— Vers mes 5-6 ans : Je n’ai que très peu de souvenirs de cette époque, mais je me rappelle que je prenais mon bain avec un frère de 4 ans plus âgé que moi. Je jouais à tirer sur mon zizi. Je ne sais pas comment était le sien, mais forcément il y avait une sorte de curiosité sans arrière-pensée, et des jeux sans en avoir l’air, avec notamment, là le souvenir en est clair, l’habitude de tirer sur mon prépuce. C’était amusant, ça faisait rire et même si la sensation ne rayonnait pas, je la ressentais au moins là où je touchais, légère, plaisante.
L’habitude de tirer sur mon prépuce :
— Vers 6-7 ans : Il y avait beaucoup de pudibonderie dans ma famille, mais l’aîné a eu 15 ans quand je n’en avais encore que 6… Cela a dû éveiller un peu ma curiosité, mais je ne me souviens de rien de précis.
— Vers 7-8 ans : Tout nu dans ma chambre, quand je me déshabillais avant de me coucher ou bien que je venais de prendre mon bain et que je n’avais pas encore mis mon pyjama, je jouais à faire tressauter ma petite saucisse. Et quand j’étais en pyjama, ce morceau de chair ballotant, même encore petit, ne pouvait pas ne pas se faire remarquer sous le tissu large et j’aimais le tripoter à travers le tissu. J’ai toujours aimé aussi retirer les petits bouts de peau sèche sous mes pieds, mais là, ce truc sensible au milieu du corps à portée de ma main, rien à faire, j’y revenais toujours.
Je jouais à faire tressauter ma petite saucisse :
— Vers mes 8-9 ans : J’ai un souvenir très précis qui témoigne de ma curiosité pour le sexe des autres garçons. À l’école, nous nous sommes retrouvés, mon meilleur ami et moi, ensemble dans un des toilettes pour nous montrer notre attirail. Malheureusement, aucun de nous deux n’a osé être le premier à le faire, du coup nous sommes restés avec notre désir frustré. Je me demande si à cette époque mon petit boudin s’allongeait parfois…
Aucun de nous deux n’a osé être le premier à le faire :
— À 10 ans : Je me souviens de vacances à la mer. Cette fois, mon frère de 14 ans, avec lequel j’étais très proche, ne pouvait pas ne pas m’intriguer par les transformations de son corps. Je ne le revois pas tel qu’il était alors, mais je sais que ce qui me préoccupait, c’est le slip de bain bien serré, mode de l’époque, que je devais porter à la plage. Ce maillot n’avait pas une taille basse mais il me paraissait bien trop petit pour cacher une érection. J’avais alors des érections car je me demandais bien comment faisaient les autres: fallait-il se retrouver avec une bosse asymétrique et allongée sur le devant, bien difficile à cacher, ou pire encore une sortie du maillot? Avoir une érection en public, cela me semblait juste pas possible, comme quelque chose de très mal. N’importe! En privé, à l’abri des regards, je commençais à caresser cette bosse sur le devant de mon maillot et je trouvais ça bien agréable à travers le tissu.
Caresser cette bosse sur le devant de mon maillot :
— 10-11 ans : Je crois que c’est à cette époque que j’étais très curieux de consulter discrètement les pages des sous-vêtements féminins et masculins du catalogue des 3 Suisses. Je ne me contentais plus d’érections accidentelles. Je recherchais ces sollicitations visuelles et ces rêveries qui me durcissaient ma petite queue. Et le durcissement une fois venu, qu’est-ce que je faisais? Je ne sais pas très bien, mais je pense que je me caressais à travers le pantalon. Et le soir cela commençait à alimenter mon excitation: je regardais et palpais fièrement mon propre paquet bien serré dans le slip.
Les pages des sous-vêtements masculins :
— 12 ans : Je me rappelle que les sujets touchant à la sexualité pouvaient être parfois évoqués par des camarades dans une discussion, mais il n’y avait jamais aucune indication sur ce que pratiquait lui-même le garçon qui parlait. Et on ne montrait rien. Seul à la maison, je prenais maintenant régulièrement du plaisir en me touchant, m’observant, m’explorant…
Du plaisir en me touchant, m’observant, m’explorant :
— 13 ans : Au début de cette année-là, j’ai essayé un temps une activité dont la tenue était une combinaison moulante en lycra. Mon éducation était telle qu’au lieu d’être fier de la bosse que j’avais à l’entrejambe, j’en ressentais au contraire de la gêne. Toujours en public du moins, car à la maison je me revois très bien essayant la tenue avec une trique d’enfer, que je contemplais devant la glace, magnifiquement dessinée en relief sur l’avant de cette tenue étrange. Et je l’ai longuement caressée, en me regardant ainsi, médusé. Cela me procurait une tension nouvelle pour moi, dans ma hampe et autour de mon sexe, qui s’intensifiait de façon incroyable et extrêmement agréable. En y repensant, je crois que j’ai eu là mon premier orgasme, mais sans le savoir, ou en tous cas l’un de mes premiers orgasmes, à sec, car la première éjac viendrait quelques semaines ou quelques mois plus tard.
Je me revois essayant la tenue avec une trique d’enfer :
— 13 ans toujours : Ah mon éducation! Parlons-en maintenant. C’est durant cette année-là qu’on m’a mis entre les mains un vieux livre d’éducation sexuelle d’inspiration religieuse qui retardait d’une génération… Beaucoup d’interdits, d’idées confuses et absurdes à ne pas mettre dans la tête d’un jeune garçon, de culpabilité… L’acte sexuel y était décrit comme "l’intromission du pénis de l’homme dans le vagin de la femme"… Je crois que j’ai réussi à comprendre de quoi il s’agissait, ô miracle! Mais nom de nom! quelle poésie! Peu après, j’avais ma première éjac, racontée dans le topic: Simple découverte à treize ans
Peu après, j’avais ma première éjac :
— 13-14 ans : Dès lors j’ai commencé à me branler régulièrement, sans avoir jamais appris. J’ai essayé les "fausses" pollutions nocturnes, c’est-à-dire que je faisais exprès d’éjaculer dans le lit en me frottant à plat ventre sur le matelas. C’était merveilleux. Jusqu’au jour où ma mère m’a fait remarquer que mon grand-frère ne tachait pas aussi souvent ses draps… Puis je l’ai fait aux toilettes avec la prise du poing, un peu vite parce que je ne pouvais pas alerter mes parents par de trop longs séjours en ce lieu réservé. Je me suis longtemps rappelé cette odeur spéciale des toilettes et de leur désodorisant chaque fois que je me branlais par la suite. Puis ce souvenir s’est finalement effacé. Ce que je faisais surtout, c’était m’inspecter longuement, assis sur ou dans mon lit, ou bien encore par terre au milieu de la chambre comme lors de ma première éjac, ou encore devant le miroir… Je crois que j’ai vraiment beaucoup aimé ces longs préliminaires. Et seulement quand j’étais trop excité, alors je rejoignais les toilettes. Je ne sais plus à partir de quel âge, j’ai fini par faire ça tranquillement dans ma chambre en essuyant après-coup le sperme avec un mouchoir, ou bien avec un essuie-tout que j’emprisonnais soigneusement d’une boule de papier froissé avant de le mettre à la corbeille, histoire de ne pas laisser d’indices de mon activité secrète.
Dans le lit en me frottant à plat ventre sur le matelas :
Puis je l’ai fait aux toilettes :
À suivre (dans la catégorie "Récits et expériences mémorables") : Autobiographie d'un branleur (partie II)
lépicurien