Salut à tous,
J'arpente souvent les sites de rencontres gay pour trouver des mecs qui sont prêts à se branler avec moi et il m'arrive même de franchir le cap des rencontres physiques. Mais ce qui m'excite vraiment c'est de m'imaginer me faire plaisir. C'est à dire que je me dédouble, comme la technique du clonage dans naruto par exemple et que mon clone, qui sait très bien me donner du plaisir et mes zones sensibles puisse s'occuper de moi. Je sais pas, j'ai toujours cette sensation que moi seul peut me faire vraiment connaitre le vrai plaisir et on peut dire que c'est mon ultime fantasme.
Un autre moi qui me branle
Re: Un autre moi qui me branle
Je comprends tout à fait cette sensation de Fred, même si elle n'est pas facile à décrire. Je la ressens aussi quand je me masturbe longuement sans support d'images, pour la pure sensualité de profiter de mon propre corps. La sensation d'être masturbé par un autre moi-même et en même temps que je masturbe un autre moi-même me vient parfois à l'esprit et c'est assez saisissant. Je pense que la parfaite connaissance de son propre corps permet de se dédoubler, parce qu'on sait à la fois ce qu'on aime faire et ce qu'on aime ressentir. En tout cas, je peux dire d'expérience que quand on parviens à maintenir cette forme d'auto-érotisme durant une longue masturbation, le plaisir est magnifique !
Re: Un autre moi qui me branle
Je suis bien d’accord avec ce constat fréquent de déception dans la recherche de plaisir provenant d’un autre, donné par un autre.
Les plaisirs masturbatoires quand on a l’habitude de longues masturbations sont raffinés, exquis, très forts ! et on devine que faits sur soi, et dans la même durée, par « une main étrangère », et jusqu’à l’éjaculation ! rajouterait encore plus de plaisir.
Je crois néanmoins que cela doit être possible à certaines conditions.
D’abord, à priori « l’autre » va faire sur son compagnon de jeux ce qu’il aime lui se faire , les gestes qui lui procurent du plaisir, supposant que ces mêmes gestes auront forcément les mêmes effets de plaisirs sur un autre, raisonnement hasardeux.
Pour apporter du plaisir à l’autre, il faut savoir ce qu’il aime lui, quels sont les gestes, les petits rien qui font réagir et provoquent le plaisir, et ce pour toutes la gamme des plaisirs y compris ceux qui font éjaculer bien fort!
Cela prend du temps, le soin d’apprendre et d’être attentif. Un excellent moyen, surtout si on est un peu voyeur et exhibitionniste est de montrer à l’autre, celui qui agira plus tard sur soi, comment on se masturbe en se masturbant sous ses regards exactement comme on le fait quand on est seul et isolé pour faire ça.
Ce peut être assis devant un écran, vêtements baissés comme on le fait quand on a envie de se toucher en regardant des trucs cochons, qu’on devra regarder d’ailleurs. Ce peut être allongé nu et sans drap sur son lit , pour que tout ce que l’on aime se faire pour se donner du plaisir soit visible…
Ce sont à mon avis les conditions d’un plaisir partagé.
Chaque homme a ses techniques solitaires, certains peuvent être doux avec eux-mêmes, d’autres, avec des gestes plus violents, d’autres encore alterneront les deux. Un site recense d’ailleurs toutes ces techniques masturbatoires masculines.
Nous sommes souvent différents dans ces plaisirs-là et cela serait donc à tort de croire que ce qui provoque beaucoup de plaisir pour soi en provoquera de la met façon sur un autre.
J’aime par exemple de longs jeux de décalottages de toutes sortes, me masturber longuement, avec trois doigts « en taille-crayon » gland enfermé dans l’étui mouillé du prépuce… et puis s’ajoute à cela les plaisirs du petit trou…
Les plaisirs masturbatoires quand on a l’habitude de longues masturbations sont raffinés, exquis, très forts ! et on devine que faits sur soi, et dans la même durée, par « une main étrangère », et jusqu’à l’éjaculation ! rajouterait encore plus de plaisir.
Je crois néanmoins que cela doit être possible à certaines conditions.
D’abord, à priori « l’autre » va faire sur son compagnon de jeux ce qu’il aime lui se faire , les gestes qui lui procurent du plaisir, supposant que ces mêmes gestes auront forcément les mêmes effets de plaisirs sur un autre, raisonnement hasardeux.
Pour apporter du plaisir à l’autre, il faut savoir ce qu’il aime lui, quels sont les gestes, les petits rien qui font réagir et provoquent le plaisir, et ce pour toutes la gamme des plaisirs y compris ceux qui font éjaculer bien fort!
Cela prend du temps, le soin d’apprendre et d’être attentif. Un excellent moyen, surtout si on est un peu voyeur et exhibitionniste est de montrer à l’autre, celui qui agira plus tard sur soi, comment on se masturbe en se masturbant sous ses regards exactement comme on le fait quand on est seul et isolé pour faire ça.
Ce peut être assis devant un écran, vêtements baissés comme on le fait quand on a envie de se toucher en regardant des trucs cochons, qu’on devra regarder d’ailleurs. Ce peut être allongé nu et sans drap sur son lit , pour que tout ce que l’on aime se faire pour se donner du plaisir soit visible…
Ce sont à mon avis les conditions d’un plaisir partagé.
Chaque homme a ses techniques solitaires, certains peuvent être doux avec eux-mêmes, d’autres, avec des gestes plus violents, d’autres encore alterneront les deux. Un site recense d’ailleurs toutes ces techniques masturbatoires masculines.
Nous sommes souvent différents dans ces plaisirs-là et cela serait donc à tort de croire que ce qui provoque beaucoup de plaisir pour soi en provoquera de la met façon sur un autre.
J’aime par exemple de longs jeux de décalottages de toutes sortes, me masturber longuement, avec trois doigts « en taille-crayon » gland enfermé dans l’étui mouillé du prépuce… et puis s’ajoute à cela les plaisirs du petit trou…
- allyoucanmast
- Messages : 107
- Inscription : lun. 18 juil. 2011, 13:37
Re: Un autre moi qui me branle
J'ai déjà pratiqué ce fantasme auss, ça va même un peu plus lin, j'aimerai me doubler pour qu'on se suce mutuellement, et donc avoir la sensation de sucer sa propre queue en connaissant exactement ses réactions.
Re: Un autre moi qui me branle
Il est vrai que souvent, après une longue masturbation où des suites de masturbations répétées et edgées, les plaisirs provoqués amènent souvent à des désirs très forts et très osés.
J’ai déjà eu ce genre de désirs, au comble de l’excitation et de l’envie stabilisée pour ne pas jouir : être sucé, pour voir ce que cela fait, ce que cela doit faire, une langue qui caresse le gland, fouille les petits replis ! ce que ça doit faire, d’avoir dans la bouche une verge dure, chaude et toute baveuse, de passer, en insistant, le bout de sa langue dans les replis du frein et de sentir l’excitation due au plaisir que l’on provoque sur un autre homme !
Et évidemment, le plaisir de ses gestes sur soi amène aussi à envisager d’avoir ces deux plaisirs décrits plus haut simultanément : chacun suce et est sucé, soit en 69, soit couchés tête-bêche sur le côté…
Après, un désir plus fort encore, plus paroxystique fait se dire qu’on aimerait goûter le sperme d’un autre, le sentir gicler dans sa bouche sous les gémissements d’une l’éjaculation impossible à retenir pour le sucé, avant d’avaler tout ce qui sort…en faisant la même chose dans la bouche de l’autre, en cherchant à se vider bien fort dans cette bouche chaude et douce tandis qu’on sent la langue s’activer sur son intimité, pour qu’on fasse bien tout sortir, qu’on donne tout ! tout ce qu’on a dans ses petites couilles toutes gonflées par trop d’envie !..,
Non ?
J’ai déjà eu ce genre de désirs, au comble de l’excitation et de l’envie stabilisée pour ne pas jouir : être sucé, pour voir ce que cela fait, ce que cela doit faire, une langue qui caresse le gland, fouille les petits replis ! ce que ça doit faire, d’avoir dans la bouche une verge dure, chaude et toute baveuse, de passer, en insistant, le bout de sa langue dans les replis du frein et de sentir l’excitation due au plaisir que l’on provoque sur un autre homme !
Et évidemment, le plaisir de ses gestes sur soi amène aussi à envisager d’avoir ces deux plaisirs décrits plus haut simultanément : chacun suce et est sucé, soit en 69, soit couchés tête-bêche sur le côté…
Après, un désir plus fort encore, plus paroxystique fait se dire qu’on aimerait goûter le sperme d’un autre, le sentir gicler dans sa bouche sous les gémissements d’une l’éjaculation impossible à retenir pour le sucé, avant d’avaler tout ce qui sort…en faisant la même chose dans la bouche de l’autre, en cherchant à se vider bien fort dans cette bouche chaude et douce tandis qu’on sent la langue s’activer sur son intimité, pour qu’on fasse bien tout sortir, qu’on donne tout ! tout ce qu’on a dans ses petites couilles toutes gonflées par trop d’envie !..,
Non ?