Sortilège

[lilisuna1]

Un sorcier m'a jeté un sort. Je dois errer nu, jour et nuit dans la montagne. Et chaque fois que je croise des randonneurs, ils sont envoûtés. Les hommes se précipitent sur moi et me pénètrent sauvagement pendant que les femmes regardent. Été comme hiver. Je suis insensible au froid. Je ne peux pas sortir des sentiers ou des pistes. Je dors en rond sur les graviers ou sur la neige. Même quand je dors, des passants m'attrapent et me violent. Quand je tente de fuir ils me poursuivent. Certains restent pour me violer plusieurs fois. Ils me pénètrent, jouissent mais me retiennent et me pénètrent à nouveau. Ils se battent entre eux pour me pénétrer. Ils me pénètrent, me pénètrent, me pénètrent. Ils jouissent jouissent jouissent.

[lilisuna1]

Je n'ai de répit que quand je me branle, car ils regardent, fascinés. Et j'éjacule des quantités énormes de sperme. Et les femmes se jettent au sol pour lécher ou ramasser avec les doigts et se le mettre dans la chatte. Pendant que les hommes se jettent à nouveau sur moi.

[lilisuna1]

Je suis immortel et maudit. Je cours nu à travers la forêt. Ils sont dix après moi. Je me griffe aux branches. Je trébuche et tombe dans les ronces. Je glisse et plonge dans l'eau glacée du torrent. Mes pieds sont en sang. Je tombe, ils m'attrapent. Ils me soulèvent, m'ecartellent. Me tiennent par les jambes et les bras en l'air. Ils mordillent. Me griffent. L'un me frappe avec un bâton. L'autre me relève la tête et me gifle. Ils m'aggrippent les fesses, les écartent, poussent les doigts dans mon anus, écartent encore. Le trou est béant. Ils crachent dedans. L'un d'eux me brûle avec une cigarette. Un autre tire sur les couilles.

Ils me pincent me mordent, me griffent, me frappent.

Puis ils me violent. Je suis toujours suspendu. On m'aggripe les cheveux, une bite entre dans bouche jusqu'à la gorge. Je m'étouffe. Je sens le sperme couler dans ma gorge. D'autres bites me pénètrent sauvagement le cul. Quand ils ont joui ils me frappent à nouveau et me lâchent. Je retombe au sol violemment. Et ils partent. Me laissent pour mort.

Je suis à plat ventre. Le visage dans le gravier. La joue dans le vomi de sperme. Les jambes écartées. La bite dans la boue. Un gros bâton enfoncé dans l'anus, d'où s'écoule du sperme et du sang sur les couilles et goutte dans la boue

Je suis perclus de douleurs mais quand je m'endors, tout cicatrise et ça recommence. C'est un promeneur solitaire qui me réveille. Il est doux avec moi celui là. Il retire avec précaution le bâton et me pénètre doucement. Mais il me sodomise très longtemps avant de jouir dans un grand râle. Il s'alonge à côté de moi. Me câline littéralement. M'embrasse, me lèche les oreilles. Le soleil n'est même pas encore levé. Puis il me sodomise à nouveau. Puis une troisième fois. Il aurait continué toute la journée si un groupe ne l'avait pas chassé avant de se jeter sur moi.

[Kong]

Surprenant récit. J'espère qu'il va continuer. Et peut-être qu'il finira bien.

[lilisuna1]

Tous les jours je dois courir pour essayer de leur échapper. Tous les jours j'échoue. A croire qu'ils me retrouvent d'instinct. Je me cache, ils me trouvent. Au bout de quelques mois je connais la montagne par cœur. Mais rien n'y fait. Je suis de plus en plus agile et rapide. Mais ils me tendent des pièges.

[lilisuna1]

Les mois passent. Au bout d'un moment, je me dit que ce cauchemar doit avoir un sens. J'ai vite compris que rien ne servait de fuir. Surtout que certains épisodes me font réfléchir. Une fois où j'avais particulièrement résisté. Ils m'avaient suspendu à une branche d'arbre. Par les pieds et les jambes. M'avaient bastonné et violé vraiment durement. Je m'étais évanoui, saignant comme un porc. Quand je m'étais réveillé j'étais toujours attaché. Mais remis à neuf. Par contre impossible de se détacher. Les suivants m'avaient trouvé direct. Mais ils avaient été doux comme des agneaux. Ils m'avaient détaché et carressé longuement avant de me prendre. Bon ils étaient une vingtaine. Mais j'ai réalisé qu'il ne fallait pas que je résiste.

[lilisuna1]

On est maintenant en hiver. Mais ils sont toujours aussi nombreux. A se demander d'où ils sortent. Je suis nu dans la neige jusqu'aux genoux. Impossible de fuir. Du coup ça se passe beaucoup mieux. Chaque jour je suis traité comme un objet précieux.

[lilisuna1]

Je commence à mieux observer. A défaut d'apprécier vraiment. Et c'est là que je le repère. Le sorcier. J'aurais dû le reconnaître plus tôt, si je n'avais pas paniqué à chaque fois. C'est le seul qui soit nu lui aussi. Et là tous les jours. Ils est magnifique d'ailleurs. Super baraqué. Complètement épilé. Des tatouages runiques sur tout le corps.

Et maintenant que je le reconnais, je repère son manège. Ils me prend quatre fois à chaque fois. Toujours le cul, puis la bouche, à nouveau le cul puis une autre fois la bouche. Il laisse les autres passer entre deux. Je le sens jouir. Il débande mais pas longtemps. Il a une bite énorme. Et juste parfaite. Le gland n'est pas trop gros ni trop petit. La bite parfaitement droite.

Et quand il jouit il éjacule des quantités phénomènales. Il gicle trois quatre fois. Chacune me rempli la bouche.

Et il a très bon goût aussi. Je commence à adorer.

La fois suivante je vais directement à lui. Je me baisse et prend sa queue dans la bouche. Mais il me repousse doucement, me retourne et me sodomise. Je n'allais pas dans l'ordre. C'est un autre qui me pénètre la bouche

[lilisuna1]

Je commence à comparer les goûts de sperme des uns et des autres. Mais définitivement c'est le sorcier qui a la palme. Je suis content qu'il revienne une deuxième fois pour être sucé. Et j'y mets du coeur. Je le caresse, sa peau est tellement douce. Je commence à apprécier et je vois qu'il s'en rend compte.

Je me doute que c'est la clé pour sortir du sortilège mais c'est encore flou.

J'essaie de lui parler mais chaque fois ma tête est attrapée doucement mais fermement par un gars qui me fourre sa bite dans la bouche. Et il part avant les autres.

[lilisuna1]

Je commence à comparer les goûts de sperme des uns et des autres. Mais définitivement c'est le sorcier qui a la palme. Je suis content qu'il revienne une deuxième fois pour être sucé. Et j'y mets du coeur. Je le caresse, sa peau est tellement douce. Je commence à apprécier et je vois qu'il s'en rend compte.

Je me doute que c'est la clé pour sortir du sortilège mais c'est encore flou.

J'essaie de lui parler mais chaque fois ma tête est attrapée doucement mais fermement par un gars qui me fourre sa bite dans la bouche. Et il part avant les autres.

[lilisuna1]

Un matin je re teste. Il neige à gros flocons mais je m'enfui quand ils approchent. Je saute dans la rivière et je nage dans le courant. Ils doivent me suivre plus d'une heure pour m'attraper. C'est un déchaînement. Je le vois qui sourit. Les autres ont tous pris des branches et me frappent, me griffent, me giflent. Pendant que l'un me pénètre les autres continuent de me passer à tabac. Je finis en croix contre un arbre, solidement attaché avant d'être battu à mort. Mon dos est lesardé et saigne abondamment. Et bien sûr la branche la plus grosse terminé dans mon anus.

J'ai tellement mal aux bras que je m'évanouis. Il est midi quand je me réveille par un autre groupe qui commence par me détacher et retirer le bâton. C'est rare d'avoir deux fois la même journée. En tout cas j'ai ma réponse.

[lilisuna1]

Le sort est très puissant en tout cas. Je devrais être mort. De froid. De faim. C'est l'hiver il n'y a rien à manger et pas moyen d'approcher d'une maison habitée sans être pris en chasse. Je m'ennuie ferme mais je profite. J'ai rêvé si longtemps de vivre nu par tous les temps. Je ne sens pas vraiment le froid. Quand je suis seul je me caresse. Ma peau est incroyable. Et quand je jouis je me rends compte que la quantité est anormalement grande, comme pour lui. Ça doit faire partie du sort. Mais j'ai l'impression de n'être jamais satisfait. Je peux me branler dix fois et avoir toujours envie. Je me rends compte que je les attends avec impatience.

Autre partie du sort : je n'ai jamais mal quand ils viennent (si je n'ai pas résisté). Après vingt, trente pénétrations j'en reveux encore. Je déborde mais je n'ai pas mal.

[Kong]

Et ensuite ?

[lilisuna1]

L'été revient. Ce qui a changé c'est que je n'ai plus peur. Chaque jour j'attends un nouveau groupe affamé de moi. C'est grisant.

Et ce qui change c'est que maintenant, quand je les vois arriver, je bande. Et je vois que ce changement plaît au sorcier. Les autres sont comme fascinés par ma trique et n'osent pas me toucher. Il vient vers moi, me caresse la verge, les couilles. Je lui réponds en titillant ses tétons.

Il me branle. Je lui jouis dessus. Alors je débande momentanément et les autres viennent à moi.

Mais j'ai enfin l'occasion de lui parler.

[lilisuna1]

- qui êtes vous ?

Il a entouré ma verge de sa main et découvert le gland.

- tu peux me tutoyer je crois. Nous avons passé la barrière des politesses non ?

- qui es-tu ?

Son autre main manipule mon gland lentement.

- vois en moi un génie qui as exaucé ton voeux le plus fou : le sexe infini.

Il titille mon prépuce

- pourquoi moi

Je jouis

Les autres sont sur moi. Les goûts défilent.

Décidément j'adore aussi les différents types de glands sur ma langue.

[lilisuna1]

La fois suivante, je me contrôle un peu plus longtemps.

- quel est le but de tout ça ?

Il me décalotte. Me masse le gland.

- à toi de le découvrir...

- j'ai l'impression de vivre un rêve éveillé. J'ai mis du temps à m'en rendre compte. Ce qui me semblait un cauchemar me comble aujourd'hui. Tu as fait de moi une sorte de dieu du sexe.

- exactement

Sa main englobe les couilles. Son majeur s'enfonce dans mon anus.

- mais pourquoi moi ?

Le pouce sur le gland, l'index sous le prépuce il fait rouler le gland comme une petite boule.

- pourquoi moi ?

Je jouis

[lilisuna1]

Quand l'ennui s'installe un peu, je me mets à jouer. A cache cache. Je me laisse prendre par un premier puis je cours me cacher. Ils me rattrapent, me frappent un peu mais je joue à nouveau le jeu, je les suce comme un fou. Puis je fais semblant de me débattre, je prends des coups de bâtons et des branches dans le cul. La douleur fait partie du jeu. J'aime qu'ils me griffent, me mordent, me violent.

Je fais aussi en sorte de tomber de nouveau sur des randonneurs. En dehors des parties organisées par le sorcier. Je sens que ça le rend jaloux. Je baise toutes les femmes. Je suce tous les hommes. Ça le rend dingue. La séance d'après est plus violente même si je ne fuis pas. Je me rends bien compte que j'adore ça. J'ai une sorte de pouvoir sur lui.

Il se dépasse : ils sont plus de trente. Je voudrais qu'ils soient mille. La région entière est passée dans mon cul. Je connais le goût de chaque homme à cent kilomètres à la ronde.

[lilisuna1]

Un jour où ils étaient moins nombreux, j'ai pu m'adresser à lui encore :

- Je voulais te remercier.

- pourquoi ?

- d'avoir réalisé mon phantasme le plus fou : être nu en permanence et servir d'objet sexuel à des milliers de personnes !

- je suis content que ça te plaise.

-autre chose...

-quoi ?

- je crois que je suis amoureux

- de qui ?

- bah de toi idiot.

Il m'a regardé longtemps puis m'a saisi et embrassé fougueusement.

Ensuite il s'est baissé et m'a sucé doucement.

[lilisuna1]

Il m'a expliqué pourquoi il s'était intéressé à moi

- je t'ai vu sur un chemin, plusieurs fois. Tu étais nu. Tu te masturbais.

-tu es même passé devant moi. Je le souviens.

- oui. C'est là que je suis tombé amoureux moi.

- et je me souviens d'un rêve agité. Où j, étais poursuivi par des centaines d'hommes nus. Tu étais là aussi.

- c'est là que j'ai décidé de te lancer ce sort.

- merci. J'aimerais que çà dure. C'est possible ?

- bien sûr. Je voudrais te montrer mon antre. Mais je dois te prévenir. Tu ne sera pas seul.

- est-ce que j'aurai ton sperme chaque jour ? Comme aujourd'hui ?

- bien sûr. Je n'ai pas délaissé les autres pendant tout ce temps !

- nous sommes combien ?

- cinq