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à la fac

Publié : ven. 25 nov. 2005, 20:59
par Josselin
Fantasme 1 :



Salut, ya quelques années j'ai racompagné un pote de fac chez lui. Il vivait en coloc avec un un copain d'enfance. Quand on est arrivé il m'a demandé si ça me dérangeait pas qu'il se change. je lui dit non et je m'assis dans le canapé. Je pensais qu'il allait dans la salle de bain, mais il commence à enlever son tshirt devant moi, puis il enléve son jean, et se balade en boxer moulant le temps d'aller chercher un caleçon. Il se tourne et baisse alors son boxer. je le voyais de dos, il ne semblait pas géné du tout. Il commence à enfiler son caleçon et se retourne avant de l'avoir remonté, me montrant une bite en semie erection. J'étais un peu étonné, ça devait se voir. Il me dit alors "ça t'excite de mater mes couilles?" Je me rendais pas compte que j'avais les yeux fixés sur son caleçon déformé par le sexe. J'ai bafouillé un truc et il m'a dit qu'il pensait pas que ça me génerait car il avait l'habitude avec son copain de se changer et de se balader à poil sans complexe. J'ai haussé les épaules et il est venu s'assoir à coté de moi. Il me raconte que quand lui et son copain ont emmenagé, ils avaient aussi un peu honte de se mettre à poil mais que depuis ils avaient décidé de vivre sans tabou. A tel point que quand ils avaient la gaule ils se branlaient même quand l'autre était là, juste en prévenant le copain du style 'j'ai la gaule j'ai envie de me branler'. Parfois même l'autre sortait son matos et ils se branlaient à deux. J'étais rouge et étonné de cette confession. Je me branle aussi mais jamais je n'en parle à personne. Et là j'ai un pote qui me dit qu'il se branle même avec son

copain. J'ai rigolé betement endisant un truc du style ça soulage. Mais il a commencé à parler de détails techniques entre eux et à un moment il a commencé à caresser ma cuisse au travers du pantalon. Je ne bandais même pas, et j'avais un peu peur. Du coup j'ai abrégé et je suis parti vite fait, le laissant en erection dans son caleçon: il ne cherchait même pas à se cacher et au contraire semblait fier de montrer sa bosse. Autant dire que je suis rentré, j'avais une sacré trique en les imaginant, et je suis allé direct dans ma chambre et je me suis tapé une bonne sturb en pensant à ce qu'il m'avait dit sur eux... Je regrette encore de ne pas avoir été plus loin....



Fantasme 2 :



En pensant à ce qui vient de se passer, je fantasme sur ce qui aurait pu se produire si j'avais été un peu plus direct avec Jérome mon pote de fac.... Je me remémorre l'histoire et m'arrete au moment où il remonte son caleçon en se tournant vers moi: Quel bel engin tu as je lui dit pendant qu'il sourit. Il vient s'asseoir à coté de moi sur le canapé et j'ajoute qu'il doit faire des envieux avec un braquemart aussi énorme. Elle n'est pas si énorme me répond-il, juste je me suis rasé et donc elle parrait plus longue. En fait il me raconte que tout à commencé quand il a emménagé avec son copain de classe, Frederic. L'appart qu'ils ont pris en colocation est en fait une grande piéce en L. D'un coté se trouve le coin cuisine ensuite le coin séjour avec le canapé le télé et les bureaux, et dans la branche haute du L ils ont mis leurs deux lits séparés par les tables de chevet. Le premier soir fut mis en place une tentative d'installer un drap entre les lits, mais ils n'y sont pas arrivé. Enervé, Fréderic avait dit que de toute façons si ils devaient vivre ensemble autant parler tout de suite des trucs génant et de ne pas se cacher plus que ça. Il commence à se déshabiller: comme ça ce sera fait on n'aura plus de raison de se cacher. Jérome un peu moins enervé regarde son copain baisser son caleçon et se tourner vers lui en disant: voilà tu peux mater le matos. Jérome lui répond qu'il a une bien belle bite, et en pensant chiche, se sépare à son tour de ses habits et baisse son boxer. Effectivement ce n'est pas si compliqué que ça. Les deux garçons s'observent quand Fred fait remarquer à Jérome qu'en fait pour avoir une bien belle bite, il se rase les couilles. Le plus simplement du monde il lui dit que cela lui donne une peau toute douce et que c'est trés agréable y compris quand il se branle. Jérome se marre un peu mais Fred insiste: puisqu'on en est à ne rien cacher, je t'avoue que je me l'astique au moins deux fois par jour. Jérome ne répondant rien, fred lui demande carément: et toi combien de fois tu te branles? Avec le coeur qui bat, Jérome lui répond que lui aussi au moins une fois par jour il a besoin de relacher la pression. T'es bien coincé lui dit Fred: tu n'ose pas dire que tu te branles, pourtant c'est facile regarde moi je me branle tous les jours et je prend mon pied à le faire, je le fais en me frottant contre le lit, ou en faisant coulisser ma bite entre les jambes, ou en faisant les traditionnels vas et vient à la main...J'aime la branlette et je me la secoue régulierement. Tu vois ! Tandis qu'il parlait son sexe avait durcit. Jérome regardait son copain nu devant lui qui semblait fier de montrer son sexe bandé. Jérome aussi commençait à bander. Il se jetta à l'eau d'un coup en disant: je ne suis pas coincé! moi aussi je me branle bien sur. J'adore me caresser et faire des longs mouvements de va et vient comme ça. Et joignant le geste à la parole, il pris son sexe qui s'était fierement dressé et commença à faire glisser trois doigts le long de la hampe de chair. Frederic regarda son copain pendant deux trois va et vient, et avant que celui ci n'arrete empoigna son propre zob et commença lui aussi à se palucher. Les deux garçons face à face se perdaient dans leur plaisirs solitaires en s'exhibant et en se regardant. Tout de suite Frederic commença à gémir en cadence et à soupirer fortement tandis que sa main coulissait sur son pieux bandé. Jérome était plus discret, mais entendant son copain, il se lança dans un concert de soupirs. La situation était tellement excitante, l'odeur de sexe et d'homme en rut était si forte que les deux garçons se finirent rapidement. Dans un rale, Fréderic laissa partir son sperme en essayant de le canaliser sur lui tandis que Jérome le suivait imémdiatement et gémissait en conservant le sperme dans sa main pour continuer à carresser son sexe. Un moment de géne tomba sur les deux jeunes gens. Frederic détendis vite l'atmosphére: eh bien je crois qu'on a trouvé un petit jeu agréable pour les longues soirées! En riant, les garçons allérent se préparer pour la nuit et s'endormirent d'un someil heureux.



Tandis que jérome me racontait leur premiére soirée, à Frederic et lui, je bandais ferme dans mon pantalon. Le caleçon de Jérome trahissait l'humeur du garçon. Tu dois te branler souvent en y pensant je lui dit! Ca m'arrive me répond Jérome, mais il s'est passé encore d'autres choses ensuite... je m'entend dire: Tu en as pas assez dit continue! Un sourir en coin, Jérome se remet la bite en place au travers de son caleçon et enchaine, alors qu'à mon tour je ne peux m'empecher de toucher mon entrejambe car mon zob ne demande qu'à se liberer de mon slip et de mon pantalon pour respirer un peu...