Mon correspondant allemand.

Ici, raconte tous tes fantasmes de branles imaginaires...
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sturby
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Inscription : sam. 12 mai 2007, 15:36

Mon correspondant allemand.

Message par sturby »

Quand j'ai fait mon voyage en Allemagne, à Leipzig, je dormais dans la même chambre que mon correspondant. Il était immense, et assez musclé (il faisait du basket). La nuit je fantasmais souvent sur lui, durant mon séjour. Puis une nuit, tard (vers 2h00 du matin), j'ai entendu des bruits curieux. En tendant l'oreille, j'ai entendu des respirations saccadées venant du lit de mon correspondant. Je compris qu'il se masturbait en regardant son lit : c'est fou comme on voit bien dans le noir la nuit. Je vis que ça gigotait sévère sous sa couette. Il devait croire que je dormais. En effet, au moindre bruit venant de mon lit, les gestiulations cessaient.



Je bandais dur, et j'ai alors décidé d'y aller franco : j'ai allumé et j'ai enlevé la couverture du lit voisin. Bingo : il était à poil et bandait lui aussi. Il s'est caché le bazard. IL m'a regardé, tout rouge, et m'a demandé ce que je faisais. Je riais et lui ai demandé si je pouvais moi aussi le faire.

Pendant plus d'une minute, il n'a rien dit (trop gêné...), puis quand je lui ai demandé une nouvelle fois, il a dit OK. Mais à une condition : chacun dans son lit ! Il n'était pas gay mais ça l'amusait de se branler devant quelq'un. Moi j'était en plein rêve. Quand il a éjaculé, il est devenu presque violacé en certains endroits : son visage, son gland et surtout ses bourses. J 'ai vu un tas de gens se masturber, mais cette fois là a été une des plus excitantes, car il était hétéro, et était particulièrement gêné.



Pendant qu'il se nettoyait, j'ai à mon tour éjaculé. Il me regardait attentivement. J'en ai mis dans ma main, et j'ai avalé devant lui : il était écoeuré.



Il m'a demandé de rien dire aux autres, puis on s'est recouché. Il n'a jamais recommencé, mais mois,les deux derniers jours, je l'ai refait devant lui. Il rigolait à chaque fois...



Depuis on ne le vois plus et on ne communique plus, mais mes les souvenirs demeurrent intacts.
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