Ce que je vais vous raconter est plutôt... particulier ! En effet ce n'est qu'un demi fantasme . La première partie c'est réellement passée !
Le jeune homme enchainait les mouvements puissants. Il se mouvait superbement dans l’eau cristalline de la piscine municipale, sous le regard convoiteur de quelques jolies jeunes femmes en bikini. Son maillot de bain était ajusté à la perfection à son corps puissant et contenait à peine une touffe de poil qui remontait en ligne fine jusqu’à son nombril. Des abdominaux à n’en plus finir et des pectoraux bien dessinés mais pas trop exubérants. L’homme était blond et avait une barbe de quelques jours, savamment négligée.
C’est lui que j’observais depuis quelques minutes. Je dois dire que j’admirais vraiment le corps de ce superbe homme. Pourtant on ne peut pas dire que je sois trop à plaindre… La natation m’avait donné un corps que j’appréciais et je venais juste de m’épiler entièrement le torse et le maillot. J’avais laissé mes jambes « sauvages » par envie…
Je replongeais à l’eau et recroisait le blond qui m’adressa un sourire avenant. Mon boxer moulant se mit à être un peu trop serré à mon gout mais je continuai ma nage.
L’effort dura plusieurs heures. Plusieurs heures pendant lesquelles je ne cessais de nager sans penser à rien d’autre que ma nage. Lorsque j’émergeai de ma léthargie, je constatai que la piscine fermait dans la demie heure qui suivait. Je suis donc sorti de l’eau en trombe et j’ai foncé vers les vestiaires. Avant de passer aux douches, je me suis vidé la vessie aux urinoirs. Gêné, j’ai constaté que ma demi-érection n’était toujours pas passée. Tant bien que mal, je me suis frayé un chemin vers les cabines bondées. Plusieurs hommes moins pudiques se partageaient déjà quelques cabines. Chanceux, j’ai réussi à prendre un emplacement qui se libérait. J’y entrai et tournai immédiatement le loquet, victorieux. J’installai sa serviette sur le porte manteau et fis couler l’eau brulante. J’y restai au moins dix minutes, sous le jet brulant, avant de me savonner. J’ignorais superbement les demandes d’autres hommes qui voulaient se laver et constatais que les vestiaires se vidaient peu à peu. Je me passais du gel douche sur le corps et goutais encore aux plaisirs d’un corps épilé. Je me caressais le bas-ventre en souriant béatement. J’effleurais mes bourses lisses du bout des doigts et câlinais ma verge doucement, ce qui eut pour effet d’attiser encore mon érection. Je me suis ensuite rincé. C’est à cet instant que j’ai entendu un bruit étrange.
C’était comme un… râle de plaisir. Intrigué, je constatai qu’un trou avait été pratiqué des deux côtés de la paroi de ma douche –bonjour l’intimité. Je glissai un regard à droite : un homme impressionnant, bardé de tatouages se nettoyait consciencieusement le gland, sans un seul mot.
A gauche.
A gauche il y avait un homme. La cinquantaine. Plutôt bien fait, son sexe dans les mains. Il avait un pénis court mais très large. Il faisait des va-et-vient incessants tout en grognant de plaisir. La vue de cet homme sur le point de jouir me donna immédiatement envie de me branler. Je le regardais se masturber de plus en plus vite, de plus en plus fort. Tout se termina sur un cri étouffé de bonheur de la part du branleur. De longs jets collants volèrent sur les murs de la douche. Presque gêné, l’homme se releva, se rinça et s’en alla aussi sec.
Voilà. Tout s’est arrêté là (enfin non, je me suis branlé un bon coup, j’ai giclé comme jamais mais… après j’ai beaucoup fantasmé et voici le fantasme donc je poursuit au présent
Excité par la vue de se branleur impromptu, je saisis ma verge à pleines mains (elle fait environ 19cm je dirais…) et me branle vigoureusement, oubliant toutes les belles technique de ce beau forum pour me donner à la joie bestiale de la masturbation. Alors que je suis sur le point de jouir, que mes jambes tremblent de plaisir, une main s’écrase contre la porte de ma cabine, pressée.
- Excusez moi, je peux entrer ?
Extrêmement gêné, je me tourne, ouvre le loquet de ma douche et constate avec stupeur le blond entrer dans mon espace. Il est encore plus impressionnant de près. Ses muscles sont saillant et il dégouline d’eau, son maillot de bain bleu laisse deviner des atouts non négligeable. Parfaitement sexy, il s’ébouriffe les cheveux et me sourit.
- Vraiment désolé mais la cabine d’à côté est condamné par le maitre nageur…
- Pas de soucis, je lui réponds, émerveillé.
Il s’approche donc de moi et dépose sa serviette. Il retire son maillot de bain sans la moindre pudeur, laissant tomber le paquet que j’espérais. Et je ne suis pas déçu, oh non. Elle est presque aussi longue que la mienne en érection et pend fièrement, de grosses couilles l’accompagnant vers le sol. Comme escompté, je le constate très poilu, de grosses touffes de poils blonds au dessus de la verge, parsemant les couilles. Mon penis, calmé par le choc, reprends du service rapidement et le blond dont je ne connais pas le prénom rit un peu.
- Ah je suis désolé, je bredouille…
- Pas de soucis, ce sont des choses qui arrivent ! il me répond, calme. Il baisse les yeux vers sa propre verge déjà un peu gonflée et me fait un clin d’œil. Dis moi cette douche est une passoire… continue-t-il en montrant les trous qui parsèment les deux parois de la cabine.
Je ris, à la fois gêné et heureux.
- Ouais, on peut dire ça. Mais ça permet de voir des choses… étonnantes parfois.
- J’suis pas dupe, ça puait le sperme l’autre cabine.
Mon érection reprend de plus belle. Ma verge pulse littéralement et il s’en rend compte, mi surpris mi amusé.
Alors que je m’apprête a tenter une justification, un bruit bien connu nous fait tout les deux écarquiller les yeux. Flap flap flap.
Je me précipite vers les deux trous de l’autre paroi, celle qui n’a pas vu le gars se masturber quelques minutes plus tôt. C’est avec stupéfaction que je vois une montagne de muscle s’adonner aux joies de la masturbation. C’est un grand noir plus que musclé qui joue de sa verge –plus un poteau électrique. Le blond, lui, admire le spectacle grâce au trou situé plus haut que ma tête. Je sens sa verge effleurer ma cuisse et ça en devient insupportable, mon érection est monstrueuse et quelques perles transparentes coulent le long de ma verge. Le grand black commence à s’essouffler et ses mouvements s’accélèrent. Il jouit relativement peu et s’empresse de tout nettoyer. Le blond saute d’au dessus de moi (il est bien raide) et s’affale sur le banc en face. Il commence de lents va-et-vient sur sa grande queue. Il gémit très vite. Je me demande s’il est gay, si je suis gay. Je ne sais pas trop mais j’en profite. Je m’assois à ses côtés et il me prend la virilité sans aucun complexe. Je fais de même et nous nous masturbons l’un et l’autre. Tout à coup il me lâche, s’agenouille et engloutit ma verge dans sa bouche chaude et humide. En quelques secondes, sa langue a effet de mes envies et j’explose dans sa bouche.
Je lui rends très vite l’appareil, il a le visage maculé de sperme et je lui lèche le cou, les pommettes. Lui mets encore moins de temps que moi à éjaculer. Il me rend des litres et des litres sur le torse, dans la gorge, sur le visage. Il ne doit pas l’avoir fait depuis très longtemps. Alors que je me relève, couvert de sperme, la cabine s’ouvre sur le maitre nageur.
Suite de ce fantasme plus tard !