La recherche et l'installation de la régularité.
Publié : ven. 23 sept. 2022, 16:12
Après la toute première jute, il y en a d'autres, et les érections spontanées arrivent. N'importe quand, n'importe où, et plus ou moins longtemps à chaque fois.
Les oeufs se remplissent plus ou moins vite chez chacun. Chez certains ça demande du temps, chez d'autres c'est très rapide. Chacun a un rythme personnel.
Se pose alors sérieusement la question de savoir avec quelle fréquence il faut se les vider.
Cette fréquence s'appelle la régularité.
C'est une étape importante.
La mise au point de cette fréquence, et de l'organisation qui va avec, demandent plus ou moins de temps selon chacun.
Chez certains ça peut être très long et même demander des années.
Il faut arriver à accepter la nature, et à accepter sa nature personnelle. Car il n'y a jamais deux personnes pareilles.
Ca dépend aussi des conditions de vie de chacun.
Dans mon cas ça été ultrarapide pour la raison bien simple que c'était au début des années 1960, et comme beaucoup de jeunes de ces années là je portais des shorts et dans mon cas ultracourts. Nous avions tous des grands slips coton blanc fermés Petit-bateau, en mailles côtelée 2x2, qui montaient très haut, mais sans jamais d'élastiques aux cuisses. Et dans l'après guerre très pauvre ces slips étaient très usés car prolongés indéfiniment. Il n'existait aucun autre slip.
J'ai porté ces shorts ultracourts une bonne partie de l'année jusqu'à plus de 18 ans, et ces slips fermés Petit-bateau jusqu'à mes 15 ans. Ma mère couturière quasiment professionnelle me les imposait. La majorité était à 21 ans, et même à 20 ans nous avions un seul droit celui d'obéir.
J'ai été d'une pudeur extrême, presque maladive, de naissance jusque vers 25 ans.
Dès que je bandais dans mon slip ça se voyait immédiatement sous mon short, et ça je ne pouvais pas le supporter. D'autant plus que les copains ne m'aurait pas raté, surtout les plus grands, qui nous servaient d'éducateurs intimes. Puisque l'éducation sexuelle n'existait pas du tout. Ou alors uniquement religieuse catholique, et donc forcément très orientée et uniquement dans le but d'encourager notre foi. Dans ces années là il y avait une vraie vie privée et les familles étaient libres d'enseigner leurs enfants comme elles l'entendaient.
J'ai eu 12 ans en février, ma première jute en juin, la 2ème 15 jours après, ensuite 8 jours après, ensuite 3 jours après. Fin août je me branlais tous les soirs dans ma chambre.
Je me suis aperçu très vite que tous les soirs ne m'empêchait pas de bander dans la journée, n'importe quand et n'importe où.
J'ai donc rajouté tous les matins. Et comme ça ne suffisait toujours pas j'ai été obligé de rajouter aussi le midi.
Avec trois fois par jour, matin midi et soir, j'étais arrivé à ma bonne fréquence, à ma régularité personnelle.
Je me suis branlé pour décharger trois fois par jour, matin, midi et soir, très régulièrement, 365/365, de mes 12 ans et demi jusqu'à mes 30 ans.
Toujours des masturbations les plus longues possibles à cause de ma circoncision totale à risque. Tous les soirs je mettais au minimum une heure à la montre.
J'y consacrais plusieurs heures par 24h, 365/365. Dès que j'avais un moment c'était pour me toucher. Je m'isolais facilement. Et j'étais un ado secret, en partie pour cette raison. J'ouvrais ma braguette à la moindre occasion pour glisser mes doigts et me tripoter à travers mon slip.
Plus tard dans les années 80 des gens compétents m'ont confirmé que c'était mon opération qui décidait de tout.
Dans ma famille il y a eu beaucoup de morts et surtout de morts jeunes. Par hasard je me suis retrouvé à vivre seul avec mes parents.
Mes parents habitaient une maison à 600 mètres de mon lycée. J'étais externe.
Depuis mes 15 ans je sais que je suis un vrai bisexuel, et que dans mon cas il faut vivre seul.
Mes parents étaient des petits commerçants réussis à leur compte et en famille, dans le centre d'une ville de 30 000 habitants et j'ai toujours travaillé avec mes parents. Mais je n'ai jamais eu de contact clientèle.
Toutes les années 60 et 70 ont été aux antipodes de celles d'aujourd'hui, dans tous les domaines. Pour le sexe en particulier. Dans une société française très catholique, avec un code civil et un code pénal avant tout catholiques. Tout ce qui avait rapport à la nudité et au sexe était complètement interdit ou tabou. L'omerta était totale. Derrière les apparences tout le monde pouvait faire tout ce qu'il voulait. Et on ne s'en privait pas ! Aussi dans le but d'une contestation sociale de la répression très justifiée. Répression qui a volé en éclat à la Libération Sexuelle de 1979 à la suite de mai 68.
En particulier dans ces années là le secret des slips était total.
Donc dans mon cas tout était fait pour me permettre de me branler tranquillement aussi souvent que je le voulait. Et surtout aussi longtemps que je voulais.
En plus ma mère, qui seule s'occupait de mon intimité, trouvait ça très bien. Avec elle je pouvais faire tout ce que je voulais. D'autant plus qu'elle connaissait ma pudeur extrême, quasiment maladive, elle savait qu'elle pouvait être tranquille, je ne risquais pas de prendre des risques. J'ai eu mon premier porno interdit par la Loi aux PLUS de 21 ans, avant mes 14 ans. Qui venait des autres pays européens compatissants.
Mon père très tolérant, n'aimait pas le sexe, mais s'amusait beaucoup de la vie que menait ma mère, et de ce qu'elle faisait avec moi. Ma naissance a été un accident imprévu, mais accueilli avec joie, d'autant plus que ma mère allait avoir un deuxième homme à la maison qu'elle allait pouvoir former à son goût.
Les oeufs se remplissent plus ou moins vite chez chacun. Chez certains ça demande du temps, chez d'autres c'est très rapide. Chacun a un rythme personnel.
Se pose alors sérieusement la question de savoir avec quelle fréquence il faut se les vider.
Cette fréquence s'appelle la régularité.
C'est une étape importante.
La mise au point de cette fréquence, et de l'organisation qui va avec, demandent plus ou moins de temps selon chacun.
Chez certains ça peut être très long et même demander des années.
Il faut arriver à accepter la nature, et à accepter sa nature personnelle. Car il n'y a jamais deux personnes pareilles.
Ca dépend aussi des conditions de vie de chacun.
Dans mon cas ça été ultrarapide pour la raison bien simple que c'était au début des années 1960, et comme beaucoup de jeunes de ces années là je portais des shorts et dans mon cas ultracourts. Nous avions tous des grands slips coton blanc fermés Petit-bateau, en mailles côtelée 2x2, qui montaient très haut, mais sans jamais d'élastiques aux cuisses. Et dans l'après guerre très pauvre ces slips étaient très usés car prolongés indéfiniment. Il n'existait aucun autre slip.
J'ai porté ces shorts ultracourts une bonne partie de l'année jusqu'à plus de 18 ans, et ces slips fermés Petit-bateau jusqu'à mes 15 ans. Ma mère couturière quasiment professionnelle me les imposait. La majorité était à 21 ans, et même à 20 ans nous avions un seul droit celui d'obéir.
J'ai été d'une pudeur extrême, presque maladive, de naissance jusque vers 25 ans.
Dès que je bandais dans mon slip ça se voyait immédiatement sous mon short, et ça je ne pouvais pas le supporter. D'autant plus que les copains ne m'aurait pas raté, surtout les plus grands, qui nous servaient d'éducateurs intimes. Puisque l'éducation sexuelle n'existait pas du tout. Ou alors uniquement religieuse catholique, et donc forcément très orientée et uniquement dans le but d'encourager notre foi. Dans ces années là il y avait une vraie vie privée et les familles étaient libres d'enseigner leurs enfants comme elles l'entendaient.
J'ai eu 12 ans en février, ma première jute en juin, la 2ème 15 jours après, ensuite 8 jours après, ensuite 3 jours après. Fin août je me branlais tous les soirs dans ma chambre.
Je me suis aperçu très vite que tous les soirs ne m'empêchait pas de bander dans la journée, n'importe quand et n'importe où.
J'ai donc rajouté tous les matins. Et comme ça ne suffisait toujours pas j'ai été obligé de rajouter aussi le midi.
Avec trois fois par jour, matin midi et soir, j'étais arrivé à ma bonne fréquence, à ma régularité personnelle.
Je me suis branlé pour décharger trois fois par jour, matin, midi et soir, très régulièrement, 365/365, de mes 12 ans et demi jusqu'à mes 30 ans.
Toujours des masturbations les plus longues possibles à cause de ma circoncision totale à risque. Tous les soirs je mettais au minimum une heure à la montre.
J'y consacrais plusieurs heures par 24h, 365/365. Dès que j'avais un moment c'était pour me toucher. Je m'isolais facilement. Et j'étais un ado secret, en partie pour cette raison. J'ouvrais ma braguette à la moindre occasion pour glisser mes doigts et me tripoter à travers mon slip.
Plus tard dans les années 80 des gens compétents m'ont confirmé que c'était mon opération qui décidait de tout.
Dans ma famille il y a eu beaucoup de morts et surtout de morts jeunes. Par hasard je me suis retrouvé à vivre seul avec mes parents.
Mes parents habitaient une maison à 600 mètres de mon lycée. J'étais externe.
Depuis mes 15 ans je sais que je suis un vrai bisexuel, et que dans mon cas il faut vivre seul.
Mes parents étaient des petits commerçants réussis à leur compte et en famille, dans le centre d'une ville de 30 000 habitants et j'ai toujours travaillé avec mes parents. Mais je n'ai jamais eu de contact clientèle.
Toutes les années 60 et 70 ont été aux antipodes de celles d'aujourd'hui, dans tous les domaines. Pour le sexe en particulier. Dans une société française très catholique, avec un code civil et un code pénal avant tout catholiques. Tout ce qui avait rapport à la nudité et au sexe était complètement interdit ou tabou. L'omerta était totale. Derrière les apparences tout le monde pouvait faire tout ce qu'il voulait. Et on ne s'en privait pas ! Aussi dans le but d'une contestation sociale de la répression très justifiée. Répression qui a volé en éclat à la Libération Sexuelle de 1979 à la suite de mai 68.
En particulier dans ces années là le secret des slips était total.
Donc dans mon cas tout était fait pour me permettre de me branler tranquillement aussi souvent que je le voulait. Et surtout aussi longtemps que je voulais.
En plus ma mère, qui seule s'occupait de mon intimité, trouvait ça très bien. Avec elle je pouvais faire tout ce que je voulais. D'autant plus qu'elle connaissait ma pudeur extrême, quasiment maladive, elle savait qu'elle pouvait être tranquille, je ne risquais pas de prendre des risques. J'ai eu mon premier porno interdit par la Loi aux PLUS de 21 ans, avant mes 14 ans. Qui venait des autres pays européens compatissants.
Mon père très tolérant, n'aimait pas le sexe, mais s'amusait beaucoup de la vie que menait ma mère, et de ce qu'elle faisait avec moi. Ma naissance a été un accident imprévu, mais accueilli avec joie, d'autant plus que ma mère allait avoir un deuxième homme à la maison qu'elle allait pouvoir former à son goût.