Je rêve de lancer une secte dédiée à mon petit cul. Elle aurait des centaines de fidèles. Ils devraient être chastes pour garder toute leur semence exclusivement pour moi. Et a l'issue de rituels complexes, ils obtiendraient le droit de me pénétrer chacun leur tour et de m'innonder, de me remplir. Dans d'autres rituels ils auraient l'insigne honneur d'être sucés par moi. Je pourrais les torturer à loisir en les masturbant plusieurs fois de suite, sans jamais en perdre une goutte bien sûr. Et une fois par mois il y aurait une fête spéciale où ils devraient tous ensemble se branler sur moi. Je serais nourri essentiellement au sperme.
Ils devraient être particulièrement en forme, suivre un régime alimentaire particulier pour pouvoir tenir le rythme et m'honorer une fois par jour.
Et pour moi : cent bites par jour. Cent giclées de sperme.
Mon trou en objet de culte.
La secte de mon petit cul
Re: La secte de mon petit cul
Déroulé d'un rituel :
La salle est comblé. Tout le monde tourné vers la scène sur laquelle attendent une dizaine d'assistants. Habillés de toges de couleurs. Ils préparent l'hôtel matelassé. J'arrive en peignoir d'or, nu pieds. Je fais un sermon auquel la foule répond en choeur. Les fidèles sont aussi en toges mais grises. Je me place devant l'hôtel. Les assistants m'otent le peignoir. Je suis nu. Ils me soulèvent et me placent sur l'hôtel, sur le dos, les fesses vers la salle en repliant mes jambes. Ils me caressent. Deux me lèchent les tétons. Deux me tiendront les jambes repliées toute la cérémonie. Un autre me prépare l'anus en le léchant doucement. La salle chante. Puis il applique une crème. Puis chaque fidèle monte à son tour sur la scène et vient me livrer sa semence. Chacun doit à son tour lécher, appliquer de la crème puis s'enfoncer en moi avant d'aller et venir le temps qu'il faut à la libération du don. Plus ça va plus ils lèchent de sperme. Le trop plein s'écoule malgré tout dans une coupelle tenue par l'un des assistants. Quand elle est pleine, il me l'a donne. Et je peux la boire. Puis on continue. A la fin les assistants doivent se branler dans la coupole et me la tendre. Aucun n'a eu le droit de toucher ma bite. En même temps j'ai pu jouir plusieurs fois par les coups de boutoirs répétés sur la prostate. Seuls les grands assistants, ceux qui sont en charge de tenir mes jambes ont le droit de lécher le sperme tombé sur mon ventre. Les deux assistants qui me lèchent en permanence les tétons n'y ont pas droit. D'autres ont le droit de me lécher les pieds. Sucent mes doigts.
La salle est comblé. Tout le monde tourné vers la scène sur laquelle attendent une dizaine d'assistants. Habillés de toges de couleurs. Ils préparent l'hôtel matelassé. J'arrive en peignoir d'or, nu pieds. Je fais un sermon auquel la foule répond en choeur. Les fidèles sont aussi en toges mais grises. Je me place devant l'hôtel. Les assistants m'otent le peignoir. Je suis nu. Ils me soulèvent et me placent sur l'hôtel, sur le dos, les fesses vers la salle en repliant mes jambes. Ils me caressent. Deux me lèchent les tétons. Deux me tiendront les jambes repliées toute la cérémonie. Un autre me prépare l'anus en le léchant doucement. La salle chante. Puis il applique une crème. Puis chaque fidèle monte à son tour sur la scène et vient me livrer sa semence. Chacun doit à son tour lécher, appliquer de la crème puis s'enfoncer en moi avant d'aller et venir le temps qu'il faut à la libération du don. Plus ça va plus ils lèchent de sperme. Le trop plein s'écoule malgré tout dans une coupelle tenue par l'un des assistants. Quand elle est pleine, il me l'a donne. Et je peux la boire. Puis on continue. A la fin les assistants doivent se branler dans la coupole et me la tendre. Aucun n'a eu le droit de toucher ma bite. En même temps j'ai pu jouir plusieurs fois par les coups de boutoirs répétés sur la prostate. Seuls les grands assistants, ceux qui sont en charge de tenir mes jambes ont le droit de lécher le sperme tombé sur mon ventre. Les deux assistants qui me lèchent en permanence les tétons n'y ont pas droit. D'autres ont le droit de me lécher les pieds. Sucent mes doigts.