ChezOnan.fr - La masturbation masculine ludique

Quasiment tous les jours depuis 40 ans.

Pendant très longtemps, presque "à la sauvette", trop mécaniquement, pour jouir n'importe où: lit, SDB, toilettes, cuisine...

Depuis quelques années, je le fais toujours presque tous les jours, mais de manière plus soft, parfois avec des masturbateurs, de la lingerie, mais sans forcément aller jusqu'à l'éjac. C'est un vrai plaisir que d'arrêter près de la fin et de se dire, "je finirai demain!"

Il m'est arrivé de décaler la jouissance durant toute une semaine, malgré deux fois trente minutes de branle quotidienne. La finale fut délicieuse!

J'approche les 60 ans de pratique quasi quotidienne, quelquefois deux dans la même journée.

Il n'y en a pas deux qui sont pareilles.

Pour l'excitation, j'ai commencé avec Playboy, Paris Hollywood, les copains puis les cinés pornos, les saunas, les aires de repos et autres lieux référencés.

Internet vient compléter tout ça. Ainsi que les réseaux téléphoniques.

Quand j'ai un ou une partenaire je lui demande de me branler ou de me regarder me branler.



Ne me demandez pas ce que je fais ici ! En plus j'adore en parler

Question fréquence, c'est tous les jours... Depuis plus de 50 ans.

Mais je ne le fait pas tous les jours jusqu'à ejaculer.

Premièrement parce que je vis en couple, et que nous avons encore plusieurs rapports par semaine, qui quasi invariablement se terminent par une masturbation en face à face, côté à cote ou mutuelle..

Mais tous les soirs, je me tripotte avant de m'endormir et aussi au reveil( faut bien vérifier la dureté du manche)!

À peu près deux fois la semaine, je prends le temps, pour moi, de me faire une séance solo ou là, je profite de mon corps... Tout est permis, y compris le massage prostatique ou la sodomie avec un gros gode (pour sentir le fait d'être rempli)...j'aime également me branler dans les bois.. et dans la nature, mais sans exhibition.

La masturbation est pour moi, indispensable et j'y prends toujours beaucoup de plaisir, seul ou à deux, et parfois plus, lorsque nous invitons un ou deux hommes à nous rejoindre, mais ça, c'est un autre sujet !