Circoncision et posthectomie
Comme un circoncis
J'aimerais savoir si d'autre personnes simulent la circoncision lors des branlettes
J'utilise un sparadrat ou une bande élastoplast pour remonter le prépuce au maximum et je concentre le frottement sur la couronne et sur le frein l'orgasme est plus long a atteindre mais la jouissance esr décuplée st le sperme gicle tres loing c'est génial
J'utilise un sparadrat ou une bande élastoplast pour remonter le prépuce au maximum et je concentre le frottement sur la couronne et sur le frein l'orgasme est plus long a atteindre mais la jouissance esr décuplée st le sperme gicle tres loing c'est génial
Re: Comme un circoncis
et tu frottes comment ?
Le gland, le frein, la couronne ?
avec les doigts, avec ou sans lubrifiant ?
Bref, on veut savoir
Le gland, le frein, la couronne ?
avec les doigts, avec ou sans lubrifiant ?
Bref, on veut savoir
Re: Comme un circoncis
je frotte essentiellement la couronne et le frein et je n'utilise pas de lubrifiant mon glan s'est habitué et supporte bien les frictions.
je peux mettre un lien video si c'est permis?
je peux mettre un lien video si c'est permis?
Re: Comme un circoncis
Oui, c'est une technique que j'aime bien faire aussi. Pour çela je tire sur mes couilles pour les ramener en arrière et du coup mon gland est bien décalotté et la c'est hyper sensible.
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Re: Comme un circoncis
C'est effectivement un certain avantage d'avoir un prépuce, car on peu plus facilement simuler son absence, que d'en simuler un quand on est circoncis.
Donc, oui, je pratique très régulièrement sans prépuce. Les sensations sont différentes, et le doigté doit être adapté.
Par contre, j'ai besoin d'un peu de lubrifiant (au moins salive), sinon, c'est douloureux.
Une vidéo pour illustrer ton sujet, c'est bien sûr accepté.
Donc, oui, je pratique très régulièrement sans prépuce. Les sensations sont différentes, et le doigté doit être adapté.
Par contre, j'ai besoin d'un peu de lubrifiant (au moins salive), sinon, c'est douloureux.
Une vidéo pour illustrer ton sujet, c'est bien sûr accepté.
Re: Comme un circoncis
massebit a écrit :J'aimerais savoir si d'autre personnes simulent la circoncision lors des branlettes
J'utilise un sparadrat ou une bande élastoplast pour remonter le prépuce au maximum et je concentre le frottement sur la couronne et sur le frein l'orgasme est plus long a atteindre mais la jouissance esr décuplée st le sperme gicle tres loing c'est génial
pas besoin de sparadrap pour moi, il suffit que je décalotte et hop ça reste décalotté. Oui je travaille aussi frein et couronne
Circoncision
Une petite question auquelle je n'ai toujours pas trouver de Reponse alors je me lance !!!
Voilà jaimerais que mon prépuce reste retirer au maximum pour pouvoir sans bander sentir les frottement contre mon caleçon.
En clair j'aimerais avoir les sentations d'une personne circoncise sans l'être !!!
J'ai deja essayer une technique qui consiste à me retourner la peau du prépuce au maximum pour qu'elle reste bien en arrière mais ça ne tiens pas longtemps !!!
Alors ma question est la suivante auriez vous des idées a part bien sur la circoncision qui me paraît trop définitive !!!
Merci d'avance.
PS : les donneurs de Lecon ou les personnes qui ne comprenne pas n'ont pas besoin de me répondre ! Juste une solution si quelqu'un a la situation.
Voilà jaimerais que mon prépuce reste retirer au maximum pour pouvoir sans bander sentir les frottement contre mon caleçon.
En clair j'aimerais avoir les sentations d'une personne circoncise sans l'être !!!
J'ai deja essayer une technique qui consiste à me retourner la peau du prépuce au maximum pour qu'elle reste bien en arrière mais ça ne tiens pas longtemps !!!
Alors ma question est la suivante auriez vous des idées a part bien sur la circoncision qui me paraît trop définitive !!!
Merci d'avance.
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Re: Circoncision
Tirer au maximum le prépuce et le maintenir avec scotch hansaplast sensitive, je ne vois que cette solution.
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Re: Circoncision
Commence cette expérience un vendredi soir (si tu ne fais rien de particulier le week-end), car il te faudra bien deux jours pour que ton gland s'accomode de cette nouvelle condition.
Le premier jour, ça risque de te démanger un peu. D'où le fait d'éviter de le faire en semaine.
Le premier jour, ça risque de te démanger un peu. D'où le fait d'éviter de le faire en semaine.
Se rapprocher du calotage quand on est circonsis?
Bonsoir ☺
Comme vous pouvez le voir sur ma photo de profil, je suis circonsis comment faire pour se rapprocher le plus du "calotage" (prépuce)?
Comme vous pouvez le voir sur ma photo de profil, je suis circonsis comment faire pour se rapprocher le plus du "calotage" (prépuce)?
Re: Se rapprocher du calotage quand on est circonsis?
Avec ta main entourant bien ton gland et ta queue ça peu le faire...
Lubrifiant ou salive pour augmenter les sensations je pense
Je t'ai envoyé un mail au passage :p
Lubrifiant ou salive pour augmenter les sensations je pense
Je t'ai envoyé un mail au passage :p
Re: Se rapprocher du calotage quand on est circonsis?
theo94 a écrit :Avec ta main entourant bien ton gland et ta queue ça peu le faire...
Lubrifiant ou salive pour augmenter les sensations je pense
Je t'ai envoyé un mail au passage :p
Pour le lubrifiant ou la salive ça marche mais pour la main j'ai pas compris
PS: J'ai répondu au mail
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Re: Se rapprocher du calotage quand on est circonsis?
Je viens de fusionner ta question avec un (très très très) vieux sujet qui date de 2004 dans lequel un membre du forum m'avait fait remonter cette technique (voir au dessus). Personne ne l'avait testé depuis 11 ans !
L'autre technique, bien connu de plusieurs membres du forum, est de se trouver un partenaire ayant un long prépuce capable de recouvrir les deux glands !
L'autre technique, bien connu de plusieurs membres du forum, est de se trouver un partenaire ayant un long prépuce capable de recouvrir les deux glands !
Re: Se rapprocher du calotage quand on est circonsis?
Theo a écrit :theo94 a écrit :Avec ta main entourant bien ton gland et ta queue ça peu le faire...
Lubrifiant ou salive pour augmenter les sensations je pense
Je t'ai envoyé un mail au passage :p
Pour le lubrifiant ou la salive ça marche mais pour la main j'ai pas compris
Tu prends ta main (ou plutôt tes doigts) et tu les enroule sur ton gland
Webmaster a écrit :
L'autre technique, bien connu de plusieurs membres du forum, est de se trouver un partenaire ayant un long prépuce capable de recouvrir les deux glands !
J'ai un prépuce qui dépasse de 1-2cm au repos et moins d'1cm en érection mais je ne vois pas comment je pourrais englober un autre gland avec mon prépuce! Je demande des preuves
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Re: Se rapprocher du calotage quand on est circonsis?
Cette technique a même un nom le Docking.
On en a parlé sur le forum : http://www.chezonan.fr/viewtopic.php?f=23&t=2355
Une preuve en vidéo :
[video]http://www.xvideos.com/video11258041/tr ... cking_x264[/video]
On en a parlé sur le forum : http://www.chezonan.fr/viewtopic.php?f=23&t=2355
Une preuve en vidéo :
[video]http://www.xvideos.com/video11258041/tr ... cking_x264[/video]
Re: Se rapprocher du calotage quand on est circonsis?
Merci pour vos réponses mais dommage qu'il faut un partenaire + qu'il est un long prépuce ^^
Re: Se rapprocher du calotage quand on est circonsis?
Webmaster a écrit :Cette technique a même un nom le Docking.
On en a parlé sur le forum : http://www.chezonan.fr/viewtopic.php?f=23&t=2355
Une preuve en vidéo :
[video]http://www.xvideos.com/video11258041/tr ... cking_x264[/video]
Ta video est super sympa ça donne envi d'essayer.
-
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Le " BOUTON " des circoncis à l'ancienne.
j'ai subi très jeune dans les années 1950, le seul type de circoncision pratiqué dans ces années là. Ce n'était pas une opération bénigne. C'était l'un des pires type de circoncision qui existe. Ils retiraient absolument tout au maximum, jusqu'à la moitié de la longueur du membre, en creusant et en retroussant la collerette au maximum. Evidemment toujours bien avant la puberté.
La vie du jeune opéré basculait définitivement ! Il en avait pour le restant de ses jours à penser quotidiennement à sa bite, 24h/24 ! Les sensations du découpage dans sa culotte, étaient permanentes et définitives.
Le risque de déchirure gravissime était permanent. A tout moment mon gland pouvait se détacher complètement du reste du membre, et mon frein se déchirer, s'ouvrir en deux, sur plusieurs centimètres de long, du méat jusqu'à la hampe. Innombrables sont ceux qui ont été ré-opérés une deuxième fois, ou plusieurs fois à cause de déchirures graves.
Ca été ma hantise jusqu'à plus de 25 ans, et de tous les médecins devant qui je suis passé jusqu'à plus de 20 ans.
Cette façon d'opérer était scandaleuse, et n'avait aucune justification médicale. Et aucun rapport avec les nécessités d'un phimosis, qui n'était qu'un prétexte. Dans les années 1950 et début 1960, ils opéraient le maximum de jeunes garçons, et tous de cette façon, la même pour tous, la pire ! Souvent à la demande des parents.
C'était une véritable boucherie, et ça faisait peur. Dans les écoles primaires existait " la terreur dans les slibards " et c'était une réalité omniprésente très justifiée. Les plus grands prévenaient les plus jeunes " la tâte-couilles va te faire éplucher la bite ! "
"Tu vas voir ça donne envie de se branler !" "Après tu vas avoir de sacrées jouissances !" "Tu auras toujours envie de recommencer !"
Cette façon de faire, sordide et inavouable, a disparu complètement et définitivement à l'approche de mai 68. Car mai 68 allait libérer la parole et la concertation collective. Et le scandale risquait d'éclater ! Avant mai 68 il fallait tout supporter sans rien dire, et sans que ça se sache. Après mai 68 c'était le contraire !
Dans mon cas ils m'ont refait un frein complètement artificiel, qui n'avait plus rien de naturel. Un amas de chairs découpées complètement à nu. Avec un gland au niveau du frein en forme de grand V renversé, avec les bords de la collerette très largement ouverts. Et en plein milieu du V, une grosse excroissance de chair de forme parfaitement conique. Qui dépasse très largement du frein, en dessous du gland, même complètement débandé. D'autant plus exposée que le V est le plus ouvert possible.
Ce cône de chairs artificiel n'a aucune justification médicale. Sa seule utilité était d'augmenter les sensations, les besoins, et le plaisir.
Un vrai clitoris au masculin, un vrai " bouton " de plaisir !
Dans ces années là, tous les circoncis n'avaient pas ce " bouton ", mais un grand nombre d'entre eux.
Le besoin irrésistible et permanent de se toucher ou de se branler !
Le simple frottement quotidien du gland sur le slip, suffisait à donner des idées, à longueur de journée. Les chairs et les terminaisons nerveuses étaient à nu. Ceux qui avaient le fameux " Bouton ", c'était pire ! Car le " Bouton " décuplait les sensations permanentes.
Et il était fait pour ça !
Rester 2 ou 3 heures sans se toucher c'était difficile ! Il fallait s'isoler quelque part pour se soulager. Se toucher, même sans bander et même sans décharger, apportait déjà un gros soulagement aux sensations accumulées pendant 2 ou 3 heures !
Dans les années 60 d'interdiction de absolument tout, il a été question de proposer la circoncision comme circonstance atténuante devant les tribunaux, pour tout ce qui était délits sexuels. Mais très peu passaient au tribunal, car la population était très compréhensive dans le contexte social inhumain et odieux d'interdiction de tout. Même pour les pires outrages.
L'existence de ce " Bouton " décuple les besoins et les plaisirs de la masturbation, qui deviennent irrésistibles.
Ce " Bouton " a toujours bien fait rire tous les partenaires possibles, hommes ou femmes. Quand on leur révèle son existence.
Et surtout quand on leur explique à quoi il sert et pourquoi il est là !
De nos jours, cette façon d'opérer est devenue une pièce de musée, un spécimen de collection. Le " Bouton " en particulier est devenue une rareté.
La vie du jeune opéré basculait définitivement ! Il en avait pour le restant de ses jours à penser quotidiennement à sa bite, 24h/24 ! Les sensations du découpage dans sa culotte, étaient permanentes et définitives.
Le risque de déchirure gravissime était permanent. A tout moment mon gland pouvait se détacher complètement du reste du membre, et mon frein se déchirer, s'ouvrir en deux, sur plusieurs centimètres de long, du méat jusqu'à la hampe. Innombrables sont ceux qui ont été ré-opérés une deuxième fois, ou plusieurs fois à cause de déchirures graves.
Ca été ma hantise jusqu'à plus de 25 ans, et de tous les médecins devant qui je suis passé jusqu'à plus de 20 ans.
Cette façon d'opérer était scandaleuse, et n'avait aucune justification médicale. Et aucun rapport avec les nécessités d'un phimosis, qui n'était qu'un prétexte. Dans les années 1950 et début 1960, ils opéraient le maximum de jeunes garçons, et tous de cette façon, la même pour tous, la pire ! Souvent à la demande des parents.
C'était une véritable boucherie, et ça faisait peur. Dans les écoles primaires existait " la terreur dans les slibards " et c'était une réalité omniprésente très justifiée. Les plus grands prévenaient les plus jeunes " la tâte-couilles va te faire éplucher la bite ! "
"Tu vas voir ça donne envie de se branler !" "Après tu vas avoir de sacrées jouissances !" "Tu auras toujours envie de recommencer !"
Cette façon de faire, sordide et inavouable, a disparu complètement et définitivement à l'approche de mai 68. Car mai 68 allait libérer la parole et la concertation collective. Et le scandale risquait d'éclater ! Avant mai 68 il fallait tout supporter sans rien dire, et sans que ça se sache. Après mai 68 c'était le contraire !
Dans mon cas ils m'ont refait un frein complètement artificiel, qui n'avait plus rien de naturel. Un amas de chairs découpées complètement à nu. Avec un gland au niveau du frein en forme de grand V renversé, avec les bords de la collerette très largement ouverts. Et en plein milieu du V, une grosse excroissance de chair de forme parfaitement conique. Qui dépasse très largement du frein, en dessous du gland, même complètement débandé. D'autant plus exposée que le V est le plus ouvert possible.
Ce cône de chairs artificiel n'a aucune justification médicale. Sa seule utilité était d'augmenter les sensations, les besoins, et le plaisir.
Un vrai clitoris au masculin, un vrai " bouton " de plaisir !
Dans ces années là, tous les circoncis n'avaient pas ce " bouton ", mais un grand nombre d'entre eux.
Le besoin irrésistible et permanent de se toucher ou de se branler !
Le simple frottement quotidien du gland sur le slip, suffisait à donner des idées, à longueur de journée. Les chairs et les terminaisons nerveuses étaient à nu. Ceux qui avaient le fameux " Bouton ", c'était pire ! Car le " Bouton " décuplait les sensations permanentes.
Et il était fait pour ça !
Rester 2 ou 3 heures sans se toucher c'était difficile ! Il fallait s'isoler quelque part pour se soulager. Se toucher, même sans bander et même sans décharger, apportait déjà un gros soulagement aux sensations accumulées pendant 2 ou 3 heures !
Dans les années 60 d'interdiction de absolument tout, il a été question de proposer la circoncision comme circonstance atténuante devant les tribunaux, pour tout ce qui était délits sexuels. Mais très peu passaient au tribunal, car la population était très compréhensive dans le contexte social inhumain et odieux d'interdiction de tout. Même pour les pires outrages.
L'existence de ce " Bouton " décuple les besoins et les plaisirs de la masturbation, qui deviennent irrésistibles.
Ce " Bouton " a toujours bien fait rire tous les partenaires possibles, hommes ou femmes. Quand on leur révèle son existence.
Et surtout quand on leur explique à quoi il sert et pourquoi il est là !
De nos jours, cette façon d'opérer est devenue une pièce de musée, un spécimen de collection. Le " Bouton " en particulier est devenue une rareté.