Avec mon cousin
Publié : ven. 03 avr. 2009, 15:52
J'étais en vacances d'été chez mon cousin, de quelques mois plus jeune que moi.
Depuis quelques temps, je sentais une partie de mon corps devenir vivante, et une sensation bizarre me prenait quand je la sentais se gonfler et durcir.
Un jour, pendant la sieste qui nous était imposé pour que nous évitions la pointe de chaleur d'après midi, je demandais à mon cousin s'il lui arrivait la même chose.
Il me répondit que c'était une érection et qu'il en avait souvent le matin et tous les soirs.
Je fus un peu surpris, j'en avait aussi souvent le matin au lever, sinon, rarement et qu'en je pensais à certaines choses comme à la nouvelle élève blonde qui se tenait au premier rang de la classe.
Mon cousin me précisa alors que s'il avait une érection chaque soir, c'est parce qu'il jouait avec sa zigounette et que la sensation bizarre faisait plaisir.
Je lui demandais comment il s'y prenait pour jouer avec. Il baissa alors son short et son slip, libérant la zigounette qu'il massa de la main quelques instants. Quand la petite saucisse molle fut devenue rigide, il me montra comment il faisait un tube avec ses doigts allongés dans lequel il enserra sa verge. Il descendit puis remonta doucement sa main quelques minutes en accélérant vers la fin. Puis arrêta aprés un petit gémissement.
Il me demanda alors si je voulais essayer. Je retirais à mon tour mon short et mon slip. Ma zigounette n'eut pas besoin de massage, elle était déjà tendue. Je fis le même cornet de mes doigts et commençais le va et vient.
J'arrêtais au bout de quelques aller retour et dis à mon cousin que ça faisait tout drole. Mon cousin me dit de continuer. Trés vite, j'eus comme une décharge électrique, mais trés agréable dans les boules et la verge. Je venais d'avoir mon premier (petit) orgasme, à sec, trop jeune encore pour éjaculer.
A partir de cet aprés midi, je compris pourquoi mon cousin bougeait dans son lit le soir et que sa respiration s'accélérait.
Et chaque soir, mon souffle s'accéléra aussi, à l'exception d'une période de plusieurs semaines au moment de ma circoncision, quand je dus trouver une adaptation de la méthode.
Depuis quelques temps, je sentais une partie de mon corps devenir vivante, et une sensation bizarre me prenait quand je la sentais se gonfler et durcir.
Un jour, pendant la sieste qui nous était imposé pour que nous évitions la pointe de chaleur d'après midi, je demandais à mon cousin s'il lui arrivait la même chose.
Il me répondit que c'était une érection et qu'il en avait souvent le matin et tous les soirs.
Je fus un peu surpris, j'en avait aussi souvent le matin au lever, sinon, rarement et qu'en je pensais à certaines choses comme à la nouvelle élève blonde qui se tenait au premier rang de la classe.
Mon cousin me précisa alors que s'il avait une érection chaque soir, c'est parce qu'il jouait avec sa zigounette et que la sensation bizarre faisait plaisir.
Je lui demandais comment il s'y prenait pour jouer avec. Il baissa alors son short et son slip, libérant la zigounette qu'il massa de la main quelques instants. Quand la petite saucisse molle fut devenue rigide, il me montra comment il faisait un tube avec ses doigts allongés dans lequel il enserra sa verge. Il descendit puis remonta doucement sa main quelques minutes en accélérant vers la fin. Puis arrêta aprés un petit gémissement.
Il me demanda alors si je voulais essayer. Je retirais à mon tour mon short et mon slip. Ma zigounette n'eut pas besoin de massage, elle était déjà tendue. Je fis le même cornet de mes doigts et commençais le va et vient.
J'arrêtais au bout de quelques aller retour et dis à mon cousin que ça faisait tout drole. Mon cousin me dit de continuer. Trés vite, j'eus comme une décharge électrique, mais trés agréable dans les boules et la verge. Je venais d'avoir mon premier (petit) orgasme, à sec, trop jeune encore pour éjaculer.
A partir de cet aprés midi, je compris pourquoi mon cousin bougeait dans son lit le soir et que sa respiration s'accélérait.
Et chaque soir, mon souffle s'accéléra aussi, à l'exception d'une période de plusieurs semaines au moment de ma circoncision, quand je dus trouver une adaptation de la méthode.