Ado, j'ai découvert, bien cachées dans la maison , des cassettes porno que mes parents avaient du enregistrer sur une chaîne cryptée bien connue. Ce fut une révélation ! Des heures passée à découvrir un nouveau monde de plaisir. Une après-midi, un pote était passé à la maison. Il m'avait interrompu au milieu d'une petite séance de visionnement. Je n'avais pas eu le temps de conclure alors les joues me chauffaient et j'avais du mal à contrôler mon entre jambe, sensible, qui réclamait de l'attention.
Dans la conversation, je fini par lui révéler l'existence des cassettes et lui propose d'en visionner une, par curiosité.
Nous voilà tout deux assis, l'un à côté de l'autre à regarder le porno (Concupiscence pour les puristes ).
Timide, je jette des coups d'oeil discrets de temps en temps à mon pote attendant l'ouverture qui nous permettra de mettre chacun la main à l'ouvrage et de me libérer mais rien ne vient.
Les scènes passent, je me sens littéralement prendre feu du slip. Il regarde avec attention, un coussin posé sur le paquet. Il réagit très peu à mes commentaires.
La dernière scène commence, je décide de le laisser et je retourne dans ma chambre, adjacente, je guette le bruit dans le couloir pour mettre en scène mon flag.
Je sors ma queue qui a gonflé sous l'effet de l'exitation, je m'installe à mon bureau et commence à masser mes couilles. Ca y est, je l'entends. Il approche, je commence à me branler lentement, il pousse la porte.
Sa surprise est totale, je feins de me rhabiller.
"Désolé, heu c'est déjà fini ?"
Il me répond :
"J'y crois pas, t'es en train de te branler ?!"
"non , enfin ..."
_Vas-y finis."
Je reprends ma queue en main.
"Et toi tu fais quoi ?"
Il s'assoit sur le lit, un peu en arrière.
"Rien, je te regarde. Tu fais gaffe hein ? Tu me gicles pas dessus."
_Ok.
_t'as un gros sauc' quand même."
N'y tenant plus, je commence à juter sur mon ventre, de long jets chauds et interminables.
"Wouah, t'en avais de la crème. Alors soulagé ?
_ouais."
Nous avons passé le reste de l'après-midi sur ma console. Parfois, je prenais une petite pique :
"Tu gagnes, ça te fait bander ?"
"Tu veux que je te laisse devant la princesse ?"
Nous n'avons plus vraiment eu ce genre de tête à tête par la suite. Il parle mais pour le reste... lol.