Ma découverte et évolution de la masturbation
Publié : mer. 13 nov. 2024, 16:58
Bonjour/Bonsoir,
J’ai découvert ce site il y a quelques jours en cherchant à comprendre comment les jeunes du XXe siècle, avant l’essor d’internet, en venaient à découvrir la masturbation. J’ai trouvé ici tout ce que je recherchais, grâce aux nombreux témoignages anonymes partagés sur le forum. Finalement, je réalise que le processus n’a pas tant évolué. Aujourd’hui, il est vrai que nous sommes probablement mieux informés sur la sexualité dès un jeune âge, mais je ne saurais dire si c’est une bonne chose ou non — sans doute un peu des deux.
Ainsi, j’aimerais également apporté ma pierre à l’édifice. Vous narrez mes différentes expériences masturbatoires tout le long de ma vie d’un jeune sous l’air d’internet des réseaux sociaux.
Il est parfois difficile de se souvenir de l'âge exact de notre première expérience de masturbation, souvent sans vraiment s'en rendre compte. Je me rappelle avoir autour de 7 ou 8 ans, quand je prenais plaisir à masser mon gland ou à passer mon pouce sur cette zone, et même à le décalotter. Bien que je ne sois pas circoncis, j'ai toujours eu un petit prépuce. La plupart du temps, je suis à moitié découvert, voire complètement. À cette période, j’étais encore innocent, je n'allais jamais jusqu'à la jouissance.
À cet âge j’aimais me regarder nu dans le grand miroir de la salle de bain, voir mon pénis mou et durcir, essayant de comprendre ce mécanisme d’excitation, ces caresses qui me faisaient tant réagir. Je trouvais ça drôle.
J’ai un cousin avec qui j'étais assez proche et qui vivait dans le même village que moi. Comme tous les jeunes, nous aimions jouer dehors et nous promener dans les bois. L'été de mes 10 ans, je me souviens que nous allions souvent nous baigner dans une rivière isolée. Nous étions en maillot ou nus et cela ne nous gênait pas du tout entre nous. J'ai découvert cette sensation incroyable d'être nu en pleine nature, avec la verge au vent. Depuis ce temps-là, j'aime toujours pratiquer cela chez moi ou dehors.
Mon cousin, qui avait deux ans de plus que moi, me fascinait par son pénis en plein développement et sa belle touffe de poils. Je me rappelle qu'un jour, après une baignade nue et lors d'une discussion sur les filles, il m'a confié qu'il se masturbait régulièrement. J'avais déjà entendu ce mot mais je ne savais pas trop ce qu'il signifiait. Finalement, j'ai réalisé que moi aussi je le faisais sans vraiment y penser ! C'est alors qu'il m'a montré comment il procédait. Pour la première fois, j'ai vu un autre pénis en érection que le mien ! Rapidement, j'ai commencé à imiter ses gestes d'aller-retour. Je me souviens que son pénis semblait plus imposant que le mien. Pendant qu'il se massait aussi avec sa main libre le corps et les tétons. C'est là, au bord de l'eau et en pleine nature, que j'ai connu ma première jouissance consciente ; peu après mon cousin me rejoignait, avec quelques gouttes jaillissant de son sexe.
Après cela, mes séances de masturbation partagées ont continué entre mes 10 et 14 ans. C’est lui qui m’a fait découvrir mon premier film porno à 11 ans. Au début, je ne regardais que quand j’étais avec lui. Puis, au collège, un ami m’a confié qu’il en visionnait souvent en solo chez lui et qu’il effaçait l’historique juste après. Alors, un mercredi après-midi, j’ai décidé d’explorer ce monde du porno tout seul sur le PC familial. Pendant mon adolescence, ma consommation de porno a évolué ; je pouvais regarder des contenus hétéro, lesbien, bisexuel ou même gay. J’aimais bien voir des hommes se masturber en même temps que moi.
C’est lors d’une de mes séances hebdomadaires de masturbation, à 13 ans, alors que j’étais nu devant le PC familial, que j’ai eu ma première éjaculation. Je me rappelle de la fierté immense que j’avais à ce moment-là, comme beaucoup d’adolescents je pense. D’ailleurs, quelques jours plus tard, j’ai partagé une séance de masturbation avec mon cousin pour lui montrer que moi aussi je pouvais gicler.
Un peu avant ça, à mes 12 ans, je me suis inscrit dans un club de football pour jouer aux côtés de l'un de mes meilleurs amis. Je me rappelle qu'après les entraînements et les matchs, dans les vestiaires, beaucoup d'entre nous se déshabillaient sans aucune gêne, certains allaient même jusqu'à prendre une douche commune. Il y en avait qui se changeaient rapidement, mais d'autres, souvent ceux qui grandissaient plus vite, montraient fièrement leur sexe poilu, bien plus développé que celui des autres. Au début, cela me gênait tout en m’intrigant ; voir tant de différences était fascinant : certains pénis étaient petits, d'autres longs, certains imberbes tandis que d'autres étaient bien fournis, certains circoncis et d'autres complètement recouverts… Petit à petit, j'ai fini par faire comme eux et prenant même certaines fois des douches après des entraînements sous chaleur intense. Je me souviens de cette ambiance décontractée ; j'appréciais ces moments de partage libre et sans pudeur. Cela alimentait aussi mes fantasmes d'adolescent sur le fait de se masturber tous ensemble après l'entraînement, ce qui hélas ne s'est jamais produit.
Après 14 ans, les moments de masturbation avec mon cousin ont pris fin. Lui avait bien grandi, il était au lycée et commençait à avoir ses premières copines. De mon côté, je me suis retrouvé assez seul, sans partenaire pour ces moments intimes. En pleine puberté, la masturbation était l'un de mes passe-temps préférés ; je pense qu'à cette époque, je le faisais une à trois fois par jour, un peu partout dans la maison et même dehors. Étant devenu adepte du nudisme, j'aimais profiter de mon temps libre pour faire des randonnées. Quand j'étais bien isolé, je me mettais nu en pleine nature et m'adonnais à ce plaisir. J'éprouvais un immense bonheur à atteindre l'orgasme en extérieur ; c'était comme si j'étais totalement connecté à l'univers, ressentant chaque élément autour de moi.
Arrivé au lycée, je commençais à me poser de plus en plus de questions sur ma sexualité. C'était le moment des premières copines et des flirts qui s'intensifiaient. Il y avait tant de camarades de classe que je trouvais attirantes, et entre amis, on échangeait toujours nos préférences, celles avec qui on aimerait « baiser ». En parallèle, j'éprouvais un plaisir fou à me masturber en regardant du porno gay. C'est aussi durant cette période que j'ai découvert les tchats anonymes ; il m'est arrivé plusieurs fois de me masturber en cam avec des hommes beaucoup plus âgés que moi. Je sais que ça peut sembler bizarre, mais j'éprouvais une excitation incroyable à voir des hommes se stimuler en regardant mon corps de lycéen. J'aimais quand ils dirigeaient ma masturbation en me donnant des instructions jusqu'à l'orgasme.
Puis, en Première, j'ai eu ma première véritable copine avec qui je suis resté jusqu'à la mi-Terminale. À ses côtés, nous avons partagé notre première fois ensemble. Je garde un souvenir mémorable de cette relation ; nous adorions faire l'amour presque partout. Avec elle, j'ai réalisé mon fantasme d'avoir des rapports en pleine nature. J'ai énormément appris sur le plan sexuel et humain grâce à elle. Cependant, pendant cette période, je continuais à m'interroger sur ma bisexualité et je prenais encore régulièrement plaisir à me masturber en cam.
Je refoulais cette bisexualité à mon entourage, bien que très ouvert d’esprit. Durant ma première année d’étude supérieur, ayant changé de ville et mes amis de lycée étant également éparpillés. Je me fis un nouveau cercle d’amis. Je pus également m’ouvrir sexuellement. Durant une soirée étudiante je rencontra, un jeune de mon âge étant dans une autre filière. Il était facile de comprendre qu’il était gay, et il ne s’en cachait aucunement. Nous nous sommes très bien entendu, au départ simple ami. Un soir, un peu éméché, je lui confia mon envie de découvrir le plaisir homosexuel. C’est ainsi, à ces côtés, que je découvrit ma bisexualité. La joie de la fellation mutuelle, de la masturbation mutuelle et autre…
Aujourd'hui, je me sens vraiment épanoui sur le plan sexuel, même si je n'assume pas complètement ma bisexualité ; seules quelques personnes de mon entourage proche en ont connaissance. J’apprécie toujours autant me masturber. Ma fréquence de masturbation fluctuant selon mes relations, allant d'une fois toutes les deux semaines à une fois par jour. J’aimerais refaire comme dans mon adolescence, me masturber au soleil, dans la nature. J’en garde d’excellent souvenir, c’est d’ailleurs un bon moyen de m’exciter rapidement.
Si vous êtes encore là, je vous remercie d’avoir lu jusqu’au bout mon témoignage. Je pense qu’il est similaire à beaucoup de vécu mais je tenais tout de même à le partager.
Au plaisir,
Bonne séance de masturbation
Bonne journée / soirée
J’ai découvert ce site il y a quelques jours en cherchant à comprendre comment les jeunes du XXe siècle, avant l’essor d’internet, en venaient à découvrir la masturbation. J’ai trouvé ici tout ce que je recherchais, grâce aux nombreux témoignages anonymes partagés sur le forum. Finalement, je réalise que le processus n’a pas tant évolué. Aujourd’hui, il est vrai que nous sommes probablement mieux informés sur la sexualité dès un jeune âge, mais je ne saurais dire si c’est une bonne chose ou non — sans doute un peu des deux.
Ainsi, j’aimerais également apporté ma pierre à l’édifice. Vous narrez mes différentes expériences masturbatoires tout le long de ma vie d’un jeune sous l’air d’internet des réseaux sociaux.
Il est parfois difficile de se souvenir de l'âge exact de notre première expérience de masturbation, souvent sans vraiment s'en rendre compte. Je me rappelle avoir autour de 7 ou 8 ans, quand je prenais plaisir à masser mon gland ou à passer mon pouce sur cette zone, et même à le décalotter. Bien que je ne sois pas circoncis, j'ai toujours eu un petit prépuce. La plupart du temps, je suis à moitié découvert, voire complètement. À cette période, j’étais encore innocent, je n'allais jamais jusqu'à la jouissance.
À cet âge j’aimais me regarder nu dans le grand miroir de la salle de bain, voir mon pénis mou et durcir, essayant de comprendre ce mécanisme d’excitation, ces caresses qui me faisaient tant réagir. Je trouvais ça drôle.
J’ai un cousin avec qui j'étais assez proche et qui vivait dans le même village que moi. Comme tous les jeunes, nous aimions jouer dehors et nous promener dans les bois. L'été de mes 10 ans, je me souviens que nous allions souvent nous baigner dans une rivière isolée. Nous étions en maillot ou nus et cela ne nous gênait pas du tout entre nous. J'ai découvert cette sensation incroyable d'être nu en pleine nature, avec la verge au vent. Depuis ce temps-là, j'aime toujours pratiquer cela chez moi ou dehors.
Mon cousin, qui avait deux ans de plus que moi, me fascinait par son pénis en plein développement et sa belle touffe de poils. Je me rappelle qu'un jour, après une baignade nue et lors d'une discussion sur les filles, il m'a confié qu'il se masturbait régulièrement. J'avais déjà entendu ce mot mais je ne savais pas trop ce qu'il signifiait. Finalement, j'ai réalisé que moi aussi je le faisais sans vraiment y penser ! C'est alors qu'il m'a montré comment il procédait. Pour la première fois, j'ai vu un autre pénis en érection que le mien ! Rapidement, j'ai commencé à imiter ses gestes d'aller-retour. Je me souviens que son pénis semblait plus imposant que le mien. Pendant qu'il se massait aussi avec sa main libre le corps et les tétons. C'est là, au bord de l'eau et en pleine nature, que j'ai connu ma première jouissance consciente ; peu après mon cousin me rejoignait, avec quelques gouttes jaillissant de son sexe.
Après cela, mes séances de masturbation partagées ont continué entre mes 10 et 14 ans. C’est lui qui m’a fait découvrir mon premier film porno à 11 ans. Au début, je ne regardais que quand j’étais avec lui. Puis, au collège, un ami m’a confié qu’il en visionnait souvent en solo chez lui et qu’il effaçait l’historique juste après. Alors, un mercredi après-midi, j’ai décidé d’explorer ce monde du porno tout seul sur le PC familial. Pendant mon adolescence, ma consommation de porno a évolué ; je pouvais regarder des contenus hétéro, lesbien, bisexuel ou même gay. J’aimais bien voir des hommes se masturber en même temps que moi.
C’est lors d’une de mes séances hebdomadaires de masturbation, à 13 ans, alors que j’étais nu devant le PC familial, que j’ai eu ma première éjaculation. Je me rappelle de la fierté immense que j’avais à ce moment-là, comme beaucoup d’adolescents je pense. D’ailleurs, quelques jours plus tard, j’ai partagé une séance de masturbation avec mon cousin pour lui montrer que moi aussi je pouvais gicler.
Un peu avant ça, à mes 12 ans, je me suis inscrit dans un club de football pour jouer aux côtés de l'un de mes meilleurs amis. Je me rappelle qu'après les entraînements et les matchs, dans les vestiaires, beaucoup d'entre nous se déshabillaient sans aucune gêne, certains allaient même jusqu'à prendre une douche commune. Il y en avait qui se changeaient rapidement, mais d'autres, souvent ceux qui grandissaient plus vite, montraient fièrement leur sexe poilu, bien plus développé que celui des autres. Au début, cela me gênait tout en m’intrigant ; voir tant de différences était fascinant : certains pénis étaient petits, d'autres longs, certains imberbes tandis que d'autres étaient bien fournis, certains circoncis et d'autres complètement recouverts… Petit à petit, j'ai fini par faire comme eux et prenant même certaines fois des douches après des entraînements sous chaleur intense. Je me souviens de cette ambiance décontractée ; j'appréciais ces moments de partage libre et sans pudeur. Cela alimentait aussi mes fantasmes d'adolescent sur le fait de se masturber tous ensemble après l'entraînement, ce qui hélas ne s'est jamais produit.
Après 14 ans, les moments de masturbation avec mon cousin ont pris fin. Lui avait bien grandi, il était au lycée et commençait à avoir ses premières copines. De mon côté, je me suis retrouvé assez seul, sans partenaire pour ces moments intimes. En pleine puberté, la masturbation était l'un de mes passe-temps préférés ; je pense qu'à cette époque, je le faisais une à trois fois par jour, un peu partout dans la maison et même dehors. Étant devenu adepte du nudisme, j'aimais profiter de mon temps libre pour faire des randonnées. Quand j'étais bien isolé, je me mettais nu en pleine nature et m'adonnais à ce plaisir. J'éprouvais un immense bonheur à atteindre l'orgasme en extérieur ; c'était comme si j'étais totalement connecté à l'univers, ressentant chaque élément autour de moi.
Arrivé au lycée, je commençais à me poser de plus en plus de questions sur ma sexualité. C'était le moment des premières copines et des flirts qui s'intensifiaient. Il y avait tant de camarades de classe que je trouvais attirantes, et entre amis, on échangeait toujours nos préférences, celles avec qui on aimerait « baiser ». En parallèle, j'éprouvais un plaisir fou à me masturber en regardant du porno gay. C'est aussi durant cette période que j'ai découvert les tchats anonymes ; il m'est arrivé plusieurs fois de me masturber en cam avec des hommes beaucoup plus âgés que moi. Je sais que ça peut sembler bizarre, mais j'éprouvais une excitation incroyable à voir des hommes se stimuler en regardant mon corps de lycéen. J'aimais quand ils dirigeaient ma masturbation en me donnant des instructions jusqu'à l'orgasme.
Puis, en Première, j'ai eu ma première véritable copine avec qui je suis resté jusqu'à la mi-Terminale. À ses côtés, nous avons partagé notre première fois ensemble. Je garde un souvenir mémorable de cette relation ; nous adorions faire l'amour presque partout. Avec elle, j'ai réalisé mon fantasme d'avoir des rapports en pleine nature. J'ai énormément appris sur le plan sexuel et humain grâce à elle. Cependant, pendant cette période, je continuais à m'interroger sur ma bisexualité et je prenais encore régulièrement plaisir à me masturber en cam.
Je refoulais cette bisexualité à mon entourage, bien que très ouvert d’esprit. Durant ma première année d’étude supérieur, ayant changé de ville et mes amis de lycée étant également éparpillés. Je me fis un nouveau cercle d’amis. Je pus également m’ouvrir sexuellement. Durant une soirée étudiante je rencontra, un jeune de mon âge étant dans une autre filière. Il était facile de comprendre qu’il était gay, et il ne s’en cachait aucunement. Nous nous sommes très bien entendu, au départ simple ami. Un soir, un peu éméché, je lui confia mon envie de découvrir le plaisir homosexuel. C’est ainsi, à ces côtés, que je découvrit ma bisexualité. La joie de la fellation mutuelle, de la masturbation mutuelle et autre…
Aujourd'hui, je me sens vraiment épanoui sur le plan sexuel, même si je n'assume pas complètement ma bisexualité ; seules quelques personnes de mon entourage proche en ont connaissance. J’apprécie toujours autant me masturber. Ma fréquence de masturbation fluctuant selon mes relations, allant d'une fois toutes les deux semaines à une fois par jour. J’aimerais refaire comme dans mon adolescence, me masturber au soleil, dans la nature. J’en garde d’excellent souvenir, c’est d’ailleurs un bon moyen de m’exciter rapidement.
Si vous êtes encore là, je vous remercie d’avoir lu jusqu’au bout mon témoignage. Je pense qu’il est similaire à beaucoup de vécu mais je tenais tout de même à le partager.
Au plaisir,
Bonne séance de masturbation
Bonne journée / soirée