À vous (re)lire, je me souviens de l'année de mes 17 ans... C'est si loin !
C'était en juin donc je révisais pour le bac allongé sur le canapé, en short, sans rien dessous comme j'en avais l'habitude à l'époque (encore maintenant mais c'est un autre sujet).
Il faisait chaud et la fenêtre de la salle de séjour était ouverte.
Le soleil inondait la pièce. Je tournais le dos à la lumière ce qui me permettait de lire sans être gêné ni ébloui.
Machinalement je me caressais au travers du tissu tout en révisant. Une érection me vint, que j'eus envie de calmer : sortant ma queue par l'ouverture de la jambe, le long de ma cuisse, je commençais une lente masturbation qui me fit grossir intensément.
Ma bite allongée au maximum, je me branlais doucement, caressant mon gland jusqu'à ce que la mouille apparaisse. Je l'étirais en fils délicats et en enduisit mon épiderme distendu par le plaisir. Je ne sais combien de temps cela dura : 10 min, 20 min, .... j'aimais faire durer, sentir le sperme monter, stopper mes mouvements pour les reprendre plus amples encore. Je sentais les palpitations gagner mon ventre et mes testicules gonflés...
"Bonjour, je ne dérange pas dans ton travail ... ?
La voix de ma jeune voisine résonna à mes oreilles !
- Si j'avais su que tu avais besoin d'aide je serais venue plus tôt !
Ma voisine, avec qui j'avais de très bonnes relations amicales, venait souvent me demander de l'aide en math et elle m'aidait en philo... car elle était du même niveau que moi dans le même lycée.
-Honteux, gêné, je ne parvins pas à me cacher et elle vit ma verge dressée sortant de mon short ...
- Alors on se donne son plaisir tout seul alors que je suis là ?
Elle riait de me voir dans cet état mais vint s'asseoir près de moi.
- Je peux ?
- Au point où j'en suis, bien sûr que tu peux ...
Elle se saisit de mon engin et en quelques mouvements bien appliqués elle fit monter la sauce.
- Attends ! je vais juter !
Je saisis mon mouchoir (j'en avais toujours un prêt à l'emploi) et j'eus tout juste le temps d'en envelopper mon pénis par dessus sa main avant de cracher des giclées abondantes qui inondèrent ses doigts ...
- Eh bien ! mon cochon ! il y a longtemps que tu avais juté pour en lâcher tant !
- Je pensais à toi tout à l'heure ! tu es si belle !
- Je ne pensais pas te faire autant d'effet ! Il faudrait que nous en profitions...
- Ce sera notre cadeau si nous avons notre bac ! lui répondis-je...
- OK ! alors travaillons dur pour l'avoir !"
Rassasié de sexe pour ce moment, nous nous sommes embrassés tendrement (ce n'était pas la première fois), j'ai remballé mes outils puis nous avons repris nos révisions ensemble.
Nous avons eu notre bac et nous avons conclu notre accord dès le lendemain des résultats.
Cela est une autre expérience....