C' était à la fin des années soixante...
Mes parents m’avaient appris depuis tout petit à ne pas mettre de sous-vêtements quand j’étais à la maison, et surtout jamais de slip en été lorsque j’étais en shorts.
Ils me disaient de fermer les jambes pour que les petites affaires ne soient pas exposées ou ne sortent pas malencontreusement par la jambe du short. Cependant , il est arrivé que les gens puissent aisément voir l’intérieur de mon entrejambe . Des camarades de l'époque me l'ont parfois fait remarquer , mais je ne me souviens pas qu'un adulte autre que mes parents ait dit quoi que ce soit.
Aujourd'hui, cela n'arrive plus, car les shorts sont beaucoup plus longs qu'avant. Et en pantalon ou en jean, aucun problème.
Par le passé, l'exhib accidentelle était toujours quelque chose que tout le monde considérait comme amusant.
Vers 9 ou 10 ans, j’étais plus souvent sans slip qu’avec ; en dehors de l’école, ça ne gênait pas du tout mes parents, ils y étaient même favorables.
Il m’arrivait à cette époque de prendre le bus de ville avec ma mère, puis assez vite, seul.
Quoi qu'il en soit, prendre le bus sans sous-vêtements n'était pas un problème pour mes parents, ni pour eux-mêmes, ni pour leurs enfants.
Un jour, dans un bus très bondé, j'étais assise face à face avec ma mère. À un moment donné, j'ai offert ma place à un vieux monsieur, ce qui a plu à maman . Le bus oscillait beaucoup et je devais m'étirer pour m'accrocher à la main courante le long du toit du bus. Ce monsieur avait une petite conversation avec maman qui lui faisait face sur le siège d'en face, mais il n'arrêtait pas de me sourire en me regardant en coin.
Il m'a fallu un certain temps avant de réaliser qu'en m'étirant pour atteindre la barre sous le toit du bus, j'avais remonté la jambe de mon short plus que de raison. Je lui offrais un joli petit spectacle presque sous son nez. Je portais régulièrement à l'époque des lederhosen, ces culottes de cuir allemandes ou tyroliennes, qui étaient très pratiques pour ma mère et pour moi. Mais elles étaient plutôt courtes et larges au niveau des jambes. J'ai rougi et j'ai désespérément tiré plusieurs fois sur le revers de mon short en le rabattant avec ma main libre pour essayer de le faire descendre et de me couvrir. Il a souri et m'a fait un clin d'œil.
Comme elle savait que je n'avais pas de slip en quittant la maison, maman, qui avait remarqué ce mini spectacle au revers de mon short en cuir, et détourné la tête, ne m'a pas grondé à la sortie du bus pour cette exhib involontaire et n'en a jamais parlé.
Concernant ces trajets en bus , j'ai un autre souvenir du même genre, un peu plus chaud, encore une histoire de culottes tyroliennes, on voyait quelque garçons en porter en France.
C'était dans les mêmes années, je prenais ce jour-là le bus seul. Je portais encore des shorts tyroliens en cuir. Maman m'en avait acheté de nouveaux depuis l’anecdote racontée plus haut. Courts au standard d’aujourd’hui, ils avaient bien sur été achetés trop grands pour moi à la taille et en conséquence à l'ouverture des jambes pour qu'ils durent longtemps, plusieurs années, c'était comme ça à l'époque. Mais une ceinture réglait le problème de taille et maintenait la culotte bien en place. J'aimais bien ces nouveaux shorts, trop larges aux jambes qui me laissaient bien libre de mes mouvements, et comme à mon habitude je n’avais jamais rien dessous. . .
Il n'y avait presque personne dans ce bus. Un garçon, un peu plus âgé que moi, quelque chose comme 16 ans, est monté dans le bus et, après une marche rapide et décidée, s'est assis juste en face de moi.
Je m'en souviens vraiment parce qu'il portait une sorte de chemise de scout, ouverte sur son torse bronzé, sans maillot de corps, enfilée dans des lederhosen retenues par un ceinturon à grosse boucle, des gros brodequins aux pieds. Ses culottes tyroliennes étaient courtes et bien larges, ressemblaient aux miennes, mais en encore plus grand. Elles étaient déjà bien marquées et patinées, avec un aspect destroy et sauvage, pour ne pas dire sexy. Cela sentait le vécu alors que les miennes étaient encore quasiment neuves.
.... Et en dessous de ces shorts, il était à poils, comme moi !.
Je m'en suis très vite rendu compte à chaque fois que le bus passait sur un nid de poule, lorsque la tête du serpent qu'il avait oublié de cacher, sortait des revers de son short. Il ne serrait pas ses jambes qui restaient naturellement écartées, . Les larges ouvertures des jambes de ses culottes de cuir avaient leur rôle dans cette exhibition volontaire ou non .
Les shorts en cuir de l'époque avec leurs revers rigides en double épaisseur étaient traitres pour cela, je le savais et je pensais à ma propre culotte et à ce qu’il y avait dedans. J'étais comme ce scout. Devais-je garder les jambes bien fermées ou les écarter pour lui faire voir que j’étais comme lui, rien dessous ?
J'étais fasciné par le spectacle de sa bite molle qui glissait lentement à travers l’ouverture de la jambe de son short, se montrant de plus en plus à chaque choc de nid-de-poule. Mes yeux ne pouvaient se détourner de son entrejambe.
Je ne savais pas quoi faire. Mes sentiments étaient partagés entre l’idée de montrer à ce garçon que j'étais comme lui, - pas de slip sous les lederhosen - en ouvrant mes jambes pour qu'il puisse avoir un aperçu de mon entrejambe, et d'un autre côté, j’avais le complexe que ma bite lui paraisse minuscule comparée à son serpent qui me semblait énorme. Par conséquent il me fallait alors rester sans bouger pour lui cacher mon petit ver de terre.
Je commençais cependant à bander sérieusement et j’ai tiré en avant le devant de mon short d’un geste brusque pour me décoincer la bite.
J'ai finalement dû me lever pour descendre du bus avant de trancher le débat d’écarter franchement les jambes ou non, pour lui faire voir.
Je me rappelle, que, malgré la culotte trop grande, j’avais une belle bosse devant en me levant. Mon engin était resté en travers, coincé sous le cuir. Je vis alors qu’une dame me regardait curieusement.
Une fois descendu, l’air frais aidant, je repris mes esprits, sans m’en rendre compte. Je pensais à autre chose, et ma bite retomba quasiment instantanément dans sa position normale. Là encore, ne pas avoir de slip était bien agréable.
Cependant, assez vite, j’ai eu une impression d’humidité au niveau de la jambe gauche. Effectivement, j’avais suinté. En passant la main, le cuir était bien humide et visqueux à l’intérieur, et ma bite perlait encore, mais rien ne se voyait de l’extérieur. C’était bien là l’essentiel. Cela devait m’arriver d’autres fois.
J’allais passer l’après-midi chez un bon copain qui m’avait toujours connu comme ça, avec mes culottes de cuir. Ce jour-là, il ne s’est jamais douté de mon émoi dans le bus et je ne lui en ai évidemment pas parlé.
Il faisait quand même partie des quelques rares gamins qui savaient que je ne mettais pas de slip. Parlant de cela un jour, alors que par terre chez lui, j’avais les jambes bien écartées, le petit matériel apparent, il m’avait dit qu’à mon exemple ça lui arrivait de plus en plus de ne rien mettre le matin sous ses jeans, à l’insu de ses parents.
Ces suintements séchèrent très vite, avant que je ne rentre à la maison. Le soir, en retirant ma culotte, il y avait une belle plaque argentée à l’intérieur de ma jambe gauche de short, depuis la fourche jusqu’au revers.
Vite fait, bien fait, discrètement à la salle de bains, un bon coup d’éponge bien humide et savonneuse, rincer, et c’était bon pour le lendemain, plus de traces blanchâtres.
Le matin, le cuir était encore humide et froid en enfilant la culotte, mais les parents n’ont jamais rien remarqué, cette fois-là ou durant les années suivantes lorsque cela m’arrivait. Un autre avantage de ces shorts en cuir.
Les jeans étaient moins pratiques pour ça, il fallait frotter vite à l’intérieur avec un mouchoir avant d’avoir une belle tache devant, surtout avec des jeans clairs.
Ado , dans le bus
Re: Ado , dans le bus
C'est du freeballing, l'ai pratiqué aussi avec des shorts de sports courts où en jean. Par chance pas pris en flagrant délit! par des non initiés et aussi ne bandais ni suintais en terrain neutre... l'excitation venait quand j'étais avec des amis ayant les mêmes sensibilités!......
Re: Ado , dans le bus
Eric a écrit : ↑jeu. 23 mars 2023, 22:36
C'est du freeballing, l'ai pratiqué aussi avec des shorts de sports courts où en jean. Par chance pas pris en flagrant délit! par des non initiés et aussi ne bandais ni suintais en terrain neutre... l'excitation venait quand j'étais avec des amis ayant les mêmes sensibilités!......
Il y a quelques années je ne connaissais pas l'expression de freeballing avant internet. Et même en Anglais, ce terme est relativement récent, une vingtaine d'année. "To go commando" est un peu plus vieux, guerre du Vietnam ? Toujours est il qu'en Français, il n'y a pas d'expression pour recouvrir cette pratique, c'est donc que la pratique est moins courante que chez nos amis Américains ou Anglais.
Sinon, il y aurait en argot un mot ou une expression pour.
A la maison, maman disait "tu n'as qu'à mettre ta culotte juste comme ça". Ça voulait dire pas de slip dessous.
Bien qu'ayant été adepte et pratiquant toute ma vie jusqu'à ce jour , je n'ai jamais été pris non plus en flagrant délit par quelqu'un d'agressif et que cela tourne au vinaigre et tombe dans l'attentat à la pudeur .