fétichisme
Publié : mar. 02 mars 2010, 22:19
Je suis d’une famille dite nombreuse ou l’économie nous permettait de vivre sans manquer de rien. Au nom de ses économies, ma mère usait les slips de mes sœurs aînées sur mon dernière.
Je m’en suis aperçu en rentrant à l’école maternelle. Aux toilettes, les femmes de services, nous mettaient en rang devant les urinoirs, nous baissaient le pantalon sur les chevilles, le slip sur les jambes. Un de mes voisins c’était moqué de ma petite culotte. A midi en rentrant, j’ai exprimé ma première revendication, je voulais des slips de garçon, je n’étais pas une fille. J’avais du être convaincant, car le soir même je fus doté de slip blanc fermé taille basse « polichinelle »
Je serais abonné à ce modèle jusqu'au lycée. Comme je rentrais en internat j’avais réussi à obtenir que l’on m’achète des slips « Athéna » avec des bandes bleu foncé sur les cotés ! Je les ai usés jusqu'à la trame. J’ai passé mon adolescence avec.
C’est jeune adulte, presque 10 ans plus tard, (je n’exagère qu’à peine) que je me suis acheté personnellement le premier lot de slips bon marché d’un catalogue par correspondance.
Leurs mauvaises qualités fait que l’on est obligé de les renouveler plus souvent que toutes les décennies. Afin d’avoir des slips corrects pour aller aux visites médicales j’ai pris l’habitude d’avoir des lots de slips à différent stade d’usure. Du coup, j’en ai toute une collection.
Les slips pour moi, sont aussi associé à la vie en collectivité, aux toilettes de l’école, aux colonies de vacances, à l’internat ou nous dormions en slips, au service militaire avec la visite médicale, les douches, les changements de tenues, les chambrées. Tous ces instants ou à travers le tissu des slips, on essais de deviner la taille des parties des autres, pour se rassurer ou s’inquiéter de la taille de la sienne.
Tous ces moments, de regards furtifs, d’odeurs de corps, d ‘échanges de propos gênés, d’attitudes viriles, alimente les libertinages de mes pensées. Le slip, de simple emballage hygiénique, est devenu objets d’appétence. Tous ces souvenirs, de la découverte de mon état de garçon, font que j’aime voir mes semblables en slips, que j’aime m’amuser avec mes slips, une sorte d’objet transitionnel, qui cache mais qui laisse deviner.
Un préliminaire à la sexualité, je ne suis pas tout nu, je ne suis plus habillé, je suis en situation excitante.
Je m’en suis aperçu en rentrant à l’école maternelle. Aux toilettes, les femmes de services, nous mettaient en rang devant les urinoirs, nous baissaient le pantalon sur les chevilles, le slip sur les jambes. Un de mes voisins c’était moqué de ma petite culotte. A midi en rentrant, j’ai exprimé ma première revendication, je voulais des slips de garçon, je n’étais pas une fille. J’avais du être convaincant, car le soir même je fus doté de slip blanc fermé taille basse « polichinelle »
Je serais abonné à ce modèle jusqu'au lycée. Comme je rentrais en internat j’avais réussi à obtenir que l’on m’achète des slips « Athéna » avec des bandes bleu foncé sur les cotés ! Je les ai usés jusqu'à la trame. J’ai passé mon adolescence avec.
C’est jeune adulte, presque 10 ans plus tard, (je n’exagère qu’à peine) que je me suis acheté personnellement le premier lot de slips bon marché d’un catalogue par correspondance.
Leurs mauvaises qualités fait que l’on est obligé de les renouveler plus souvent que toutes les décennies. Afin d’avoir des slips corrects pour aller aux visites médicales j’ai pris l’habitude d’avoir des lots de slips à différent stade d’usure. Du coup, j’en ai toute une collection.
Les slips pour moi, sont aussi associé à la vie en collectivité, aux toilettes de l’école, aux colonies de vacances, à l’internat ou nous dormions en slips, au service militaire avec la visite médicale, les douches, les changements de tenues, les chambrées. Tous ces instants ou à travers le tissu des slips, on essais de deviner la taille des parties des autres, pour se rassurer ou s’inquiéter de la taille de la sienne.
Tous ces moments, de regards furtifs, d’odeurs de corps, d ‘échanges de propos gênés, d’attitudes viriles, alimente les libertinages de mes pensées. Le slip, de simple emballage hygiénique, est devenu objets d’appétence. Tous ces souvenirs, de la découverte de mon état de garçon, font que j’aime voir mes semblables en slips, que j’aime m’amuser avec mes slips, une sorte d’objet transitionnel, qui cache mais qui laisse deviner.
Un préliminaire à la sexualité, je ne suis pas tout nu, je ne suis plus habillé, je suis en situation excitante.