ChezOnan.fr - La masturbation masculine ludique

Hello,



Si dans vot' jeunesse vous avez eux un moment un peux genant pour vous ... et que bien sur ca concerne de pret ou de loin votre zizi mais sans etre de la masturbation ... faites en part ici.



Moi c'etait vers mes 14 ans, a cet ages la c'est toujours votre mere qui s'occupes d'acheter tous vos vetements et pas toujours avec votre mot a dire, surtout dans les sous-vetements.



C'etait un soir d'ete bien chaud, par ce temps je dormais simplement vetu d'un slip. C'est donc dans cette tenue que je sortais de la salle de bain une fois mes dents bien brossee et que j'allais dormir. En allant a ma chambre, je croise ma mere dans le couloirs. Je savais que demain elle allais acheter des vetements pour ma soeur. Je lui dis alors, "tu sais acheter pour moi des slips plus grand ?" Elle me regarde alors et me dit, pourquoi faire, je vois que ceux-la te vont bien (elle avait bien raison dans cet etat, dans mes souvenirs, je devais avoir un zizi de +/- 3cm), la ceinture est meme un peux large. Pour me montrer, elle joint le geste a la parolle et tire un peux sur l'elastique au niveau de la taille sur le cote. Effectivement elle a sur bien tirer de 4 cm ... et la, "Euuuux ...", je deviens un peux rouge en lui expliquant que c'est pasque quand j'ai des erections mon slip est tendu et mon zizi finis generalement dehors ... Elle me dit alors pas de probleme.



Le lendemain j'avais mes slips avec une "poche" plus grande sur le devant, toute la place que je voulais

Moi c'était hier j'étais chez moi dans mon salon

donc moi pensant être tranquille j'ai invité un ami et j'ai commencé le sucé a quatre pattes le cul bien bombé je vous explique pas la gène quand mes parents sont arrivés et mon vu sucé

La j'ai trop honte j'ose pas leurs en parlé

Ha oui effectivement ça doit être gênant.



Comment ils ont réagi ? Je suppose que vous vous êtes habillés et que vous êtes partis en courant



Ils savaient que tu aimais sucer des mecs ?

Depuis quelque année, il y a quelqu'un que j'ai "rencontré" sur le forum avec qui on se branle occasionellement (genre tres occasionellement, 1 ou 2 fois par ans ...) debut d'année, toujours compliqué de trouver un endroit ou faire ca vus que moi je vis dans une coloc et lui ...



J'ai eu acces a un appart debut d'année pour quelque jour, j'ai sauté sur l'occasion, on a improvisé une rencontre branle rapidos, il avais pas trop le temps, mais grave, on est generelement des rapides (quand ca marche ) ... moi depuis quand c'est prevus, je ne fais que bander, ca en devient douloureux. il arrive, je suis deja a poil, il se mets tous nu aussi, on papote, se vide une biere et on commence a se branler l'un l'autre, on fais pas trop attention, on fais un peux de bruit (des fois je peux etre bruyant quand je jouis), on finis par jouir, on se nettoy et il doit partir.



Je ranges un peux le bazar, et je part, une fois dans le couloir, voila la voisine qui vient me trouver et commence a "m'engueuler" pasque yavait trop de bruit, qu'uil y a des enfants ici etc ... les mur et portes sont fort minces ici visiblement ... et ils sont passé devant au moment de l'action ... bref, ils ont tous entendu ... oups ... j'ai dit oui oui et je suis partis

pour ma par le moment le plus gênant ce n 'est pas une branlette mais c 'est lors d'un massage thaïlandais dans un institut avec avec ma copine de l 'époque!

pour vous résumer la situation , ma copine avait reçu comme cadeau de sa sœur un massage ! ne voulant pas y aller seule, elle a m 'avait demandé de l 'accompagner. bon jusqu'à la rien de bien gênant vous allez me dire mais le moment gênant arrive !!!



nous voila donc dans cette institut pour la première fois , on se présente , on nous demande de bien vouloir quitter nos chaussures pour nous laver les pieds ainsi on se dirige dans une salle avec deux table de massage et on nous demande bien vouloir mettre les vêtements adéquats pour le massage et c 'est la que le moment de gêne vient !! un slip jetable !!!! aussi bien pour les filles que pour les hommes

bref je prends mon courage a deux mains et je l 'enfile et c 'est la le drame !! pour ceux qui ont deja essayé ils comprendront

vous allez me dire pourquoi, pour faire simple j 'avais le foin qui dépassait de la charrette et pas que pour les poils lol les testicules et un bout du prepuce !! vous allez me dire oui elles ont l habitude les masseuses mais moi non !! pour tout vous dire ma copine a bien rigolé en me voyant !!!

bref se fut la pire honte de ma vie

Dans les années 80. Faisons de l'auto-stop, un copain et moi. Une amie à lui nous reconnaît et nous prend en charge. Mon copain monte à l'avant et moi à l'arrière. Le siège usagé, un ressort a déchiré mon jean. Ne portant pas de sous vêtements l'urgence à été de trouver un change. Nous étions en Allemagne, la copine nous a laissé en périphérie d'une grande ville , Dusseldorft, où nous devions joindre le centre en transport en commun. Ne comprenais pas les commentaires des passagers, ni ceux des personnes de la grande surface où j'ai acheté un jean neuf.... Me suis empressé de l'enfiler une fois passé à la caisse.... Tant pis pour le strip-tease gratuit. Ouf.... A l'époque pas de portables......

Je n'ai jamais été gêné de me branler, ou que ce soit, parfois avec des spectateurs consentants. Ado, j'étais toujours le premier à montrer ma queue et à la tripoter devant ceux ( il n'y avait jamais de fille) qui aimaient cela et restaient voir.



J'ai vécu un moment gênant, ou en stage à Paris, je suis sorti en avance et je suis allé dans un quartier chaud , derrière les grands magasins, suis monté avec une jolie prostituée, et en ressortant , suis tombé nez à nez avec deux collègues du stage ( qui connaissaient mon épouse) ....nous devions prendre le train ensemble, le voyage fut bien silencieux....

Un souvenir particulier de moment gênant, ado, je devais avoir 15 ans.

On était avec des potes scouts dans notre local, qui était dans une cave d'immeuble avec juste un soupirail sur la rue pour éclairer et donner de l'air.

On y stockait le matos pour nos weekends ,(tentes et tout le barda) et on s'y retouvait pour discuter, préparer les activités, ou goûter quand il faisait mauvais dehors..

Souvent la conversation dérapait un peu (filles, branle...) Et même si ça restait soft (pas de photos de filles, pas de branle entre potes) c'était excitant et ça me donnait de très belles érections dans mon pantalon..



Or un jour j'avais une braguette à boutons (et non pas zippée)

Je ne sais plus de quoi on parlait mais je triquais comme un taureau et....ping ! Sous la tension voilà qu'un bouton de la braguette s'arrache et atterrit assez loin devant moi...

Grand moment de solitude lol

je sais pas plus pourquoi mais un jour je suis allé voir en haut de l'armoire de mes parents et je suis tombé sur un livre de Q de mon père. Un gros livre de photos en noir et blanc avec vraiment beaucoup mais alors beaucoup de photo de cul, hétéro, gay, sadomaso etc...Un livre bien épais. j'étais ado je devais avoir 14 ans. Bien sur une fois trouvé ce livre je le lu enfin oui je lu les belles images mdr, a chaque fois que mes parents étaient parti = livre+salle de bain et branlette obligatoire.

j'ai toujours fais attention de ne pas cracher dedans. Mais un jour mon père ma demandé si je n'étais pas aller fouiller en haut de l'armoire, j'ai répondu non en étant un peu gêné. Je me suis dis merde le livre aura disparu, mais non oufff il l'avait bien laissé a sa place.

Je me suis branler encore pendant bien longtemps.

Mes parents on divorcé, mon père a laissé le livre a sa place. Mais un jour ma mère a du le jetée il avait disparu.

Yop_31 a écrit : ↑mar. 20 juil. 2021, 13:02
Un souvenir particulier de moment gênant, ado, je devais avoir 15 ans.

On était avec des potes scouts dans notre local, qui était dans une cave d'immeuble avec juste un soupirail sur la rue pour éclairer et donner de l'air.

On y stockait le matos pour nos weekends ,(tentes et tout le barda) et on s'y retouvait pour discuter, préparer les activités, ou goûter quand il faisait mauvais dehors..

Souvent la conversation dérapait un peu (filles, branle...) Et même si ça restait soft (pas de photos de filles, pas de branle entre potes) c'était excitant et ça me donnait de très belles érections dans mon pantalon..



Or un jour j'avais une braguette à boutons (et non pas zippée)

Je ne sais plus de quoi on parlait mais je triquais comme un taureau et....ping ! Sous la tension voilà qu'un bouton de la braguette s'arrache et atterrit assez loin devant moi...

Grand moment de solitude lol

J'ai fait des colonies de vacances où des scouts nous rejoignaient. La convivialité dépassait les boutons de braguettes qui sautaient. Ah les petits cochons !!!

cherylin a écrit : ↑mar. 20 juil. 2021, 17:34
je sais pas plus pourquoi mais un jour je suis allé voir en haut de l'armoire de mes parents et je suis tombé sur un livre de Q de mon père. Un gros livre de photos en noir et blanc avec vraiment beaucoup mais alors beaucoup de photo de cul, hétéro, gay, sadomaso etc...Un livre bien épais. j'étais ado je devais avoir 14 ans. Bien sur une fois trouvé ce livre je le lu enfin oui je lu les belles images mdr, a chaque fois que mes parents étaient parti = livre+salle de bain et branlette obligatoire.

j'ai toujours fais attention de ne pas cracher dedans. Mais un jour mon père ma demandé si je n'étais pas aller fouiller en haut de l'armoire, j'ai répondu non en étant un peu gêné. Je me suis dis merde le livre aura disparu, mais non oufff il l'avait bien laissé a sa place.

Je me suis branler encore pendant bien longtemps.

Mes parents on divorcé, mon père a laissé le livre a sa place. Mais un jour ma mère a du le jetée il avait disparu.

Lycéen, un de mes potes avait un père qui avait une collection de bouquins pornos à la cave...cela nous a valu des après midi branlettes partagées avec l'angoisse qu'un de ses parents rentre plus tôt du boulot. Au moindre bruit de la porte nous rangions les bouquins ( facile) et nos queues ( moins facile)!).



Pour ne pas être surpris nous nous branlions souvent à travers le pantalon, j'en ai gardé l'habitude, cela procure un autre plaisir. Tout seul c'est agréable, le faire à un copain, moins. Il faut vraiment pincer sa queue fort. Et puis pas moyen de sucer

Mes parents étaient tout à fait favorables à ce que l’on ne mette pas de slip lorsqu' on s’habillait de manière décontractée, à la maison ou pendant les vacances, que ce soit en short ou en jean, et j'ai toujours aimé cette façon de faire très tôt, gamin.



À l'école primaire, je portais toujours des slips, parce que les shorts étaient larges et courts à cette époque, et maman ne voulait pas de discussion embarrassante à ce sujet avec les instits .

Mais plus tard, au début de l'équivalent du collège, il est vite arrivé que j'aille au lycée sans rien en dessous. Mes parents ne s'en souciaient plus, à condition que, comme le disait maman, rien ne soit visible, même en culotte courte , lorsque j'allais au lycée.





Conscient de cela, je faisais attention à mettre des slips les jours de gym ou de plein air. Mais un peu plus âgé, j'avais déjà quatorze ans, à la fin de l'année scolaire, j'ai été piégé car j'étais maintenant sans sous-vêtements tous les autres jours.



C'était une belle journée, et ce matin j'avais comme à mon habitude mis directement ma culotte courte , sans penser à l'éducation physique. Je n'avais pas non plus de slip de rechange avec mes vêtements d'éducation physique - T-shirt, short de sport, chaussures de tennis - dans mon sac d'affaires de sport , donc pas de slip.



Comme j'étais habitué comme ça, je n'y ai pas du tout pensé et je n'ai découvert ce manque de sous-vêtements seulement dans les vestiaires, au moment de me déshabiller, sans y avoir pensé avant , pour me cacher et mettre mon short de sport sous ma culotte courte dans les toilettes.



Mais après une expérience similaire l’année d’avant , j'étais plutôt confiant.



J'avais déjà eu un souci avec ça, pendant un court moment, à 12 ans, quand j'avais dû me déshabiller le soir dans un dortoir pendant la retraite de préparation à la première communion. Il était demandé pour cette semaine d’être habillé de manière décontractée. J'avais donc mis ma culotte tyrolienne, j’en avais eu une neuve cette année-là, elle était maintenant surtout destinée à être portée à la maison et pour les jours de loisirs contrairement à la précédente que je mettais aussi à l’école primaire,

J'avais l'habitude de ne jamais rien mettre en dessous. Je ne m’en suis pas soucié en quittant la maison, bien que maman m'ait prévenu que je dormirais dans un dortoir, peut-être avec d'autres garçons que je ne connaissais pas. Et en plus , à la maison, nous avions l'habitude de dormir nus.....Elle m’avait mis deux slips dans mes affaires de rechange, mais ils étaient dans le sac et pas sur moi.



C'était la première fois que je devais me déshabiller avec d'autres que je n'avais jamais vus auparavant.



Grand moment de solitude.



J’ai pris mon courage à deux mains, vite fait, bien fait, le haut enlevé, la culotte enlevée, et à poil dans le lit.

Mais contrairement à mon appréhension, rien d'extraordinaire ne s'était produit, lorsque je me m’étais déshabillé devant les autres.



Ne se connaissant pas, personne n'avait rien dit, ce soir-là.

Le lendemain matin, mon voisin de dortoir, plus gêné que moi, m’a demandé pourquoi je n’avais pas de slip. Je lui ai dit que j’en mettais pas parce que je me sentais mieux comme ça. Curieux et trouvant cela audacieux, a commencé à faire comme moi et s’y est tenu les jours suivants. Un autre porteur de shorts tyroliens proche de nous a fait de même. Le prêtre qui s'occupait de nous a certainement vu tout cela. Il n'a rien dit non plus.



Pour en revenir à ce jour de gym, j’étais donc assez confiant, je me suis déshabillé naturellement, sans chercher à cacher quoi que ce soit, et j'ai enfilé mon short de sport. C'était la première fois que cela se passait ici. Bien sûr, certains garçons ont ricané, que ça faisait PD, mais j'ai répondu que j'étais souvent comme ça à la maison et que ce n'était pas un problème pour moi.



J'ai ajouté qu'ils feraient mieux d'essayer avant de rigoler. Mais les rires se multipliaient. Ça devenait franchement embarrassant.



Puis un autre garçon a dit qu'il ne portait pas de slip non plus pendant l'été et que c'était vraiment oui, une voie à suivre. Il m'a sauvé la mise et la discussion allait bon train lorsque le prof de gym est entré dans le vestiaire. Il a dit à tout le monde d'arrêter cette agitation, heureusement sans poser de questions sur le pourquoi , et nous a ordonné de sortir. Nous avons eu l'heure d'éducation physique, et je n'ai eu aucun problème d'aucune sorte, j'ai fait ma gym de manière normale. J'étais habitué à être sans slip. Le professeur n'a rien vu.

De retour dans le vestiaire, je me suis rhabillé, toujours évidemment sans rien sous ma culotte courte.

Maintenant, quand je me suis rhabillé avec les vêtements normaux, les esprits étaient calmés, personne n'a rien dit et la journée s'est terminée comme ça.



S'ils avaient eu des doutes auparavant, toute la classe savait définitivement que j'étais sans sous-vêtements. Cela ne m'a pas dérangé et je m'y suis tenu les jours suivants. Il y a eu quelques regards dubitatifs mais rien ne s'est passé. Encore une fois, personne n'a rien dit, sauf le garçon qui avait dit qu'il était lui aussi sans slip pendant l'été. Il m'a dit qu'il était maintenant comme moi, sans rien dessous et que c’était pas plus mal. Après cela, j'ai cette année là tout de même fait de mon mieux pour avoir des sous-vêtements les jours d'éducation physique et j'ai mis un slip de rechange dans mon sac de sport, juste au cas où...



L'année scolaire suivante, les jours de piscine, je mettais mon slip de bain avant de quitter la maison et après la piscine, j'étais sans rien en dessous pour éviter de prendre un slip de rechange. Le slip de bain humide était dans la serviette. Bien que la plupart des gars de la classe avaient des slips de rechange, j'ai vu quelques autres garçons faire comme moi, ne plus porter de sous-vêtements après la séance. Et devinez quoi ? Les plus idiots frottaient fortement leur slip de bain avec leur serviette et le gardaient vraiment humide sous leur pantalon. En tous cas , je n'étais pas le seul à être sans slip ces jours-là...



Cela n'a plus jamais donné lieu à commentaire négatif comme l'année précédente et je n'étais plus gêné de me changer sans sous-vêtements devant les autres.

Bonjour JYR,

Merci pour ce super témoignage.

J'ai vécu quelques scènes semblables car moi non plus je ne porte jamais de slip ni autre sous vêtement.

Ron

Mes parents n'étaient pas nudistes mais me laissaient assez libre de mes mouvements. Du coup, j'avais 10 ans quand j'ai abandonné le port du pantalon de pyjama. Je gardais le haut afin d'éviter des questions. J'appréciais cette sensation de sentir mon sexe et mes fesses libres de toute contrainte.



L'été, quand j'allais ç la campagne chez ma grand mère, j'en profitais pour ne jamais rien mettre sous mon short. En grimpant aux arbres par exemple, j'ai pu voir que d'autres garçons du village en faisaient autant. Il nous arrivait parfois de nous mettre tout nu pour aller pécher des écrevisses dans la rivière. Cela se faisait en toute simplicité et sans arrière pensée.



C'est vers 14 ans que je suis devenu complètement "freeballer", c'est à dire que je n'ai plus jamais mis de slip sous aucun vêtement.



Dans lors des cours de gym, je n'ai eu aucun problème dans le vestiaire du gymnase du lycée.



Ce n'est que beaucoup plus tard que j'ai été confronté à une situation embarrassante.

Un jour, je suis allé à l'université en ayant complètement oublié que je devais passer la visite médicale.

Je me suis jeté à l'eau en me présentant tout nu devant le médecin et son assistant. J'étais très confus mais un peu soulagé qu'il n'y ait pas eu de femme dans le cabinet médical.

Eric a écrit : ↑jeu. 15 juil. 2021, 20:15
Dans les années 80. Faisons de l'auto-stop, un copain et moi. Une amie à lui nous reconnaît et nous prend en charge. Mon copain monte à l'avant et moi à l'arrière. Le siège usagé, un ressort a déchiré mon jean. Ne portant pas de sous vêtements l'urgence à été de trouver un change. Nous étions en Allemagne, la copine nous a laissé en périphérie d'une grande ville , Dusseldorft, où nous devions joindre le centre en transport en commun. Ne comprenais pas les commentaires des passagers, ni ceux des personnes de la grande surface où j'ai acheté un jean neuf.... Me suis empressé de l'enfiler une fois passé à la caisse.... Tant pis pour le strip-tease gratuit. Ouf.... A l'époque pas de portables......

Cela aurait pu m'arriver, depuis gamin, je ne mets pas de slip non plus la plupart du temps ... La déchirure devait être sérieuse pour que les gens commentent.! Cela fait des bons souvenirs !

À 15-16 ans, seul à la maison j'aimais être là bite à l'air, je gardais mon t-shirt. Je restais le plus loin possible de la fenêtre, les rideaux de ma chambre ne couvraient pas entièrement la fenêtre, même en restant loin de la fenêtre, j'ai entendu des voix de femmes passer dans la rue et j'ai entendu "oh il est tout nu". Je suis devenu tout rouge, j'ai pas osé bouger

Alors un moment hyper gênant, j'avais 18 ans et une copine. Un soir on est sorti et après je passais la nuit chez elle. On rentre 3h du matin. Les chambres à l'étage et à l'étage aussi une salle de bain avec les toilettes à l'intérieur.

Nous voilà dans la chambre, on se déshabille, on se met au lit et obligé on fait l'amour. je me retire, je me lève, je prends mon caleçon à la main et j'ouvre discrètement la porte de la chambre, pas de lumière dans le couloir, donc me voilà parti très vite à la salle de bain nu , le préservatif encore en place, le caleçon à la main.

Et là j'ouvre la porte, y'avait son père au lavabo entrain de se laver les mains Il avait du se lever pour aller aux toilettes.

J'ai refermé direct et me suis retourné à la chambre. Ma copine était à la fois gênée mais envie de rire aussi. J'attends 5 min et j'ai pu retourner tranquille faire ce que j'avais à faire!

Le lendemain matin, on se lève et on ptit dej sur la terrasse. Ma copine s'absente 3 min et là son père arrive Il me dit bonjour et me dit "ça va? bien passé cette soirée? et le retour aussi?" avec un énorme sourire! J'ai répondu oui, oui, oui tout gêné et ça en ai resté là.

Aujourd'hui j'en rigole et le côté positif de cette mésaventure aura été qu'il a vu que l'on se protégeait!