Technique Edging et Conséquences
Technique Edging et Conséquences
Bonjour,
Je poste pour la première fois dans ce forum suite à une expérience que je suis en train de mener.
Je me suis inscrit sur le site Stop Fap et jusqu'à maintenant j'arrive à enchaîner plusieurs semaines sans porno ce qui est un vrai record pour moi et une sorte de renaissance donc déjà très cool tout ça !!
Par contre je continue de me masturber, même si moins qu'avant, surtout que j'ai l'impression petit à petit de retrouver des sensations plus intéressantes et de plus en plus fortes. J'essaie de ne pas éjaculer pour respecter le challenge NoFap (c'est l'éjaculation qui est éliminatoire dans le challenge, pas la masturbation même s'il est recommandé de tout arrêter), j'ai fait une première phase d'abstinence de 16 jours et suite à une éjaculation non prévue à force de me edger trop loin, j'ai redémarré une série et j'en suis à déjà 7 jours.
L'idée principale pour moi n'étant pas forcément de ne pas me masturber mais juste d'arrêter le porno (ce que j'arrive à faire aujourd'hui) et potentiellement d'éjaculer, je me suis mis à explorer le edging et je voulais partager mon expérience.
Déjà, le fait d'être en rétention de sperme depuis aussi longtemps (une "fausse" éjaculation pas vraiment assumée en 3 semaines, du coup je me suis pas vraiment vidé non plus) fait que je suis ultra sensible de la bite et que la moindre caresse me fait déjà bander comme un âne prêt à exploser.
Même quand je bande pas, j'ai l'impression d'avoir en permanence entre les jambes un énorme morceau de viande vibrant avec des couilles bien pleines. Quand je prend ma queue en main j'ai l'impression qu'elle est encore plus énorme que d'habitude, encore plus épaisse (elle est déjà méga large) et que mes couilles aussi ont pris du volume, même si je sais que normalement la rétention est pas censé jouer dessus. Peut être que c'est le fait de me tripoter ajouté à la rétention qui joue ? Ou l'excitation ? Ou qu'il y a un vrai truc qui joue quand on se retient tout simplement ?
Je joue avec ma queue tout doucement et petit à petit je sens monter à l'intérieur une espèce d'"énergie" qui monte de plus en plus haut. Je ralentis pour pas provoquer d'éjaculation, et j'essaie de continuer à faire monter l'énergie qui semble remplir ma bite de plus en plus, ça commence à crépiter dans mon gland, puis je passe en mode juste pouce et index sur le gland que je fais monter de plus en plus haut, comme l''énergie" qui semble remplir ma bite en pulsant un petit peu, comme des vagues qui viennent remplir un peu plus chaque fois et de plus en plus haut, jusqu'à ce que les crépitements soient vraiment localisés au bout du bout du gland, je ralentis chaque fois un peu plus pour ne pas aller trop loin et je contrôle ma respiration et mes muscles pour ne pas déclencher d'éjaculation tout en sachant qu'un mouvement un peu trop rapide pourrait faire tout basculer, je suis donc à la fois dans le contrôle absolu de ce que je fais et l'écoute de mes sensations qui sont de plus en plus intenses. Généralement à ce moment, même si je fais des mouvements très limité, je ne peux pas m'empêcher d'haleter et mon corps commence à émettre une transpiration assez folle d'autant plus excitante que je kiffe ma propre odeur et encore une fois alors que je ne fais pas un effort physique intense (Je ne sais pas à quoi c'est dû d'ailleurs, le corps est vraiment fascinant! Si vous avez une idée je suis preneur). A chaque session (ça peut être 20/30 fois dans la journée) j'essaie d'aller toujours un peu plus loin dans le remplissage de ma bite par cette énergie, toujours plus prêt du méat, j'ai l'impression que cette pratique peut être infinie dans son exploration puisqu'il restera toujours un espace, même infime, à explorer entre le max que j'arrive à faire et l'éjaculation que je veux éviter. C'est cet espace qui m'intéresse et que je cherche à expérimenter, toujours plus loin, toujours plus intense !!
Voilà pour l'expérimentation en soit, hésitez pas à comparer à vos propres expériences et me dire ce que vous en pensez, je suis très curieux de comprendre ce que chacun vit et cherche dans sa pratique, moi même étant un peu obnubilé par le sujet en ce moment
Et sinon je voulais également en profiter pour partager une autre expérience et mes questionnements
J'avais déjà exploré un peu tout ça il y a un an et parfois j'allais presque trop loin et je sentais que la limite de l'éjaculation allait être franchie. Généralement c'était en explorant cet espace et ça se concluait par le fait qu'un mouvement déclenchait une vague un peu trop forte qui je sentais aller me faire expulser mon sperme. Pour empêcher ça, je bandais tous les muscles de mon corps et ma bite déjà bien remplie devenait dure comme un roc et plus remplie que jamais, je restais comme ça quelques secondes avant que ça redescende et d'éviter l'éjaculation. Mais parfois ça se déclenchait quand même et je crois que j'expérimentais une éjaculation interne du fait de bander mes muscles, avec quand même un peu de sperme qui sortait de ma bite, mais pas en gros jet, plutôt en s'écoulant. Par la suite et sur plusieurs semaines, je ressentais des contractions involontaires de mon périnée ou de ma prostate (l'un ou l'autre, ou les deux, je pourrais pas vraiment dire) et mes éjaculations désirées n'étaient plus puissantes du tout, j'avais juste mon sperme qui s'écoulait mais sans jets, comme si mes muscles ne fonctionnaient plus très bien. Est-ce que ça vous ait déjà arrivé ? Vous en pensez quoi ? Ca m'avait fait un peu peur et j'avais complètement arrêté le edging jusqu'à maintenant.
Du coup puisque j'en suis maintenant à de nouvelle tentatives, j'aimerai vraiment expérimenter ces éjaculations fabuleuses dont vous parlez tous, avec des grosses quantités de de sperme expulsé avec force, mais j'ai peur que ça refasse la même chose. Comment vous expérimentez ça vous de votre côté ?
Merci de m'avoir lu et au plaisir d'échanger avec chacun d'entre vous !
Je poste pour la première fois dans ce forum suite à une expérience que je suis en train de mener.
Je me suis inscrit sur le site Stop Fap et jusqu'à maintenant j'arrive à enchaîner plusieurs semaines sans porno ce qui est un vrai record pour moi et une sorte de renaissance donc déjà très cool tout ça !!
Par contre je continue de me masturber, même si moins qu'avant, surtout que j'ai l'impression petit à petit de retrouver des sensations plus intéressantes et de plus en plus fortes. J'essaie de ne pas éjaculer pour respecter le challenge NoFap (c'est l'éjaculation qui est éliminatoire dans le challenge, pas la masturbation même s'il est recommandé de tout arrêter), j'ai fait une première phase d'abstinence de 16 jours et suite à une éjaculation non prévue à force de me edger trop loin, j'ai redémarré une série et j'en suis à déjà 7 jours.
L'idée principale pour moi n'étant pas forcément de ne pas me masturber mais juste d'arrêter le porno (ce que j'arrive à faire aujourd'hui) et potentiellement d'éjaculer, je me suis mis à explorer le edging et je voulais partager mon expérience.
Déjà, le fait d'être en rétention de sperme depuis aussi longtemps (une "fausse" éjaculation pas vraiment assumée en 3 semaines, du coup je me suis pas vraiment vidé non plus) fait que je suis ultra sensible de la bite et que la moindre caresse me fait déjà bander comme un âne prêt à exploser.
Même quand je bande pas, j'ai l'impression d'avoir en permanence entre les jambes un énorme morceau de viande vibrant avec des couilles bien pleines. Quand je prend ma queue en main j'ai l'impression qu'elle est encore plus énorme que d'habitude, encore plus épaisse (elle est déjà méga large) et que mes couilles aussi ont pris du volume, même si je sais que normalement la rétention est pas censé jouer dessus. Peut être que c'est le fait de me tripoter ajouté à la rétention qui joue ? Ou l'excitation ? Ou qu'il y a un vrai truc qui joue quand on se retient tout simplement ?
Je joue avec ma queue tout doucement et petit à petit je sens monter à l'intérieur une espèce d'"énergie" qui monte de plus en plus haut. Je ralentis pour pas provoquer d'éjaculation, et j'essaie de continuer à faire monter l'énergie qui semble remplir ma bite de plus en plus, ça commence à crépiter dans mon gland, puis je passe en mode juste pouce et index sur le gland que je fais monter de plus en plus haut, comme l''énergie" qui semble remplir ma bite en pulsant un petit peu, comme des vagues qui viennent remplir un peu plus chaque fois et de plus en plus haut, jusqu'à ce que les crépitements soient vraiment localisés au bout du bout du gland, je ralentis chaque fois un peu plus pour ne pas aller trop loin et je contrôle ma respiration et mes muscles pour ne pas déclencher d'éjaculation tout en sachant qu'un mouvement un peu trop rapide pourrait faire tout basculer, je suis donc à la fois dans le contrôle absolu de ce que je fais et l'écoute de mes sensations qui sont de plus en plus intenses. Généralement à ce moment, même si je fais des mouvements très limité, je ne peux pas m'empêcher d'haleter et mon corps commence à émettre une transpiration assez folle d'autant plus excitante que je kiffe ma propre odeur et encore une fois alors que je ne fais pas un effort physique intense (Je ne sais pas à quoi c'est dû d'ailleurs, le corps est vraiment fascinant! Si vous avez une idée je suis preneur). A chaque session (ça peut être 20/30 fois dans la journée) j'essaie d'aller toujours un peu plus loin dans le remplissage de ma bite par cette énergie, toujours plus prêt du méat, j'ai l'impression que cette pratique peut être infinie dans son exploration puisqu'il restera toujours un espace, même infime, à explorer entre le max que j'arrive à faire et l'éjaculation que je veux éviter. C'est cet espace qui m'intéresse et que je cherche à expérimenter, toujours plus loin, toujours plus intense !!
Voilà pour l'expérimentation en soit, hésitez pas à comparer à vos propres expériences et me dire ce que vous en pensez, je suis très curieux de comprendre ce que chacun vit et cherche dans sa pratique, moi même étant un peu obnubilé par le sujet en ce moment
Et sinon je voulais également en profiter pour partager une autre expérience et mes questionnements
J'avais déjà exploré un peu tout ça il y a un an et parfois j'allais presque trop loin et je sentais que la limite de l'éjaculation allait être franchie. Généralement c'était en explorant cet espace et ça se concluait par le fait qu'un mouvement déclenchait une vague un peu trop forte qui je sentais aller me faire expulser mon sperme. Pour empêcher ça, je bandais tous les muscles de mon corps et ma bite déjà bien remplie devenait dure comme un roc et plus remplie que jamais, je restais comme ça quelques secondes avant que ça redescende et d'éviter l'éjaculation. Mais parfois ça se déclenchait quand même et je crois que j'expérimentais une éjaculation interne du fait de bander mes muscles, avec quand même un peu de sperme qui sortait de ma bite, mais pas en gros jet, plutôt en s'écoulant. Par la suite et sur plusieurs semaines, je ressentais des contractions involontaires de mon périnée ou de ma prostate (l'un ou l'autre, ou les deux, je pourrais pas vraiment dire) et mes éjaculations désirées n'étaient plus puissantes du tout, j'avais juste mon sperme qui s'écoulait mais sans jets, comme si mes muscles ne fonctionnaient plus très bien. Est-ce que ça vous ait déjà arrivé ? Vous en pensez quoi ? Ca m'avait fait un peu peur et j'avais complètement arrêté le edging jusqu'à maintenant.
Du coup puisque j'en suis maintenant à de nouvelle tentatives, j'aimerai vraiment expérimenter ces éjaculations fabuleuses dont vous parlez tous, avec des grosses quantités de de sperme expulsé avec force, mais j'ai peur que ça refasse la même chose. Comment vous expérimentez ça vous de votre côté ?
Merci de m'avoir lu et au plaisir d'échanger avec chacun d'entre vous !
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Re: Technique Edging et Conséquences
Je suis certainement pas le mieux placé pour donner un avis sur la question. Je me hasarde à une extrapolation : est-ce qu'en voulant trop te retenir, tu n'aurais pas inconsciemment provoqué un blocage du périnée ? Le contrôle c'est bien, mais le lâcher-prise est primordial à un moment donné de l'excitation. Et si tu te branles trop chaque jour, ça n'est pas devenu un automatisme devenu bloquant lui-aussi ? Faudrait pas, à trop vouloir chercher la sensation, tomber dans la masturbation compulsive non plus qui ferait plaisir à la chose.
Perso, je me branle, mais pas tous les jours. C'est plus comme un plaisir, une récompense, comme siroter un verre après une journée fatigante. Mais sans excès. Par contre, pareil, j'apprécie aussi cette recherche de sensation pré-orgasmique, plus que la libération elle-même. D'ailleurs, chez moi, j'ai noté qu'il y a bien un bien point de bascule à atteindre qui, si je me retiens trop, me gâche tout. Et même si je pratique depuis longtemps, j'ai pas encore réussi à trouver le moment parfait à chaque fois. Mais, ce qu'il y a de bien, c'est qu'on peut toujours retenter sa chance les fois suivantes. Par contre, concernant l'expulsion de sperme, je crois bien qu'on est pas tous égaux sur ce point.
Perso, je me branle, mais pas tous les jours. C'est plus comme un plaisir, une récompense, comme siroter un verre après une journée fatigante. Mais sans excès. Par contre, pareil, j'apprécie aussi cette recherche de sensation pré-orgasmique, plus que la libération elle-même. D'ailleurs, chez moi, j'ai noté qu'il y a bien un bien point de bascule à atteindre qui, si je me retiens trop, me gâche tout. Et même si je pratique depuis longtemps, j'ai pas encore réussi à trouver le moment parfait à chaque fois. Mais, ce qu'il y a de bien, c'est qu'on peut toujours retenter sa chance les fois suivantes. Par contre, concernant l'expulsion de sperme, je crois bien qu'on est pas tous égaux sur ce point.
Re: Technique Edging et Conséquences
Je confirme qu'il y a bien pour moi aussi un point de bascule si on attend trop.
Ça fait comme un orgasme interne, sans éjaculation (ou juste quelques gouttes) et la tension retombe et la bite redevient demi -molle...
Ce n'est pas désagréable du tout d'ailleurs, et comme on a gardé son sperme, on peut recommencer une masturbation très vite après...
Mes éjaculations les plus puissantes c'est quand je me finis par une branle bien rythmée après quelques (3 ou 4) jours de masturbation sans éjaculation.
En tout cas merci pour ton récit..fan d'edging aussi je vois qu'il me reste encore plein de choses à explorer
Ça fait comme un orgasme interne, sans éjaculation (ou juste quelques gouttes) et la tension retombe et la bite redevient demi -molle...
Ce n'est pas désagréable du tout d'ailleurs, et comme on a gardé son sperme, on peut recommencer une masturbation très vite après...
Mes éjaculations les plus puissantes c'est quand je me finis par une branle bien rythmée après quelques (3 ou 4) jours de masturbation sans éjaculation.
En tout cas merci pour ton récit..fan d'edging aussi je vois qu'il me reste encore plein de choses à explorer
Re: Technique Edging et Conséquences
Merci pour vos retours
Je me demande en effet si j'avais pas bloqué temporairement mon périnée, c'est comme si en effet le sperme s'écoulait mais sans spasme qui viendrait expulser de bonnes grosses giclées bien épaisses, ce qui est moins satisfaisant malheureusement.
Là je continue dans ma lancée d'edging, j'atteins à nouveau des niveaux que j'avais pas atteint depuis très longtemps, où je pousse toujours plus loin la sensation de montée d'énergie dans ma bite tout en ne basculant pas vers l'éjaculation. Quand je décidé que je suis allé suffisamment loin pour pas risquer l'éjaculation, que je suis vraiment au bout du bout de ma bite, dans un espace ultra restreint au bout extrême du gland, que j'en suis à la limite de me toucher juste par d'ultra légères pressions de plus en plus espacées, qui me font décoller chacune encore un peu plus proche du point de bacule, et après avoir bien haleté et limite grogné d'extase (ça me retourne littéralement le cerveau, c'est fou^^) je décide d'arrêter de me toucher et je reste bandé comme jamais, la bite énorme et écarlate, encore quelques secondes avant que la pression redescende. Généralement j'ai des étoiles plein les yeux à ce moment, j'ai mon corps qui su abondamment alors que j'ai pas fait un effort physique terrible et j'ai l'impression d'avoir une conscience du moment largement accru pendant les quelques minutes qui suivent. Je tremble aussi légèrement comme si une tension s'était accumulée dans mon corps, mais je me sens gonflé d'énergie alors que l'éjaculation m'aurait tout fait perdre, du coup ça me motive à continuer.
Tout à l'heure je suis pas passé loin de l'éjaculation, comme je voulais pas risque l'éjaculation interne et potentiellement les problèmes que j'ai eu la dernière fois, j'ai laissé un peu de sperme s'écouler plutôt que de serrer mes muscles, et j'étais bien content de voir que c'est sorti en jet, donc à priori pour l'instant tout va bien !
Je suis toujours autant excité et j'ai la bite gonflée en demi (3/4) molle en permanence quand je me touche pas. Quand je sors dans la rue j'ai l'impression de me balader avec un énorme morceau de viande pulsant d'excitation entre les jambes. Déjà que j'ai une très grosse bite, là j'ai l'impression que c'est encore plus imposant. Je me dis que ça doit se voir dans la rue avec mon slip à poche (CK body briefs) sous mon jogging.
Je me demande en effet si j'avais pas bloqué temporairement mon périnée, c'est comme si en effet le sperme s'écoulait mais sans spasme qui viendrait expulser de bonnes grosses giclées bien épaisses, ce qui est moins satisfaisant malheureusement.
Là je continue dans ma lancée d'edging, j'atteins à nouveau des niveaux que j'avais pas atteint depuis très longtemps, où je pousse toujours plus loin la sensation de montée d'énergie dans ma bite tout en ne basculant pas vers l'éjaculation. Quand je décidé que je suis allé suffisamment loin pour pas risquer l'éjaculation, que je suis vraiment au bout du bout de ma bite, dans un espace ultra restreint au bout extrême du gland, que j'en suis à la limite de me toucher juste par d'ultra légères pressions de plus en plus espacées, qui me font décoller chacune encore un peu plus proche du point de bacule, et après avoir bien haleté et limite grogné d'extase (ça me retourne littéralement le cerveau, c'est fou^^) je décide d'arrêter de me toucher et je reste bandé comme jamais, la bite énorme et écarlate, encore quelques secondes avant que la pression redescende. Généralement j'ai des étoiles plein les yeux à ce moment, j'ai mon corps qui su abondamment alors que j'ai pas fait un effort physique terrible et j'ai l'impression d'avoir une conscience du moment largement accru pendant les quelques minutes qui suivent. Je tremble aussi légèrement comme si une tension s'était accumulée dans mon corps, mais je me sens gonflé d'énergie alors que l'éjaculation m'aurait tout fait perdre, du coup ça me motive à continuer.
Tout à l'heure je suis pas passé loin de l'éjaculation, comme je voulais pas risque l'éjaculation interne et potentiellement les problèmes que j'ai eu la dernière fois, j'ai laissé un peu de sperme s'écouler plutôt que de serrer mes muscles, et j'étais bien content de voir que c'est sorti en jet, donc à priori pour l'instant tout va bien !
Je suis toujours autant excité et j'ai la bite gonflée en demi (3/4) molle en permanence quand je me touche pas. Quand je sors dans la rue j'ai l'impression de me balader avec un énorme morceau de viande pulsant d'excitation entre les jambes. Déjà que j'ai une très grosse bite, là j'ai l'impression que c'est encore plus imposant. Je me dis que ça doit se voir dans la rue avec mon slip à poche (CK body briefs) sous mon jogging.
Re: Technique Edging et Conséquences
Merci pour ton récit , je suis comme toi, les sensations qui tu décris sont identiques ou presque aux miennes. Je suis également sur le site stop fap , pour les mêmes raisons , je me masturbe tous les jours sans ejaculation depuis plusieurs jours , je tiens régulièrement 3 semaines . Après j’aime bien libérer et baisser la pression dans les couilles ça fait du bien aussi pour l’organisme aussi je pense. Effectivement les ejac ne sont pas ouf quand tu fais de la rétention pendant un certain temps. Les bonnes ejac c’est avec une rétention courte (4 ou 5 jours ) , là, l’ejaculation sera bien volumineuse avec un sperme bien blanc .
Concernant la rétention il faut après chaque session de Branle , il faut essayer de diffuser cette énergie dans le corps en faisant des pratiques de respirations et de méditations type yoga , tantra .
Bon facile à dire , mais en pratique c’est un peu plus compliqué mais avec le temps je vois une évolution, ce qui me permet d’avoir des sessions de branle très intense sans être dans un état « gooner ». Bonne branle à tous , c’est tellement bon !
Concernant la rétention il faut après chaque session de Branle , il faut essayer de diffuser cette énergie dans le corps en faisant des pratiques de respirations et de méditations type yoga , tantra .
Bon facile à dire , mais en pratique c’est un peu plus compliqué mais avec le temps je vois une évolution, ce qui me permet d’avoir des sessions de branle très intense sans être dans un état « gooner ». Bonne branle à tous , c’est tellement bon !
Re: Technique Edging et Conséquences
Voila une communauté que je ne connaissais pas, intéressant, mais pas pour moi
En ligne
Re: Technique Edging et Conséquences
Je fais ça depuis des années, c’est très agréable, et ça donne beaucoup de plaisir !
Dans les années où «faire ça », c’est à dire se livrer à la masturbation solitaire s’appelait de l’onanisme, et était mal vu, déconseillé, c’était justement à cause de ces pratiques auxquelles on savait que se livraient les masturbateurs, qu’on qualifiait ces façons de faire, de vicieuses et très perverses, justement parce qu’on c’était rendu compte que «se retenir » amenait à prolonger le vice.
À la limite, on pouvait accorder une tolérance pour une rapide masturbation de soulagement, pour se débarrasser sans y prendre aucun plaisir insistant, de cette substance qui peut trop gêner un ado ou un homme adulte…
Je suis donc, et depuis longtemps ! très vicieux avec moi-même quand après avoir baissé mon slip à mes chevilles ou m’être mis entièrement nu, pendant des heures ! assis au bord d’un siège genoux bien ouverts, je me livre «au vice manuel » ne cessant de me donner du plaisir avec mon prépuce que je frotte sans cesse, à rythmes irréguliers autour de la collerette de mon gland; et tout aussi régulièrement, je fais glisser doucement mon pouce et mon index en anneau le long de la verge toute dure et toute chaude…
Je fais ça prudemment, pour que «ça ne sorte pas », que mon sperme reste en moi, que je le sente gonfler doucement mes bourses dans la journée.
Et je recommence ça plus tard..,
Je peux me retenir plusieurs jours souvent, mais si ça devient trop lancinant, je suis bien obligé de me résoudre à me vider. Je fais ça le plus souvent dans la salle de bain, en regardant dans le miroir de qui va m’arriver, les cuisses bloquées contre le lavabo…
Souvent je m’aide d’une image cochonne et d’un j.o.i. pour que ça me fasse plus facilement tout cracher dans le lavabo et que je puisse enfin me soulager sexuellement
Je dois avouer que dans ces moments-là, il m’arrive de désirer très fort de me faire sucer sans façon par un autre et qu’on avale tout ce que ça fait sortir…
Je pense aussi quand je me livre si longtemps à cet auto-érotisme à tous ces garçons, jusqu’au siècle dernier, qu’on a interrogé, avec insistance ! dans des cabinets médicaux, pour savoir s’ils se touchaient. Tout en les interrogeant, on les examinait intimement, culotte baissée, pour leur faire dire, en détail, ce qu’ils faisaient exactement quand ils se livraient à ce vice de la masturbation, comment ils se procuraient divers de ces plaisirs manuels.
C’est pour cette raison que dans les manuels médicaux de cette époque on décrivait la rétention masturbatoire du sperme comme une perversité, les examens cliniques et les questions intimes ayant été destinés à faire avouer ces garçons des détails des pratiques solitaires qu’ils avaient.
Ils devaient être très gênés et avoir honte d’avoir à raconter ça…
Peut-être même certains soignants exigeaient-ils, qui sait, qu’on leur montre les gestes de ces plaisirs-la, et que ces garçons, nus, aient eus à se masturber sous ces regards intransigeants…
J’imagine parfaitement ça :
- pourquoi tu arrêtes, là ? c’est comme ça que tu fais pour te retenir ?…tu te retiens, c’est ça ? c’est comme ça que tu fais pour prolonger ton vice ?
J’imagine aussi très bien des éjaculations non voulues se faire devant le soignant, à caractère punitif et pour donner honte de « faire ça », se toucher, le soir sous le drap… « Allez, cette fois, tu ne t’arrêtes pas avec ta main ! tu continues : fais comme tout à l’heure, et tu ne ralentis pas tes gestes…allez continue je te dis ! »
- …non…non, s’il vous plaît monsieur…je…je voudrais arrêter !
Plusieurs scénarios possibles ensuite. Ça en intéresserait certains ?
Quant à moi, je vais avoir de discrètes irritations sur la collerette du gland et à l’envers du prépuce.
Et je suis plein comme un œuf ! ça gêne, et ça fait un peu mal dans les bourses…mais je ne veux pas me délivrer maintenant…
Dans les années où «faire ça », c’est à dire se livrer à la masturbation solitaire s’appelait de l’onanisme, et était mal vu, déconseillé, c’était justement à cause de ces pratiques auxquelles on savait que se livraient les masturbateurs, qu’on qualifiait ces façons de faire, de vicieuses et très perverses, justement parce qu’on c’était rendu compte que «se retenir » amenait à prolonger le vice.
À la limite, on pouvait accorder une tolérance pour une rapide masturbation de soulagement, pour se débarrasser sans y prendre aucun plaisir insistant, de cette substance qui peut trop gêner un ado ou un homme adulte…
Je suis donc, et depuis longtemps ! très vicieux avec moi-même quand après avoir baissé mon slip à mes chevilles ou m’être mis entièrement nu, pendant des heures ! assis au bord d’un siège genoux bien ouverts, je me livre «au vice manuel » ne cessant de me donner du plaisir avec mon prépuce que je frotte sans cesse, à rythmes irréguliers autour de la collerette de mon gland; et tout aussi régulièrement, je fais glisser doucement mon pouce et mon index en anneau le long de la verge toute dure et toute chaude…
Je fais ça prudemment, pour que «ça ne sorte pas », que mon sperme reste en moi, que je le sente gonfler doucement mes bourses dans la journée.
Et je recommence ça plus tard..,
Je peux me retenir plusieurs jours souvent, mais si ça devient trop lancinant, je suis bien obligé de me résoudre à me vider. Je fais ça le plus souvent dans la salle de bain, en regardant dans le miroir de qui va m’arriver, les cuisses bloquées contre le lavabo…
Souvent je m’aide d’une image cochonne et d’un j.o.i. pour que ça me fasse plus facilement tout cracher dans le lavabo et que je puisse enfin me soulager sexuellement
Je dois avouer que dans ces moments-là, il m’arrive de désirer très fort de me faire sucer sans façon par un autre et qu’on avale tout ce que ça fait sortir…
Je pense aussi quand je me livre si longtemps à cet auto-érotisme à tous ces garçons, jusqu’au siècle dernier, qu’on a interrogé, avec insistance ! dans des cabinets médicaux, pour savoir s’ils se touchaient. Tout en les interrogeant, on les examinait intimement, culotte baissée, pour leur faire dire, en détail, ce qu’ils faisaient exactement quand ils se livraient à ce vice de la masturbation, comment ils se procuraient divers de ces plaisirs manuels.
C’est pour cette raison que dans les manuels médicaux de cette époque on décrivait la rétention masturbatoire du sperme comme une perversité, les examens cliniques et les questions intimes ayant été destinés à faire avouer ces garçons des détails des pratiques solitaires qu’ils avaient.
Ils devaient être très gênés et avoir honte d’avoir à raconter ça…
Peut-être même certains soignants exigeaient-ils, qui sait, qu’on leur montre les gestes de ces plaisirs-la, et que ces garçons, nus, aient eus à se masturber sous ces regards intransigeants…
J’imagine parfaitement ça :
- pourquoi tu arrêtes, là ? c’est comme ça que tu fais pour te retenir ?…tu te retiens, c’est ça ? c’est comme ça que tu fais pour prolonger ton vice ?
J’imagine aussi très bien des éjaculations non voulues se faire devant le soignant, à caractère punitif et pour donner honte de « faire ça », se toucher, le soir sous le drap… « Allez, cette fois, tu ne t’arrêtes pas avec ta main ! tu continues : fais comme tout à l’heure, et tu ne ralentis pas tes gestes…allez continue je te dis ! »
- …non…non, s’il vous plaît monsieur…je…je voudrais arrêter !
Plusieurs scénarios possibles ensuite. Ça en intéresserait certains ?
Quant à moi, je vais avoir de discrètes irritations sur la collerette du gland et à l’envers du prépuce.
Et je suis plein comme un œuf ! ça gêne, et ça fait un peu mal dans les bourses…mais je ne veux pas me délivrer maintenant…
Re: Technique Edging et Conséquences
J'aime bcp le edging, on peut avoir de très grandes sensations et orgasmes sans même éjaculer. Le fait ne pas éjaculer conduit à une forme de multi orgasme si la séance dure longtemps ,(au moins 15 mm et idéalement 1h)... C'est tout une technique, il n'y a pas que les caresses, mais aussi la respiration, les contractions du périnée... que du plaisir...