Comme c’est un jeu de cet âge, on s’est décidé à se montrer nos queues pour les comparer ! Il en avait une magnifique. On s’est longuement regardé, on était presque à compter les poils, comme un signe de virilité. On se serait contenté de ça, juste se montrer en érection, si son frère n’était pas entré. Il est arrivé trop vite pour qu’on range le matériel. Il nous a surpris queues à l’air.
Il a refermé la porte et est venu s’asseoir sur le lit. On devait être tout rouges, hyper gênés. Lui ça l’a amusé. Il était fier que son petit frère connaisse enfin les joies de la trique. C’est le premier à nous avoir dit que c’était normal. Une évidence, sauf quand on découvre la chose. Naïvement on lui a demandé à quoi ça servait, que ça se tende.
Il a baissé son pantalon et son caleçon. Il en avait aussi une magnifique et évidemment beaucoup de poils pubiens. Pour nous il était la virilité incarnée. Là, il nous a montré à quoi ça servait. Il a commencé à s’astiquer, en nous demandant de l’imiter. Au début ça ne me faisait rien, je m’y prenais mal. Il m’a dit de bien faire glisser le prépuce sur le gland. J’ai fini par sentir une bonne sensation !
Le frangin y est allé franchement. Il se branlait comme une brute. À ce moment nous pensions encore que ça ne servait qu’à ça, se faire du bien. Il a relevé sa queue et a joui sur son torse. Nous étions quasiment en admiration. Il n’a pas pu étouffer un cri de jouissance. Il nous a ordonné de continuer. Mon pote a joui en premier, du sperme bien blanc, mais en petite quantité. Moi c’était moins épais et en petite quantité aussi. Mais le plaisir de l’éjaculation était là.
Par la suite, avec mon pote, on se faisait des branles à chaque fois qu’on était seuls dans sa chambre. Quand son frangin nous voyait défiler aux toilettes, il avait un petit sourire qui disait bien qu’il savait ce qu’on venait de faire…
