Il ne m'arrive jamais d'avoir des éjacs nocturnes, comme Tiggrer, même quand je me retiens de me branler jusqu'à l'éjaculation.
Il faut dire, c'est rare, quand je commence à me branler, en principe, il faut que j'éjacule, sinon, j'ai l'impression que ce n'est pas abouti.
La seule éjaculation nocturne que j'ai eu, c'était lorsque j'étais adolescent, j'étais en demi sommeil, et je rêvais que j'étais au collège, avec des copains, qui me montraient leur sexe, et qu'on se branlais ensemble, je faisais de même (dans mon rêve), puis j'éjaculais, toujours dans mon rêve. Sauf que dans la réalité aussi. Je me suis réveillé, les poils englués de sperme. Ca m'a marqué, je m'en souviens encore, alors que j'ai 30 ans ! (Amusant que je rêvais déjà de branle avec des garçons, alors que j'ai peu pratiqué la chose dans ma vie !)
Par contre, quand je sens que le sperme va sortir, je ressens une première contraction qui part de profond, à priori de la prostate.
A ce moment là, je ralenti un peu le rythme de la main, pour faire durer l'éjaculation et l'orgasme le plus longtemps possible, en retenant un peu la coulée du sperme, en contractant les muscles (à priori entre l'anus et les bourses, je ne sais plus leur nom, à moins que ce soient carrément les sphincters...
).
L'éjaculation procure alors un plaisir plus intense et diffus ; je ressens bien les spasmes de chaque giclée quand le sperme s'écoule, alors que si j'éjacule vite fait, j'ai moins le temps de savourer l'orgasme, qui est moins puissant, plus bâclé.
Il m'arrive de me branler pendant plus d'une heure, quand je suis seul chez moi, devant des vidéos ou sites comme onan, en lisant les récits
Là, dans ce cas, c'est dur de se retenir, car l'envie d'éjaculer est par moment très forte. Parfois, il m'arrive de rater : je m'arrête, sentant l'orgasme poindre, mais c'est trop tard, la moindre micro contraction des muscles précités le fait venir, sans qu'il ne soit possible de l'empêcher. Dans ce cas, perdu pour perdu, j'accompagne les coulées de sperme d'un mouvement manuel, pour profiter pleinement des sensations.
Mais en principe, j'arrive à me retenir pendant plus d'une heure. Au bout d'un moment, il va arriver que je n'ai plus envie de me retenir, l'envie d'éjaculer est plus forte (même si je pourrais encore me forcer à me retenir !)
Là, pareil, quand je sens monter le sperme, je cherche à le retenir, pour que l'écoulement soit plus lent, et espacer les sorties des jets au maximum. Dans ce cas, l'éjaculation est très liquide, le sperme translucide, car bien dilué dans le liquide séminal, et il gicle très loin, et puissamment jusque sur le torse. Le but est de le faire de vider le plus longtemps possible, ce qui est contraire à la manière d'éjaculer naturellement dans ce cas, où l'on a l'impression que le sperme est sous pression
A l'inverse, une branle rapide et bâclée est frustrante, car le sperme coule moins abondamment, il coule lentement, et en plus faible quantité (et bien plus épais). L'orgasme est très faible, alors que le sperme coule doucement, car l'excitation plus faible fait qu'il n'est pas sous pression.
En fait, le meilleur, c'est quand la branle est bien longue, permettant de mettre "le sperme sous pression", et qu'au moment de l'explosion, on le retient pour que l'éjaculation dure le plus longtemps possible.