sa mère le branle !
sa mère le branle !
Quelques jours plus tard, j'imaginai une autre situation possible...
C'était le matin aussi, et je me masturbais dans mon lit avec une terrible envie d'avoir une éjaculation...je me caressais en me souvenant de ce qui s'était passé avec ma mère quelques jours auparavant, quand elle m'avait surpris en train de me masturber, et qu'elle m'avait fait éjaculer avec sa main...c'était ma mère, mais ça avait été si bon ! j'aurais voulu qu'elle me le fasse encore, là, maintenant; j'aurais voulu qu'elle regarde mon sperme sortir sous les mouvements de sa main,et s'étaler sur mon ventre...j'eus alors l'idée folle de tenter que ma mère me soulage encore...Je remontai mon pyjama, et comme ma mère venait de m'appeler pour le petit-déjeuner, je sortis du lit pour aller dans la cuisine, en sachant que ce que je voulais tenter allait me faire rester en érection...
J'entrais dans la cuisine où ma mère, assise, avait commencé à déjeuner; je me tournai vers l'évier pour m'y laver les mains, et mon érection frotta contre le meuble, me faisant tendre ma verge et mouiller...j'étais très gêné, car si je demandais à ma mère de me masturber, elle allait peut-être se fâcher très fort...ou me soulager ! ne pas savoir si j'allais connaître la frustration ou le plaisir me paralysait...
- Mais qu'est-ce que tu fais ? demanda ma mère. Tu viens t'assoir ou non ?
Je me tournai vers ma mère, assise à la table, juste devant moi..." Maman...c'est...c'est ma grosseur, tu sais, qui me gêne, là...", et j'ai écarté l'ouverture de mon pantalon de pyjama; ma verge est apparue, et de montrer à ma mère mon érection m'a fait durcir très fort, mon gland s'est dégagé un peu plus, sans sortir complètement, et j'ai mouillé, devant ma mère..." Tu peux faire quelquechose ?...s'il te plaît, l'autre jour ça m'a fait du bien...ça me gêne...maman !..." . Et l'envie que j'avais d'être masturbé par ma mère a été si forte que j'ai eu toutes les audaces, et que j'ai ouvert davantage le passage de mon pyjama pour faire sortir tout mon sexe et mes bourses.
Ma mère s'est tournée vers moi, sans rien dire, elle a pris dans sa main mes bourses pour les palper doucement et m'a demandé, agacée :
- Tu t'es touché longtemps dans ton lit avant de venir ? dis-moi la vérité.
- Vingt minutes, peut-être...j'avais...j'ai pas pu m'en empêcher...quand c'est tout dur, le matin, enfin...ça gêne, tu sais...
- Je vois ça dit ma mère ! très agacée
Sa main abandonna mes bourses; elle mis deux doigts à la base de ma verge, et tira vers le bas, franchement; ce geste impudique pour moi, et pour ma mère qui regardait, fit saillir d'un coup mon gland, et sortir une grosse goutte de précum.
- Tu es complètement engorgé !...je comprends que ça te gêne!...
Je restai les bras le long du corps fou de désir d'être masturbé par ma mère, mais ne sachant s'il elle allait vouloir le faire. Je sentis toutefois, nettement, une certaine accélération de la respiration de ma mère, et je sentai bien qu'elle était troublé par ce qui se passait; après tout, j'étais peut-être son fils, mais elle était une femme, et je me suis dit que pour elle voir le sexe d'un homme tout dur et tout mouillé devait provoquer en elle un émoi pour le moins équivoque; surtout que deux de ses doigts tiraient toujours doucement mais avec régularité vers le bas de ma verge, ce qui faisait saillir mon gland...
- Tu veux que je te soulages, c'est ça ? c'est pour ça que tu es venu dans cet état-là dans la cuisine, c'est ça ? réponds ! en fait , tu veux que je te fasse éjaculer ! je suis ta mère, et tu veux que ce soit ta mère qui te fasse éjaculer, c'est ça ?
- Oui...s'il te plaît...s'il te plaît...j'ai tellement envie, ça me gêne tellement !
En un éclair, et dans l'attente qui serait très brève, je le supposais, de ce qui allait suivre, quelque soit sa décision, en un éclair, je sentis ma queue devenir plus dure encore entre les doigts de ma mère, en pensant que ma mère était dans une chemise de nuit qui lui arrivait à mi-cuisses, et je savais qu'elle ne portait jamais de culotte dessous; si j'avais pu lui retirer cette chemise de nuit, ma mère se serait retrouvée entièrement nue devant moi, sans rien pouvoir me cacher...mais je n'aurais rien vu, car je n'aurais pas pu exiger qu'elle ouvre en grand les cuisses par exemple, après s'être assise sur sa chaise, pas plus que je n'aurais pu me faire plaisir en lui écartant les fesses avec mes pouces pour pouvoir mater son petit trou, comme un petit vicieux que je suis...
Ma mère se leva : " Retire ton haut de pyjama"; je m'exécutai, et laissai tomber par-terre mon vêtement. Ma mère me pris alors par le bras, et me conduisit un pas plus loin, à côté de l'évier, devant le plan de travail; elle me tourna, et vint me faire placer, debout, juste contre le bord de cet espace dégagé de tout objet.
- Bon, on va voir ça ! dit-elle d'un ton sec. Mets les mains dans le dos !
Je mis mes mains dans mon dos, et tout de suite, ma mère baissa ma culotte de pyjama à mes chevilles, et je me retrouvai entièrement nu tournant le dos à ma mère, culotte honteusement baissée à mes pieds, en érection, attendant que ma mère veuille bien, purement et simplement, me branler, branler son fils...
Ma mère se mit à côté de moi, et se mit à me masturber, son index et son pouce en anneau autour de ma verge, me procurant un plaisir fou.
- En fait, tu as besoin d'une branlette, c'est ça ?...
- Oui...tu peux pas savoir comme j'en ai envie maman !
Ma mère ralentit alors les gestes de la masturbation qu'elle me donnait..." Le matin, quand tu te caresses, c'est normal...mais tu ne dois pas te masturber trop longtemps. Dés que tu sens que tu as très envie, tu te laisses éjaculer, d'accord ?...tu seras mieux si tu te soulages sans attendre trop; c'est compris ?...tu fais comme ça, c'est compris ?..."
- Oui...
- ...et le mouchoir que tu utilises, tu t'en sers une fois; après tu le poses sous ton lit, et je le prendrai ensuite quand je fais ta chambre, pour le mettre dans la machine. Ne sois pas gêné par tout ça, tous les garçons font ça, même les hommes, après...
- Si tu veux, je peux venir te surveiller, un jour, pour que je vérifie que tu fais comme il faut; je viendrai une quart-d'heure après que ton réveil ait sonné...et si le petit mouchoir n'est pas par-terre, plein...je rabats ton drap et tu me montres que tu ne te retiens pas, et que tu laisses ton éjaculation venir dans le mouchoir...d'accord ?
- Oui maman...
Ma mère me masturba alors plus vite, de manière très active, très agréable...trop agréable, car elle me donnait envie, très envie...et je voulais prolonger mon plaisir...Je retirai ma verge des doigts de ma mère...
- Tu ne veux plus, me demanda-t'elle ? ça te gêne finalement que je te fasse ça ?...tu veux que j'arrête ?
- Non ! n'arrête pas, s'il te plaît ! ...mais...je veux pas encore, pas tout de suite!...
- Ah, non! pas de ça ! il ne s'agit pas de jeux sexuels : je veux bien te soulager, mais tu ne fais pas ça, et tu ne te retiens pas !
Ma mère se plaqua alors contre moi, dans mon dos, pour m'empêcher de me retirer de ses doigts, et se remit à me masturber; bien vite, je compris que je ne résisterai pas plus d'une minute à ce qu'il fallait que je fasse sous ses yeux, pour ma plus grande gêne et mon plus grand plaisir à la fois. Mais il arriva quelquechose qui hâta tout, et provoqua mon éjaculation immédiate : j'avais les mains dans le dos, et ma mère me tenait serré contre le bord du plan de travail; mes mains dans mon dos se trouvaient placées contre le ventre de ma mère...et j'eus une audace insensée: je tendis les doigts d'une de mes mains et les descendis vivement contre le ventre de ma mère, tout chaud à travers la fine chemise de nuit; nous avions la même taille, et en descendant un peu plus mes doigts, je les passais en haut de ses cuisses...je palpai sournoisement et vite la vulve, en sentant nettement les deux grosses lèvres et la fente de ma mère, et ce qui fit venir mon éjaculation fut la surprise de sentir sous mes doigts le tissus de la chemise de nuit de ma mère devenir tout mouillé, parce que ma mère était toute mouillée entre le haut des cuisses; c'était tout baveux et tout chaud dans la fente et entre les cuisses... trempé !
- Ne fais pas ça! dit ma mère tout haut.
Elle se détacha de moi, me plaqua bien fort les fesses de sa main contre le bord du plan de travail en sentant dans son autre main que je commençais à éjaculer; elle me maintint comme ça, en continuant à me masturber pour que j'éjacule complètement...
Ma mère, avec sa main, me vida ainsi de mon sperme; je giclai plusieurs fois sans me retenir et en gémissant sur le plan de travail de la cuisine, je sentai chaque spasme libérateur venir, puis chaque jet de sperme me vider davantage pendant que ma mère continuait à me masturber....puis ce fut fini, j'étais calmé...
- Bon...dit-elle en regardant les traces maculant son plan de travail, je vois que tu avais besoin de ça; il fallait que tu te soulages, c'est vrai...rhabille-toi, vas prendre une douche, et reviens pour déjeuner...et ne sois pas gêné par ce qui vient de se passer...
...
J'ignorais en fait, que tandis que je prenais une douche, puis que je déjeunais, ma mère, partie dans sa chambre, s'y était enfermée. Elle s'était tout de suite assise sur son lit, avait relevé sa chemise de nuit et écartées bien fort ses cuisses pour se calmer en se livrant à l'envie de se masturber qu'elle avait sentie naître en voyant la verge de son fils, grosse et épaisse, pleine d'envies avec son gland rond et baveux...Elle était entrée dans sa chambre toute mouillée entre les cuisses, ça coulait, et bien vite, après deux minutes à peine des caresses qu'elle se donnait, elle alla chercher au fond d'un placard un gode à ventouse qu'elle utilisait quand son mari était absent; elle passa dans la salle de bain, s'y enferma, fixa le gode par-terre, sur le carrelage, retira sa chemise de nuit pour se sentir à l'aise, et se sentir toute nue; elle se mit à genoux au-dessus du gode qu'il n'était pas nécessaire d'enduire de lubrifiant tellement elle se sentait elle-même très lubrifiée; elle se rentra le gode entre les cuisses, le serra dans son ventre, remua avec la plus grande indécence son bassin pour se donner un maximum de plaisir....et en se caressant le clitoris, elle se dit qu'elle devait faire comme son fils, c'est-à-dire ne pas retenir trop sa jouissance, et elle se fit jouir, provoqua son orgasme en se disant que dés demain matin, elle prendrait un plaisir fou à obliger son fils à éjaculer sous ses yeux en lui disant de se masturber, et qu'elle lui dirait de ne pas le faire dans un mouchoir...pour qu'elle puisse bien voir !...
C'était le matin aussi, et je me masturbais dans mon lit avec une terrible envie d'avoir une éjaculation...je me caressais en me souvenant de ce qui s'était passé avec ma mère quelques jours auparavant, quand elle m'avait surpris en train de me masturber, et qu'elle m'avait fait éjaculer avec sa main...c'était ma mère, mais ça avait été si bon ! j'aurais voulu qu'elle me le fasse encore, là, maintenant; j'aurais voulu qu'elle regarde mon sperme sortir sous les mouvements de sa main,et s'étaler sur mon ventre...j'eus alors l'idée folle de tenter que ma mère me soulage encore...Je remontai mon pyjama, et comme ma mère venait de m'appeler pour le petit-déjeuner, je sortis du lit pour aller dans la cuisine, en sachant que ce que je voulais tenter allait me faire rester en érection...
J'entrais dans la cuisine où ma mère, assise, avait commencé à déjeuner; je me tournai vers l'évier pour m'y laver les mains, et mon érection frotta contre le meuble, me faisant tendre ma verge et mouiller...j'étais très gêné, car si je demandais à ma mère de me masturber, elle allait peut-être se fâcher très fort...ou me soulager ! ne pas savoir si j'allais connaître la frustration ou le plaisir me paralysait...
- Mais qu'est-ce que tu fais ? demanda ma mère. Tu viens t'assoir ou non ?
Je me tournai vers ma mère, assise à la table, juste devant moi..." Maman...c'est...c'est ma grosseur, tu sais, qui me gêne, là...", et j'ai écarté l'ouverture de mon pantalon de pyjama; ma verge est apparue, et de montrer à ma mère mon érection m'a fait durcir très fort, mon gland s'est dégagé un peu plus, sans sortir complètement, et j'ai mouillé, devant ma mère..." Tu peux faire quelquechose ?...s'il te plaît, l'autre jour ça m'a fait du bien...ça me gêne...maman !..." . Et l'envie que j'avais d'être masturbé par ma mère a été si forte que j'ai eu toutes les audaces, et que j'ai ouvert davantage le passage de mon pyjama pour faire sortir tout mon sexe et mes bourses.
Ma mère s'est tournée vers moi, sans rien dire, elle a pris dans sa main mes bourses pour les palper doucement et m'a demandé, agacée :
- Tu t'es touché longtemps dans ton lit avant de venir ? dis-moi la vérité.
- Vingt minutes, peut-être...j'avais...j'ai pas pu m'en empêcher...quand c'est tout dur, le matin, enfin...ça gêne, tu sais...
- Je vois ça dit ma mère ! très agacée
Sa main abandonna mes bourses; elle mis deux doigts à la base de ma verge, et tira vers le bas, franchement; ce geste impudique pour moi, et pour ma mère qui regardait, fit saillir d'un coup mon gland, et sortir une grosse goutte de précum.
- Tu es complètement engorgé !...je comprends que ça te gêne!...
Je restai les bras le long du corps fou de désir d'être masturbé par ma mère, mais ne sachant s'il elle allait vouloir le faire. Je sentis toutefois, nettement, une certaine accélération de la respiration de ma mère, et je sentai bien qu'elle était troublé par ce qui se passait; après tout, j'étais peut-être son fils, mais elle était une femme, et je me suis dit que pour elle voir le sexe d'un homme tout dur et tout mouillé devait provoquer en elle un émoi pour le moins équivoque; surtout que deux de ses doigts tiraient toujours doucement mais avec régularité vers le bas de ma verge, ce qui faisait saillir mon gland...
- Tu veux que je te soulages, c'est ça ? c'est pour ça que tu es venu dans cet état-là dans la cuisine, c'est ça ? réponds ! en fait , tu veux que je te fasse éjaculer ! je suis ta mère, et tu veux que ce soit ta mère qui te fasse éjaculer, c'est ça ?
- Oui...s'il te plaît...s'il te plaît...j'ai tellement envie, ça me gêne tellement !
En un éclair, et dans l'attente qui serait très brève, je le supposais, de ce qui allait suivre, quelque soit sa décision, en un éclair, je sentis ma queue devenir plus dure encore entre les doigts de ma mère, en pensant que ma mère était dans une chemise de nuit qui lui arrivait à mi-cuisses, et je savais qu'elle ne portait jamais de culotte dessous; si j'avais pu lui retirer cette chemise de nuit, ma mère se serait retrouvée entièrement nue devant moi, sans rien pouvoir me cacher...mais je n'aurais rien vu, car je n'aurais pas pu exiger qu'elle ouvre en grand les cuisses par exemple, après s'être assise sur sa chaise, pas plus que je n'aurais pu me faire plaisir en lui écartant les fesses avec mes pouces pour pouvoir mater son petit trou, comme un petit vicieux que je suis...
Ma mère se leva : " Retire ton haut de pyjama"; je m'exécutai, et laissai tomber par-terre mon vêtement. Ma mère me pris alors par le bras, et me conduisit un pas plus loin, à côté de l'évier, devant le plan de travail; elle me tourna, et vint me faire placer, debout, juste contre le bord de cet espace dégagé de tout objet.
- Bon, on va voir ça ! dit-elle d'un ton sec. Mets les mains dans le dos !
Je mis mes mains dans mon dos, et tout de suite, ma mère baissa ma culotte de pyjama à mes chevilles, et je me retrouvai entièrement nu tournant le dos à ma mère, culotte honteusement baissée à mes pieds, en érection, attendant que ma mère veuille bien, purement et simplement, me branler, branler son fils...
Ma mère se mit à côté de moi, et se mit à me masturber, son index et son pouce en anneau autour de ma verge, me procurant un plaisir fou.
- En fait, tu as besoin d'une branlette, c'est ça ?...
- Oui...tu peux pas savoir comme j'en ai envie maman !
Ma mère ralentit alors les gestes de la masturbation qu'elle me donnait..." Le matin, quand tu te caresses, c'est normal...mais tu ne dois pas te masturber trop longtemps. Dés que tu sens que tu as très envie, tu te laisses éjaculer, d'accord ?...tu seras mieux si tu te soulages sans attendre trop; c'est compris ?...tu fais comme ça, c'est compris ?..."
- Oui...
- ...et le mouchoir que tu utilises, tu t'en sers une fois; après tu le poses sous ton lit, et je le prendrai ensuite quand je fais ta chambre, pour le mettre dans la machine. Ne sois pas gêné par tout ça, tous les garçons font ça, même les hommes, après...
- Si tu veux, je peux venir te surveiller, un jour, pour que je vérifie que tu fais comme il faut; je viendrai une quart-d'heure après que ton réveil ait sonné...et si le petit mouchoir n'est pas par-terre, plein...je rabats ton drap et tu me montres que tu ne te retiens pas, et que tu laisses ton éjaculation venir dans le mouchoir...d'accord ?
- Oui maman...
Ma mère me masturba alors plus vite, de manière très active, très agréable...trop agréable, car elle me donnait envie, très envie...et je voulais prolonger mon plaisir...Je retirai ma verge des doigts de ma mère...
- Tu ne veux plus, me demanda-t'elle ? ça te gêne finalement que je te fasse ça ?...tu veux que j'arrête ?
- Non ! n'arrête pas, s'il te plaît ! ...mais...je veux pas encore, pas tout de suite!...
- Ah, non! pas de ça ! il ne s'agit pas de jeux sexuels : je veux bien te soulager, mais tu ne fais pas ça, et tu ne te retiens pas !
Ma mère se plaqua alors contre moi, dans mon dos, pour m'empêcher de me retirer de ses doigts, et se remit à me masturber; bien vite, je compris que je ne résisterai pas plus d'une minute à ce qu'il fallait que je fasse sous ses yeux, pour ma plus grande gêne et mon plus grand plaisir à la fois. Mais il arriva quelquechose qui hâta tout, et provoqua mon éjaculation immédiate : j'avais les mains dans le dos, et ma mère me tenait serré contre le bord du plan de travail; mes mains dans mon dos se trouvaient placées contre le ventre de ma mère...et j'eus une audace insensée: je tendis les doigts d'une de mes mains et les descendis vivement contre le ventre de ma mère, tout chaud à travers la fine chemise de nuit; nous avions la même taille, et en descendant un peu plus mes doigts, je les passais en haut de ses cuisses...je palpai sournoisement et vite la vulve, en sentant nettement les deux grosses lèvres et la fente de ma mère, et ce qui fit venir mon éjaculation fut la surprise de sentir sous mes doigts le tissus de la chemise de nuit de ma mère devenir tout mouillé, parce que ma mère était toute mouillée entre le haut des cuisses; c'était tout baveux et tout chaud dans la fente et entre les cuisses... trempé !
- Ne fais pas ça! dit ma mère tout haut.
Elle se détacha de moi, me plaqua bien fort les fesses de sa main contre le bord du plan de travail en sentant dans son autre main que je commençais à éjaculer; elle me maintint comme ça, en continuant à me masturber pour que j'éjacule complètement...
Ma mère, avec sa main, me vida ainsi de mon sperme; je giclai plusieurs fois sans me retenir et en gémissant sur le plan de travail de la cuisine, je sentai chaque spasme libérateur venir, puis chaque jet de sperme me vider davantage pendant que ma mère continuait à me masturber....puis ce fut fini, j'étais calmé...
- Bon...dit-elle en regardant les traces maculant son plan de travail, je vois que tu avais besoin de ça; il fallait que tu te soulages, c'est vrai...rhabille-toi, vas prendre une douche, et reviens pour déjeuner...et ne sois pas gêné par ce qui vient de se passer...
...
J'ignorais en fait, que tandis que je prenais une douche, puis que je déjeunais, ma mère, partie dans sa chambre, s'y était enfermée. Elle s'était tout de suite assise sur son lit, avait relevé sa chemise de nuit et écartées bien fort ses cuisses pour se calmer en se livrant à l'envie de se masturber qu'elle avait sentie naître en voyant la verge de son fils, grosse et épaisse, pleine d'envies avec son gland rond et baveux...Elle était entrée dans sa chambre toute mouillée entre les cuisses, ça coulait, et bien vite, après deux minutes à peine des caresses qu'elle se donnait, elle alla chercher au fond d'un placard un gode à ventouse qu'elle utilisait quand son mari était absent; elle passa dans la salle de bain, s'y enferma, fixa le gode par-terre, sur le carrelage, retira sa chemise de nuit pour se sentir à l'aise, et se sentir toute nue; elle se mit à genoux au-dessus du gode qu'il n'était pas nécessaire d'enduire de lubrifiant tellement elle se sentait elle-même très lubrifiée; elle se rentra le gode entre les cuisses, le serra dans son ventre, remua avec la plus grande indécence son bassin pour se donner un maximum de plaisir....et en se caressant le clitoris, elle se dit qu'elle devait faire comme son fils, c'est-à-dire ne pas retenir trop sa jouissance, et elle se fit jouir, provoqua son orgasme en se disant que dés demain matin, elle prendrait un plaisir fou à obliger son fils à éjaculer sous ses yeux en lui disant de se masturber, et qu'elle lui dirait de ne pas le faire dans un mouchoir...pour qu'elle puisse bien voir !...
Re: sa mère le branle !
C'était un beau récit que j'ai lu ma main sur ma queue , mère fils j'adore .
Re: sa mère le branle !
Je vais imaginer une suite à ce récit. Bien cochon, et
toujours le matin dans la cuisine…
toujours le matin dans la cuisine…
Re: sa mère le branle !
Impossible a lire sans bander ni imaginer d'autres histoires semblables.....
Ce jour là nous avions travaillé aux champs avec ma mère. C'était l'été il faisait très chaud, ma mère m'avait envoyé le premier à la douche avant le dîner. Rentré dans ma chambre, enrubanné dans mon drap de bain, je me rendis compte que mes vêtements pour le lendemain sèchaient dehors.
Je suis donc passé devant la salle de bain ou ma mère avait pris ma place sous la douche.
Je ralentis car j'entendais des bruits bizarres, caché derrière la porte je mattais ma mère, brune, potelée des cuisses et fesses, petits seins à larges aréoles sombres, touffe triangulaire épaisse. Elle appuyait la pomme de douche dans sa touffe et semblait gémir de bonheur.....
Je pris mes vêtements sur le fil à linge, retraversais la maison et couru dans ma chambre pour m'habiller. Impossible de rentrer dans mon slip tellement mon zizi était raide.
Ma mère entra, une serviette nouée au dessus de ses seins. Tu voulais voir quoi ?
Rien, rien, répondis je , rouge de honte.
Tu parles, regarde ton pénis, il est tout raide.
Allez regarde coquin, elle fit tomber sa serviette, je vis d'abord ses seins, petits aux aréoles sombres, larges comme des soucoupes, puis elle ecarta ses jambes , me montra sa touffe, l'ecarta avec deux doigts et mis sa vulve en évidence. La première que je voyais
Je vais te branler me dit elle, j'ai peur que tu fasses un malaise. Mais ne recommence jamais à me reluquer. Je te louerais des films si tu veux.
Elle mit alors sa main droite sur le bas de ma queue toute dure, la prit en anneau, remonta jusqu'à mon gland puis redescendit à la base. Je m'étais déjà branlé, je savais que je viendrai vite. Ce fut le cas, au bout de 5,6 aller retour. Ma mère essuya ses doigts dans sa serviette, me renvoya à la douche. J'avais plus que honte. Elle n'en reparla jamais. Quelques jours après je trouvais un paquet de DVD sous mon oreiller.
Ce jour là nous avions travaillé aux champs avec ma mère. C'était l'été il faisait très chaud, ma mère m'avait envoyé le premier à la douche avant le dîner. Rentré dans ma chambre, enrubanné dans mon drap de bain, je me rendis compte que mes vêtements pour le lendemain sèchaient dehors.
Je suis donc passé devant la salle de bain ou ma mère avait pris ma place sous la douche.
Je ralentis car j'entendais des bruits bizarres, caché derrière la porte je mattais ma mère, brune, potelée des cuisses et fesses, petits seins à larges aréoles sombres, touffe triangulaire épaisse. Elle appuyait la pomme de douche dans sa touffe et semblait gémir de bonheur.....
Je pris mes vêtements sur le fil à linge, retraversais la maison et couru dans ma chambre pour m'habiller. Impossible de rentrer dans mon slip tellement mon zizi était raide.
Ma mère entra, une serviette nouée au dessus de ses seins. Tu voulais voir quoi ?
Rien, rien, répondis je , rouge de honte.
Tu parles, regarde ton pénis, il est tout raide.
Allez regarde coquin, elle fit tomber sa serviette, je vis d'abord ses seins, petits aux aréoles sombres, larges comme des soucoupes, puis elle ecarta ses jambes , me montra sa touffe, l'ecarta avec deux doigts et mis sa vulve en évidence. La première que je voyais
Je vais te branler me dit elle, j'ai peur que tu fasses un malaise. Mais ne recommence jamais à me reluquer. Je te louerais des films si tu veux.
Elle mit alors sa main droite sur le bas de ma queue toute dure, la prit en anneau, remonta jusqu'à mon gland puis redescendit à la base. Je m'étais déjà branlé, je savais que je viendrai vite. Ce fut le cas, au bout de 5,6 aller retour. Ma mère essuya ses doigts dans sa serviette, me renvoya à la douche. J'avais plus que honte. Elle n'en reparla jamais. Quelques jours après je trouvais un paquet de DVD sous mon oreiller.
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- Messages : 120
- Inscription : ven. 21 juin 2024, 13:48
Re: sa mère le branle !
Cher Pat440,
Merci pour ce récit très excitant, purement imaginaire ou basé sur des faits réels ?
Merci pour ce récit très excitant, purement imaginaire ou basé sur des faits réels ?