refesait la vérification à chaque visite, alors que dès la première fois il avait confirmé que les testicules étaient bien en place dans le scrotum....

Je me rappelle qu'une des premières fois il n'a pas pu retenir une exclamation d'adminiration quand j'ai baissé mon slip, faisant comprendre qu'il me trouvait très bien doté

J'étais un peu gêné, mais mon père qui était dans le cabinet (en recul, sans me regarder) était tout fier de ce compliment fait à l'égard de son fiston

C’était en effet délicieux !!!

Sexamat a écrit : ↑mar. 04 janv. 2022, 11:53
Mon médecin m’a déjà fait un toucher rectal….ça ne ressemblait pas du tout à cela!

Si tu veux réaliser ton fantasme, il te faudra monter un scénario avec un un pote de masturbation….

Bonjour pat440.



Je suis très intéressé (et excité) par votre récit de "médecin".

Mon scénario :j'aimerai moi aussi être un de vos "patient" de 15 ans qui ne s'est jamais masturbé lui car il ne sait pas comment faire, ses copains de classe ne lui ont jamais expliqué et il est réservé, timoré.





Donc cet ado timide et inexpérimenté:

Il doit juste passer effectivement devant un médecin parce qu'il va rentrer au lycée ET à l'internat dans une ville lointaine.

Une phobie pour lui qui n'aime pas se mettre déjà en short, alors en slip!

Il sait qu'l a des poils "là" alors il espère que le médecin ne va pas regarder.



Il sait juste que souvent son sexe durcit à outrance et qu'un peu de liquide (précum) apparait. Il ignore ce que c'est.

Il a juste eu des éjaculations nocturnes (involontaires), il en a honte et cache toujours les taches.

Il pense que c'est du pipi et il prévient désormais avant de se coucher en mettant devant son pénis, un autre slip en boule prévu pour le sale pour "éponger".

Ce qui ne rate pas...il regarde un peu avec effroi le résultat et met de suite à la lessive...



Mais avant de s'endormir il se remémore un de ses (beau) copain Emmanuel qui lui avait demandé de lui prêter son short bleu en nylon "Adidas" lors du cours d' E.P.S.(avec l'accord du prof) dès qu'il avait passé son tour d'examen de gymnastique (corde, cheval d'arçons, etc.).

Les deux se retrouvent aux vestiaires seuls et spontanément, Emmanuel est déjà en beau slip à poche bleu, debout face à lui qui est encore assis à enlever son short.

Il quasiment presque le nez devant le slip d'Emmanuel qui attend, une légère proéminence révélatrice...

Emmanuel a du prendre soin avant d'apparaitre en slip de positionner son sexe vers le haut, de façon à ce que son érection (prévue ou préméditée) se voie beaucoup moins.

Une légère odeur d'urine (mais tous le vestiaire en est emprunt) et une toute petite tache au niveau supposé du gland d'Emmanuel.

Il est très gêné (mais inconsciemment curieux et excité).

Je lui ai donc prêté vite fait mon short en restant les jambes serrées pour cacher mon intimité dans mon slip...



Ce récit est vécu. Après, avec Emmanuel il m'a rendu le short mais il n'y a rien eu de déterminant.

Mais il était toujours gentil avec moi, jamais de conflit. On s'est perdu de vue mais j'ai pu savoir qu'il a fait des hautes études, est marié, des enfants...

J'avais 14 ans et ne savais absolument rien de la sexualité des garçons (et filles encore pire). On était en 1977.

Ce n'est que plusieurs mois plus tard en juillet 1978 que j'ai éjaculé consciemment (en encore par un acte non volontaire: le frottage sur le ventre, nu dans les draps...), en peine nuit, seul dans ma chambre heureusement.

Seulement après, j'ai plus exploré les multiples façons d'avoir ce plaisir, toujours sur le ventre, avec la main c'est venu bien après, dont au lycée et au service militaire (en collectivité il faut être discret le plus possible).

Voilà cher pat440.

A vous lire peut-être ?





Je fais souvent cela au téléphone avec des mecs. Le médecin ( moi) fait entrer la patient, le fais mettre en slip, lui palpe les aisselles et l'aine à la recherche de ganglions , lui pose des questions sur sa vie sexuelle ( hétéro, homo, bi ), la fréquence de ses rapports, la fréquence de ses masturbations.



Si le gars est jeune, il avoue se masturber peu souvent, entre deux baises, je l'incite à se masturber le plus souvent possible ( 1 à 2 fois par jour). Je lui demande de le faire devant moi, pour analyser son éjaculat; et je lui propose de lui montrer ma bite, courte et trapue, qui bande sous ma blouse blanche. En général le gars est étonné par son gabarit et accepte de me la tripoter. La consultation se termine quand nous avons joui tous les deux.

Bonjour, j'ai aussi comme fantasme celui de la visite médicale qu'elle soit faite par un homme ou une femme.



Dans mon fantasme je serai le patient jeune ado ou même adulte. Tout commencerait en douceur comme une visite tout à fait normale. On me demanderait de me déshabiller de me mettre en slip et le docteur commencerait par me poser des questions anodines. Puis petit à petit il orienterait les questions sur ma vie sexuelle, ce que je connais ce que j'ai déjà fait, si je me masturbe etc etc.

Pour préciser je porterai un boxer plutôt fin légèrement transparent qui laisse bien deviner les fesses et ce qu'il y a en dessous.



Du coup avec ses questions ça me ferait bander et réagir. Mais le docteur ferait comme si de rien n'était et continuerai son examen. a un moment donné il dirait de baisser le slip, que ce serait bien que vérifier aussi cette partie là. Et surprise je serais entièrement épiler alors le docteur pourrait se permettre plus de choses et verrait comment je réagis en posant des questions pourquoi je m'épile etc. il me donnerait même des conseils.



Et de comme je n'opposerai pas de résistance il serait plus aventureux. Il prétexterait une étude anonyme bien sur pour pousser l'examen plus loin. Par exemple il me demanderait si je veux participer à un e étude sur l'anatomie des garçons. Il voudrait mesurer sous tout les couture mon penis, me bourses etc etc. Et il prendrait des notes en décrivant mon pénis, mes bourses comment elle pendent etc.



Voilà à peu près ce que je rêve de pouvoir réaliser !



Mais ça ne s'est encore jamais produit surtout que maintenant les visites médicales on ne se met même plus en slip !

Il y a une douzaine d'années, une médecin lors d'un contrôle médical m'avait proposé un touché rectal. Avais raconté ici, elle avait du temps, peut-être stagiaire ou autre statu. Étais d'un côté complice, elle a pris son pied, très experte j'ai de bons souvenirs....

J'ai déjà eu une super branle avec un médecin

J'étais suv=ivi par un orthopédiste mais il était en vacances et j'avais besoin de médicaments. Sa secrétaire m'a dit de me rendre chez un généraliste avec mon ordonnance et qu'il la renouvellerait en lui expliquant la siutation.

Je suis allé à une clinique près de chez moi et j'ai demandé à voir un médecin, n'inporte quel.



J'ai été appellé par un super beau médecin roux, jeune et ultra sexé. Quand je lui ai expliqué la situation, il a dit qu'il ne pouvait pas comme ça renouveler une ordonnance sans m'examiner.



Comme j'avais un problème de dos, il m'a fait déshabiller complètement sauf le slip et il m'a fait marcher dans son bureau. Je voyais bien qu'il bandait dans son froc. Puis, il m'a dit d'enlever mon slip et de venir vers lui. Il a commencé à m'examiner le pénis. Alors j'ai bandé et il a souri. Alors je me suis avancé pour oouvrir sa braguette et le sucer un peu. On a finit tous les deux à poils dans son bureau en se branlant sur la table d'examen.



Je suis retourné le voir un mois plus tard et on a recommencé notre session de branle. C'était super!

Salut. Si tu veux, on peut se faire un bon scénario de branle chez un vieux médecin hyper vicelard, obsédé par la branle. Surtout, avec des mots bien vicieux. Le genre d histoire qui fait bien durcir la bite en se lisant.

Avec plaisir

Pour moi, ce n'était pas une visite médicale mis un contrôle suite à des infections urinaires à répétition.

Nu devant la table de radio en position verticale, l'assistante de l'urologue m'a introduit une sonde dans l'urètre. Elle m'a décalotté car je n'étais pas encore circoncis.

Et les examens de remplissage et vidange de vessie se sont succédés ainsi. Pas d'érection pendant les examens mais une bonne branle de retour chez moi.

J'ai eu aussi un autre examen : contrôle du sphincter de l'urètre : allongé nu sur la table, les jambes écartées en position gynécologique, la bite attachée sur une petite plaquette pour que ça ne bouge pas (les boules pendantes) et une sonde dans l'urètre qui avance jusqu'à la vessie puis ressort par pallier pour que je fasse des contractions régulière de mon sphincter au fur et à mesure que la sonde sorte de l'urètre.

Là aussi, pas d'érection mais excité quand même et branle au retour. Un peu chaud lors de l'éjaculation car l'urètre avait été chatouillé !!!