Itou, jamais de pollution nocturne pour moi, c'est un peu frustrant de savoir que je ne saurai jamais l'effet que ça fait....(trop vieux maintenant)
J'en ai eu un paquet entre 12 et 16 ans en gros. Généralement avec un rêve érotique puis je giclais sans vraiment m'en rendre compte. Je ne savais pas si je jouissais dans mon rêve ou dans la réalité. Je sentais rapidement mon ventre chaud et poisseux, et je comprenais.
J'essuyais le plus gros du sperme (à cet âge, c'est très liquide donc c'est facile) et je me rendormais.
Après des rêves érotiques (parfois d'un réalisme bluffant) j'en fais encore, et même avec parfois des sensations d'orgasme, mais je ne crache jamais rien (mais après tout finalement c'est pas plus mal, ça économise un nettoyage lol)
Merci, mais je ne me sentais pas vraiment veinard en ce temps-là.
Pollution nocturne ça signifiait réveil brutal en pleine nuit, et devoir se rendormi dans un pyjama humide et qui devient froid. Et surtout, j'étais assez frustré car j'aurais pris davantage de plaisir avec une bonne branlette.
Incapable de me souvenir des ages mais dans l'ordre:
- premières érections sèches suivies de caresses sèches aussi
- recherche de comparaison avec les copains ( mises à l'air ou volontariat).
- visites chez le pédiatre qui me décalotte, me palpe les bourses
- visites médicales à l'école avec palpations verge et bourses
- intérêt pour les seins, les fesses et les poils des femmes à la plage ( dont ma mère).
- un soir, la caresse va plus loin, je jute, je m'essuie dans un mouchoir
- tous les soirs, je remplis le mouchoir qui cartonne dans la table de nuit....
- premières vacances d'été suivantes, je retrouve mon copain, branleur à sec, et pour la première fois nous jutons ensemble
- les catalogues de la Redoute et des Paris Hollywood ( magazine de charme, les filles ont le pubis redessiné et occulté...). Du jus, du jus...
- premières sorties avec des filles, bizoux mais on ne touche à rien
- les mecs c'est mieux, séances de branle chez un pote, dans les toilettes ou dans sa chambre
40 ans après, je bande encore en écrivant çela et quand un(e) partenaire accepte un jeu de rôle, cela commence toujours par " imagine que je suis ado...."
Yop_31 a écrit : ↑dim. 06 juin 2021, 14:10 Itou, jamais de pollution nocturne pour moi, c'est un peu frustrant de savoir que je ne saurai jamais l'effet que ça fait....(trop vieux maintenant)
Scincerement tu perd rien du tous, j'en ai eux pas mal ... et j'en ai toujours de temps de temps ... et franchement c'est quand meme penible de se reveiller le calecon tremper, ou carrement la couette et les draps quand je dors nus.
Des fois je me reveilles je me reveilles juste au moment de l'ejaculation et la ya quelque secondes agreable, mais a majoritée du temps, je me reveilles apres et ya jute l'impression d'etre trempée.
Et je te parles pas des fois ou ca arrives evidemment quand tu dors chez quelqu'un ... ou avec une fille ... et comme je fais beaucoup de calin, on dors souvent l'un contre l'autre, elle s'en prend aussi sur elle ... et on est alors deux a devoir se nettoyer ... youpie
Merci à tous pour vos retours, et aussi pour ces intéressantes discussions annexes sur les petits détails techniques de nos grandes occupations! Le pyjama cartonné, oui, tiens! c'est un détail que j'aurais pu mettre dans mon témoignage, ça me parle! Et les pollutions nocturnes à une époque, les mouchoirs à portée de main, l'odeur, autant de souvenirs! J'ai de la chance: aujourd'hui mon sperme ne sent presque plus. J'aime juste sentir l'odeur agréable du précum sur mes doigts quand j'ai fini ma petite séance. La seule odeur un peu forte dont je pourrais craindre qu'elle me trahisse c'est plutôt celle de ma transpiration, mais bon! je crois que ça ne diffuse pas dans toute la chambre. Je suis bien content en tous cas d'avoir provoqué tant de souvenirs ou de confidences chez certains!