Re: Freeballing
Publié : jeu. 25 mars 2010, 16:24
Le "freeballing", je ne connaissais pas le mot, mais je connais, ai fait, et referai la chose… ;o)
Pour ceux qui n’apprécient pas ou peu, je constate deux raisons (et n’en vois pas d’autres…) : l’aspect possiblement désagréable et l’hygiène.
Pour ce dernier point, c’est le plus simple.
Avant tout, ce qui n’a pas été dit, c’est qu’il est certain que les sous-vêtements de sont pas là pour rien : mis à part les nécessaires protecteurs de chaleur en cas de froid (sports d’hiver, travail en extérieur,…), t-shirt ou collant type "Damart" (les caleçons longs à poche de nos aïeux revenus à la mode après quelques dizaines d’années de purgatoire), ils protègent surtout les vêtements de toutes nos secrétions corporelles naturelles, sueur, les « dernières gouttes », voire… Il est certain que ne pas en porter nécessite donc parallèlement le nettoyage bien plus fréquent des vêtements, ce qui n’est finalement pas une si mauvaise chose que ça !
Je suis plus perplexe sur le risque qui serait alors amplifié à s’asseoir sur un banc ou une chaise publiques. D’abord je ne vois pas en quoi cela serait plus dangereux que de le faire en nudisme… Ensuite, heureusement que toutes les saloperies que l’on peut y ramasser ne vivent pas – à plus de 98% - plus de quelques secondes. On ne va quand même pas retourner aux temps obscurs où l’on croyait encore qu’on pouvait attraper le sida sur une cuvette de toilettes ou en buvant dans un verre déjà utilisé !?
Que l’on ne se méprenne pas sur ce que je pense des précautions à prendre, qu’on soit simple "freeballing" ou nudiste. Tout contact entre muqueuses/sang doit absolument être évité, du moins tant qu’on a pas de certitude sur l’autre. Il faut bien entendu toutes les prendre. Mais – par exemple – se laver les dents avec la brosse de quelqu’un d’autre est probablement 100 000 fois plus dangereux que de s’asseoir tout nu, encore plus avec juste une couille qui dépasse du short, sur un banc public ou venait de s’asseoir quelqu’un avec toutes les pathologies du monde ; même ses éventuels et – somme toute – inoffensifs morpions seront morts entre deux…
Pour l’aspect agréable ou désagréable de la chose, cela dépend évidemment et de ses habitudes et de ce que l’on porte.
Si l’on aime avoir les organes sexuels bien "en place" (seuls les mâles sont bien entendu concernés…), même si on doit de temps en temps les passer d’un côté à l’autre, c’est plus agréable de porter un slip, et cela est un goût personnel qu’on n’a pas à discuter. Et pareil si le pantalon est un peu rêche (je m’en rappelle d’un en mauvaise laine vierge que j’ai eu ado sous lequel j’aurais même bien mis un caleçon long…).
Mais aussi quel plaisir cela peut être ce "freeballing", sous un vêtement doux et qu’on aime que "ça" se "balade"…
D’autant – comme le souligne Houber – que cela peut mener à de très excitantes opportunités…
Je séparerais pour ma part cette pratique et ces expériences en deux types :
- pas de sous-vêtement sous une tenue des plus classique, costard cravate ;
- pas de sous-vêtement sous une tenue sport, jogging ou plus souvent short.
Lorsque je devais encore porter la tenue classique de "cadre dynamique", comme j’ai dû le faire dès étudiant jusqu’en 2000, j’ai vite eu la chance, dès que j’ai travaillé, de pouvoir me payer costumes et chemises d’hiver chez Cerruti ou Saint-Laurent, d’été chez Old England, puis de mi-saison chez Kenzo.
C’était quand même un certain sacrifice car – même en prêt-à-porter – ce n’était pas donné, mais sans enfant et célibataire jusqu’à 36 ans, et travaillant comme un fou, j’ai pu me le permettre.
Et ceux qui peuvent ou ont pu faire de même me comprendront, les fines laines des uns ou les fins cotons des autres méritaient bien ces prix. Ils étaient tellement doux, tombants, agréable à porter, qu’il m’est vite venu l’envie de ne pas mettre de sous-vêtements dessous.
Les essayages chez le Cerruti de la Madeleine m’ont déjà mené à une très excitante masturbation devant le vendeur (qui est celui qui m’avait suggéré de le porter sans sous-vêtement, pour mieux "sentir" la qualité du tissu…). Le costume d’été d’Old England, porté sans slip non plus dans le métro m’amènera nombre de palpations d’entre-jambes souvent anonymes et quelques rencontres plus poussées très "chaudes". Avec ce même costume d’été, nu dessous, j’en banderai contre le pupitre devant 200 personnes, pendant toute une (très sérieuse et scientifique) intervention d’une heure dans un colloque à Madrid…
Ensuite, cela s’étant déjà un peu produit avant mais sans que cela porte à conséquence, il y a eu la nudité sous les vêtements de sport, eux – par essence – très doux.
Sous un jogging, c’est déjà bien. C’était très "amusant" de surprendre des regards furtifs des gens qu’on croise alors qu’on a manifestement le sexe à l’air dessous, qui ballotte dans tous les sens quand on marche, ou – mieux – courre. Surtout si c’est un peu – ou assez – enflé…
Et puis il y a eu, il y a une dizaine d’années, ces shorts de toutes couleur et en coton très doux de chez – pour ne pas le nommer – Decathlon. L’été, je n’étais bien que jambes à l’air ; ces shorts étaient parfaits. Ce n’est qu’après en avoir acheté (un gris et un vert) que je me suis aperçu qu’ils étaient bien courts, à la jambe large, et bien échancrés. Il aurait bien sûr fallu que je mette un slip dessous, mais je ne les avais pas acheté pour ça.
Et c’est au supermarché que je me suis rendu compte de ce que cela pouvait donner… Dès que je me baissais, une couille sortait d’un côté. Si je m’accroupissais, ce pouvait être tout le paquet sexuel qui sortait par une jambe…
J’ai d’abord évidemment fait attention, jusqu’à ce que – baissé pour prendre des piles en bas dans le rayon électricité, une couille sortie – je surprenne le regard en coin à la fois gêné mais insistant d’un mec à peu près de mon âge à l’autre bout du rayon. Air du bon père de famille faisant ses courses, il n’avait vraiment pas l’air de draguer ; il semblait juste à la fois interloqué et intéressé par la vue que je lui offrais.
J’ai failli "remballer" tout, mais son côté intéressé m ‘intéressait. Le supermarché était pratiquement vide en ce début d’après-midi, je ne risquais pas grand chose, et me penchant un peu plus, c’est tout mon paquet sexuel qui est sorti du short. Il respirait de plus en plus fort, yeux toujours braqués entre mes jambes. Vérifiant autour que personne ne venait, il s’est approché, et tendant son bras vers les produits devant moi, il l’a largement frotté sur mon sexe, me regardant tantôt droit dans les yeux, ou tout droit mon sexe qui était presque dur à le frôler comme ça, regardant de tous les côtés qu’on ne nous surprenne pas.
Tout s’est très vite arrêté, sa femme arrivant au bout de l’allée avec le caddie. J’ai rapidement "remballé" mon sexe avant qu’elle le voit. Elle ne s’est apparemment rendu compte de rien puisque disparaissant dans le rayon suivant.
C’est avec un grand sourire que lui – apparemment si coincé avant – m’a agrippé le paquet sexuel maintenant rentré dans son short, et qu’il s’est levé pour aller rejoindre sa femme.
Et je ne l’ai – jusqu’à maintenant – jamais revu.
Marrant comment peuvent se passer ce genre de choses !…
Mais j’ai ensuite, continué à aller au supermarché sans slip sous mon short, et j’ai plusieurs fois croisé d’autres voyeurs, même si jamais de façon aussi poussée qu’avec ce garçon.
En tout cas, vive les jeux de toutes sortes, dont ce "freeballing" qui peut amener toutes sortes de surprises…
Pour ceux qui n’apprécient pas ou peu, je constate deux raisons (et n’en vois pas d’autres…) : l’aspect possiblement désagréable et l’hygiène.
Pour ce dernier point, c’est le plus simple.
Avant tout, ce qui n’a pas été dit, c’est qu’il est certain que les sous-vêtements de sont pas là pour rien : mis à part les nécessaires protecteurs de chaleur en cas de froid (sports d’hiver, travail en extérieur,…), t-shirt ou collant type "Damart" (les caleçons longs à poche de nos aïeux revenus à la mode après quelques dizaines d’années de purgatoire), ils protègent surtout les vêtements de toutes nos secrétions corporelles naturelles, sueur, les « dernières gouttes », voire… Il est certain que ne pas en porter nécessite donc parallèlement le nettoyage bien plus fréquent des vêtements, ce qui n’est finalement pas une si mauvaise chose que ça !
Je suis plus perplexe sur le risque qui serait alors amplifié à s’asseoir sur un banc ou une chaise publiques. D’abord je ne vois pas en quoi cela serait plus dangereux que de le faire en nudisme… Ensuite, heureusement que toutes les saloperies que l’on peut y ramasser ne vivent pas – à plus de 98% - plus de quelques secondes. On ne va quand même pas retourner aux temps obscurs où l’on croyait encore qu’on pouvait attraper le sida sur une cuvette de toilettes ou en buvant dans un verre déjà utilisé !?
Que l’on ne se méprenne pas sur ce que je pense des précautions à prendre, qu’on soit simple "freeballing" ou nudiste. Tout contact entre muqueuses/sang doit absolument être évité, du moins tant qu’on a pas de certitude sur l’autre. Il faut bien entendu toutes les prendre. Mais – par exemple – se laver les dents avec la brosse de quelqu’un d’autre est probablement 100 000 fois plus dangereux que de s’asseoir tout nu, encore plus avec juste une couille qui dépasse du short, sur un banc public ou venait de s’asseoir quelqu’un avec toutes les pathologies du monde ; même ses éventuels et – somme toute – inoffensifs morpions seront morts entre deux…
Pour l’aspect agréable ou désagréable de la chose, cela dépend évidemment et de ses habitudes et de ce que l’on porte.
Si l’on aime avoir les organes sexuels bien "en place" (seuls les mâles sont bien entendu concernés…), même si on doit de temps en temps les passer d’un côté à l’autre, c’est plus agréable de porter un slip, et cela est un goût personnel qu’on n’a pas à discuter. Et pareil si le pantalon est un peu rêche (je m’en rappelle d’un en mauvaise laine vierge que j’ai eu ado sous lequel j’aurais même bien mis un caleçon long…).
Mais aussi quel plaisir cela peut être ce "freeballing", sous un vêtement doux et qu’on aime que "ça" se "balade"…
D’autant – comme le souligne Houber – que cela peut mener à de très excitantes opportunités…
Je séparerais pour ma part cette pratique et ces expériences en deux types :
- pas de sous-vêtement sous une tenue des plus classique, costard cravate ;
- pas de sous-vêtement sous une tenue sport, jogging ou plus souvent short.
Lorsque je devais encore porter la tenue classique de "cadre dynamique", comme j’ai dû le faire dès étudiant jusqu’en 2000, j’ai vite eu la chance, dès que j’ai travaillé, de pouvoir me payer costumes et chemises d’hiver chez Cerruti ou Saint-Laurent, d’été chez Old England, puis de mi-saison chez Kenzo.
C’était quand même un certain sacrifice car – même en prêt-à-porter – ce n’était pas donné, mais sans enfant et célibataire jusqu’à 36 ans, et travaillant comme un fou, j’ai pu me le permettre.
Et ceux qui peuvent ou ont pu faire de même me comprendront, les fines laines des uns ou les fins cotons des autres méritaient bien ces prix. Ils étaient tellement doux, tombants, agréable à porter, qu’il m’est vite venu l’envie de ne pas mettre de sous-vêtements dessous.
Les essayages chez le Cerruti de la Madeleine m’ont déjà mené à une très excitante masturbation devant le vendeur (qui est celui qui m’avait suggéré de le porter sans sous-vêtement, pour mieux "sentir" la qualité du tissu…). Le costume d’été d’Old England, porté sans slip non plus dans le métro m’amènera nombre de palpations d’entre-jambes souvent anonymes et quelques rencontres plus poussées très "chaudes". Avec ce même costume d’été, nu dessous, j’en banderai contre le pupitre devant 200 personnes, pendant toute une (très sérieuse et scientifique) intervention d’une heure dans un colloque à Madrid…
Ensuite, cela s’étant déjà un peu produit avant mais sans que cela porte à conséquence, il y a eu la nudité sous les vêtements de sport, eux – par essence – très doux.
Sous un jogging, c’est déjà bien. C’était très "amusant" de surprendre des regards furtifs des gens qu’on croise alors qu’on a manifestement le sexe à l’air dessous, qui ballotte dans tous les sens quand on marche, ou – mieux – courre. Surtout si c’est un peu – ou assez – enflé…
Et puis il y a eu, il y a une dizaine d’années, ces shorts de toutes couleur et en coton très doux de chez – pour ne pas le nommer – Decathlon. L’été, je n’étais bien que jambes à l’air ; ces shorts étaient parfaits. Ce n’est qu’après en avoir acheté (un gris et un vert) que je me suis aperçu qu’ils étaient bien courts, à la jambe large, et bien échancrés. Il aurait bien sûr fallu que je mette un slip dessous, mais je ne les avais pas acheté pour ça.
Et c’est au supermarché que je me suis rendu compte de ce que cela pouvait donner… Dès que je me baissais, une couille sortait d’un côté. Si je m’accroupissais, ce pouvait être tout le paquet sexuel qui sortait par une jambe…
J’ai d’abord évidemment fait attention, jusqu’à ce que – baissé pour prendre des piles en bas dans le rayon électricité, une couille sortie – je surprenne le regard en coin à la fois gêné mais insistant d’un mec à peu près de mon âge à l’autre bout du rayon. Air du bon père de famille faisant ses courses, il n’avait vraiment pas l’air de draguer ; il semblait juste à la fois interloqué et intéressé par la vue que je lui offrais.
J’ai failli "remballer" tout, mais son côté intéressé m ‘intéressait. Le supermarché était pratiquement vide en ce début d’après-midi, je ne risquais pas grand chose, et me penchant un peu plus, c’est tout mon paquet sexuel qui est sorti du short. Il respirait de plus en plus fort, yeux toujours braqués entre mes jambes. Vérifiant autour que personne ne venait, il s’est approché, et tendant son bras vers les produits devant moi, il l’a largement frotté sur mon sexe, me regardant tantôt droit dans les yeux, ou tout droit mon sexe qui était presque dur à le frôler comme ça, regardant de tous les côtés qu’on ne nous surprenne pas.
Tout s’est très vite arrêté, sa femme arrivant au bout de l’allée avec le caddie. J’ai rapidement "remballé" mon sexe avant qu’elle le voit. Elle ne s’est apparemment rendu compte de rien puisque disparaissant dans le rayon suivant.
C’est avec un grand sourire que lui – apparemment si coincé avant – m’a agrippé le paquet sexuel maintenant rentré dans son short, et qu’il s’est levé pour aller rejoindre sa femme.
Et je ne l’ai – jusqu’à maintenant – jamais revu.
Marrant comment peuvent se passer ce genre de choses !…
Mais j’ai ensuite, continué à aller au supermarché sans slip sous mon short, et j’ai plusieurs fois croisé d’autres voyeurs, même si jamais de façon aussi poussée qu’avec ce garçon.
En tout cas, vive les jeux de toutes sortes, dont ce "freeballing" qui peut amener toutes sortes de surprises…