Bonjour,
Je voulais vous faire part d'une 1er fois. Et oui dans la masturbation ce qui est bien c'est que année après année, on découvre toujours quelque chose
Pour la 1er fois et sans le vouloir vraiment (Dieu sait si j'avais déjà essayé par le passé) j'ai pu contrôler mon Ejaculation. Sentir l'ejac venir... Le sperme monter et contracter tellement fort, que seulement un peu de liquide remonte et coule le long du gland... Et surtout garder son excitation...Mes longues séances de branle m'avais jusqu'ici seulement permis de jouer avec mon précum... Mais jamais de réussir ce contrôle. j'ai réussi deux ou fois je sais plus avant de succomber a une magnifique Ejaculation ^^
Stop and Go
Re: Ejac ou pas...
Oui ça demande beaucoup de pratique et de maîtrise de soi, mais j'ai réussi aussi pour le première fois il y a quelques années. Depuis je l'ai refait plusieurs fois mais c'est pas pour autant que c'est facile à gérer à chaque fois qu'on le souhaiterait ! 
Re: Ejac ou pas...
Je fais ça depuis très longtemps, des années, je ne sais plus.
Les femmes en sont ravies ! beaucoup trop d'hommes, m'ont-elles dit, ne savent pas se retenir, et les frustrent sans l'avoir voulu de plaisirs que certaines aiment prolonger.
Dans mes jeux solitaires, quand je sens qu'à me caresser encore va provoquer la sortie du sperme, j'arrête et attends de me calmer, quelques minutes tout au plus. Puis je reprends mes caresses, jusqu'à devoir les cesser à nouveau.
Avec de l'expérience, on peut faire ça très longtemps, ainsi que certains le confient sur ce site et sur d'autres sites.
Cette façon du plaisir masturbatoire s'appelle le "edging", terme ignoré de beaucoup encore.
Pour ma part, je peux faire ça en me masturbant à plusieurs reprises un même jour; quand on arrête, on se sent "plein", sensation agréable et dérangeante tout à la fois. Et dés qu'on reprend la masturbation, assez vite on sent une forte envie se faire, envie d'éjaculer, de jouir pour se vider et que ça fasse du bien...et continuer à se masturber dans ces conditions-là fait vite se sentir "les couilles pleines", avec une grosse envie de tout cracher, de faire sortir tout le jus qu'on a !
Souvent, quand j'attends plusieurs jours parfois dans cette rétention, l'envie est lancinante "sous masturbation", et quand je résiste au plaisir de me délivrer - ce qui finit par arriver bien sûr - mon plaisir suprême serait de venir dans cet état, voir un homme adepte de masturbation à donner et aimant la contemplation de l'éjaculation d'un autre homme que lui...
je viens chez lui, "pour ça", il sait de quoi il s'agit et ce qui faut me faire; je ne me suis pas masturbé depuis plusieurs heures et suis donc "calme" quand j'arrive; mais bien vite, aux premières palpations après avoir dû me mettre nu, mon état et ma situation sexuelle sont révélés...et commentés de manière gentille mais très crue !
J'ai beaucoup de plaisir à regarder des vidéos ou des femmes se caressent mutuellement, se livrent chacune sur l'autre à des caresses qui procurent du plaisir, ce qui se voit. Je me dis donc qu'entre hommes, il s'agit de la même chose dans la recherche du plaisir sexuel
Alors devant cet autre homme chez lequel je veux, je dois, passer, masturbé, je me retire des doigts trop efficaces sur mon intimité.
La séance de masturbation subie dure un bon moment, puis on finit par devoir m'attacher pour m'empêcher de pouvoir résister à l'éjaculation qu'on veut que j'aie pour me soulager.
Evidemment, à la fin je suis obligé de montrer ce qui m'arrive, et qu'on veut que je fasse; je suis masturbé, on me branle doucement et on m'oblige à jouir pour que j'éjacule même si je ne le veux pas. Juste avant, on me dit que je ne dois pas continuer à me retenir comme je le fais, que je dois "dégorger", comme tout homme en bonne santé, que j'en ai besoin et que ça va me faire du bien....on me conduit devant un miroir en me disant qu'il est mieux de me rendre compte de ce qu'on doit me faire.
Ca va très vite alors pour moi : debout, nu, mains attachées dans le dos, à un bon mètre de ce miroir, pour que je ne bouge pas quand on va me faire ce qu'il me faut mes jambes sont emprisonnées entre les jambes de cet homme, assis, chez lequel je me rends; mon érection est très forte et se voit parfaitement, mon gland, sorti, est enduit de précum. On me masturbe doucement, les doigts s'agitant tout autour de la couronne du gland, tantôt décalotté, tantôt dans son étui de chair; j'entends dire : "Bon, allez, maintenant : tu es prêt et ça va te faire du bien "
Les doigts sont ôtés de ma verge tendue, je respire plus fort, sachant ce qui va arriver, ce qu'on va me faire de très intime pour un homme.
Je sens qu'on passe une main entre mes fesses, qu'un doigt s'insinue dans ma raie, cherche, trouve, en descendant lentement mon petit trou. On m'a lubrifié là, juste avant de me conduire devant le miroir; on me rentre doucement un doigt dans l'anus, on l'enfonce dans mon derrière; on me masturbe à nouveau, doucement ! en faisant saillir bien fort mon gland à chaque caresse descendant le long de ma verge, et quand je sens qu'on remue en moi doucement le doigt qu'on m'a rentré entre les fesses tout en continuant la masturbation qu'on me fait, en moins d'une minute je suis calmé après avoir éjaculé de toutes mes forces pour me vider de toute ce sperme que je retenais en me masturbant dans les jours précédents; avec les doigts, en me faisant jouir pour me faire bien cracher tout ce que j'avais dans le ventre et les couilles , je fais ce qu'on attendait de moi en montrant que je me vide bien complètement au terme de longues masturbations solitaires, "abusives", a-t'on pris plaisir à me dire....
Cette rédaction m'a mis dans un bel état ! je crois que je devrais me délivrer, ce serait mieux, sinon...
Les femmes en sont ravies ! beaucoup trop d'hommes, m'ont-elles dit, ne savent pas se retenir, et les frustrent sans l'avoir voulu de plaisirs que certaines aiment prolonger.
Dans mes jeux solitaires, quand je sens qu'à me caresser encore va provoquer la sortie du sperme, j'arrête et attends de me calmer, quelques minutes tout au plus. Puis je reprends mes caresses, jusqu'à devoir les cesser à nouveau.
Avec de l'expérience, on peut faire ça très longtemps, ainsi que certains le confient sur ce site et sur d'autres sites.
Cette façon du plaisir masturbatoire s'appelle le "edging", terme ignoré de beaucoup encore.
Pour ma part, je peux faire ça en me masturbant à plusieurs reprises un même jour; quand on arrête, on se sent "plein", sensation agréable et dérangeante tout à la fois. Et dés qu'on reprend la masturbation, assez vite on sent une forte envie se faire, envie d'éjaculer, de jouir pour se vider et que ça fasse du bien...et continuer à se masturber dans ces conditions-là fait vite se sentir "les couilles pleines", avec une grosse envie de tout cracher, de faire sortir tout le jus qu'on a !
Souvent, quand j'attends plusieurs jours parfois dans cette rétention, l'envie est lancinante "sous masturbation", et quand je résiste au plaisir de me délivrer - ce qui finit par arriver bien sûr - mon plaisir suprême serait de venir dans cet état, voir un homme adepte de masturbation à donner et aimant la contemplation de l'éjaculation d'un autre homme que lui...
je viens chez lui, "pour ça", il sait de quoi il s'agit et ce qui faut me faire; je ne me suis pas masturbé depuis plusieurs heures et suis donc "calme" quand j'arrive; mais bien vite, aux premières palpations après avoir dû me mettre nu, mon état et ma situation sexuelle sont révélés...et commentés de manière gentille mais très crue !
J'ai beaucoup de plaisir à regarder des vidéos ou des femmes se caressent mutuellement, se livrent chacune sur l'autre à des caresses qui procurent du plaisir, ce qui se voit. Je me dis donc qu'entre hommes, il s'agit de la même chose dans la recherche du plaisir sexuel
Alors devant cet autre homme chez lequel je veux, je dois, passer, masturbé, je me retire des doigts trop efficaces sur mon intimité.
La séance de masturbation subie dure un bon moment, puis on finit par devoir m'attacher pour m'empêcher de pouvoir résister à l'éjaculation qu'on veut que j'aie pour me soulager.
Evidemment, à la fin je suis obligé de montrer ce qui m'arrive, et qu'on veut que je fasse; je suis masturbé, on me branle doucement et on m'oblige à jouir pour que j'éjacule même si je ne le veux pas. Juste avant, on me dit que je ne dois pas continuer à me retenir comme je le fais, que je dois "dégorger", comme tout homme en bonne santé, que j'en ai besoin et que ça va me faire du bien....on me conduit devant un miroir en me disant qu'il est mieux de me rendre compte de ce qu'on doit me faire.
Ca va très vite alors pour moi : debout, nu, mains attachées dans le dos, à un bon mètre de ce miroir, pour que je ne bouge pas quand on va me faire ce qu'il me faut mes jambes sont emprisonnées entre les jambes de cet homme, assis, chez lequel je me rends; mon érection est très forte et se voit parfaitement, mon gland, sorti, est enduit de précum. On me masturbe doucement, les doigts s'agitant tout autour de la couronne du gland, tantôt décalotté, tantôt dans son étui de chair; j'entends dire : "Bon, allez, maintenant : tu es prêt et ça va te faire du bien "
Les doigts sont ôtés de ma verge tendue, je respire plus fort, sachant ce qui va arriver, ce qu'on va me faire de très intime pour un homme.
Je sens qu'on passe une main entre mes fesses, qu'un doigt s'insinue dans ma raie, cherche, trouve, en descendant lentement mon petit trou. On m'a lubrifié là, juste avant de me conduire devant le miroir; on me rentre doucement un doigt dans l'anus, on l'enfonce dans mon derrière; on me masturbe à nouveau, doucement ! en faisant saillir bien fort mon gland à chaque caresse descendant le long de ma verge, et quand je sens qu'on remue en moi doucement le doigt qu'on m'a rentré entre les fesses tout en continuant la masturbation qu'on me fait, en moins d'une minute je suis calmé après avoir éjaculé de toutes mes forces pour me vider de toute ce sperme que je retenais en me masturbant dans les jours précédents; avec les doigts, en me faisant jouir pour me faire bien cracher tout ce que j'avais dans le ventre et les couilles , je fais ce qu'on attendait de moi en montrant que je me vide bien complètement au terme de longues masturbations solitaires, "abusives", a-t'on pris plaisir à me dire....
Cette rédaction m'a mis dans un bel état ! je crois que je devrais me délivrer, ce serait mieux, sinon...
Re: Ejac ou pas...
Dans mes jeux solitaires, quand je sens qu'à me caresser encore va provoquer la sortie du sperme, j'arrête et attends de me calmer, quelques minutes tout au plus. Puis je reprends mes caresses, jusqu'à devoir les cesser à nouveau.
Avec de l'expérience, on peut faire ça très longtemps, ainsi que certains le confient sur ce site et sur d'autres sites.
Cette façon du plaisir masturbatoire s'appelle le "edging", terme ignoré de beaucoup encore.
Pour ma part, je peux faire ça en me masturbant à plusieurs reprises un même jour; quand on arrête, on se sent "plein", sensation agréable et dérangeante tout à la fois. Et dés qu'on reprend la masturbation, assez vite on sent une forte envie se faire, envie d'éjaculer, de jouir pour se vider et que ça fasse du bien...et continuer à se masturber dans ces conditions-là fait vite se sentir "les couilles pleines", avec une grosse envie de tout cracher, de faire sortir tout le jus qu'on a !
En fait, la technique que tu décris-là c'est plutôt ce qu'on appelle du "stop-and-go".
Il y a moyen de se masturber pendant tout un week-end comme ça, avec beaucoup de porno, en dormant peu et en oubliant les heures et les jours qui passent...
C'est un trip fabuleux dans le plaisir sexuel qui permet de se shooter sur sa propre queue en oubliant le monde autour de soi... Sauf que c'est bien plus sain que la coke ou même que l'alcool...
Le véritable edging est décrit plus haut par Genuis2 : arriver à ressentir l'orgasme tout en évitant d'éjaculer. Là, on est vraiment sur le bord ("edge").
Un véritable edging ne peut durer qu'une vingtaine de minutes, grand maximum : on ressent l'orgasme puis, quand on le sent s'éloigner, quelques effleurements sur le gland suffisent à le ressentir à nouveau (utiliser une plume !). Et ainsi de suite... Sans éjaculer !
C'est très difficile de prolonger ces cycles au-delà de 15-20 minutes. La bite est gonflée à bloc, tendue au maximum, avec le gland complètement décalotté : elle finit par débander...
Le véritable edging très difficile à réaliser; il faut un entraînement persévérant.
Pour un petit jeune, c'est complètement hors de portée, car son sexe est encore beaucoup trop sensible. Le véritable edging, c'est pour les quadras expérimentés au boudin endurant...
A.
Re: Ejac ou pas...
c'est réservé aux quadras...
donc je ne peux plus !!!
je tente tous les jours et c'est super bon !
faites le !
donc je ne peux plus !!!
je tente tous les jours et c'est super bon !
faites le !
Re: Ejac ou pas...
En fait, pour moi, il s'agit d'une pratique fréquente mais pas systématique au cours de laquelle je me retrouve "sur le fil du rasoir", au bord du déclenchement de l'éjaculation, selon la description faite de l'edging.
Avec de l'expérience et de la prudence dans les caresses à ce moment-là, lorsque ça risque trop de sortir, il faut arrêter la sollicitation, attendre que le désir s'estompe suffisamment avant de reprendre une masturbation lente et douce mais néanmoins des plus agréables.
Ce jeu peut durer des heures, quand on a le temps, et j'y joue souvent avant de retrouver mon amante.
Ado et jeune adulte, je ne faisais évidemment pas ça, peu expérimenté des raffinements du plaisir sexuel, solitaire ou partagé d'ailleurs. A cette âge-là, plusieurs coïts par jours sont une chose régulière quand je me souviens de mes jeunes maîtresses,
Tout comme je me rappelle de masturbations fréquentes où, dés que ça voulait sortir, je le laissais faire, avant de recommencer tout de suite après, jusqu'à ce que ça veuille sortir à nouveau; je continuais à faire ça tant qu'il y avait quelque chose à sortir encore, en moins grande quantité, chaque fois, et quand mon excitation était éteinte par cinq ou six éjaculations successives rapprochées de quelques minutes (cinq à dix minutes peut-être de masturbation entre deux éjaculations ) j'arrêtais, calmé.
Je rêvais en me masturbant que certaines mères de mes amis me faisaient faire ça, me masturbaient, "pour voir" comment se comportait une jeune homme de l'âge de leur fils, savoir où il pouvait en être de son développement sexuel. Elles trouvaient - dans mon imagination -un prétexte quelconque pour "vérifier" quelque chose en me reprochant de les avoir observées d'une façon étrange en sentant mes regards sur elles.
J'inventais toutes sortes de moyens qu'elles pouvaient trouver pour me masturber et savoir si je pouvais avoir une éjaculation.
Hélas, ce n'est jamais arrivé ; j'aurais adoré ça !
Avec de l'expérience et de la prudence dans les caresses à ce moment-là, lorsque ça risque trop de sortir, il faut arrêter la sollicitation, attendre que le désir s'estompe suffisamment avant de reprendre une masturbation lente et douce mais néanmoins des plus agréables.
Ce jeu peut durer des heures, quand on a le temps, et j'y joue souvent avant de retrouver mon amante.
Ado et jeune adulte, je ne faisais évidemment pas ça, peu expérimenté des raffinements du plaisir sexuel, solitaire ou partagé d'ailleurs. A cette âge-là, plusieurs coïts par jours sont une chose régulière quand je me souviens de mes jeunes maîtresses,
Tout comme je me rappelle de masturbations fréquentes où, dés que ça voulait sortir, je le laissais faire, avant de recommencer tout de suite après, jusqu'à ce que ça veuille sortir à nouveau; je continuais à faire ça tant qu'il y avait quelque chose à sortir encore, en moins grande quantité, chaque fois, et quand mon excitation était éteinte par cinq ou six éjaculations successives rapprochées de quelques minutes (cinq à dix minutes peut-être de masturbation entre deux éjaculations ) j'arrêtais, calmé.
Je rêvais en me masturbant que certaines mères de mes amis me faisaient faire ça, me masturbaient, "pour voir" comment se comportait une jeune homme de l'âge de leur fils, savoir où il pouvait en être de son développement sexuel. Elles trouvaient - dans mon imagination -un prétexte quelconque pour "vérifier" quelque chose en me reprochant de les avoir observées d'une façon étrange en sentant mes regards sur elles.
J'inventais toutes sortes de moyens qu'elles pouvaient trouver pour me masturber et savoir si je pouvais avoir une éjaculation.
Hélas, ce n'est jamais arrivé ; j'aurais adoré ça !
