Jeu sympa entre potes

Parle de ta toute première masturbation sans tabou. Comment l'as-tu découvert, avec qui ?
petit

Jeu sympa entre potes

Message par petit »

Souvent au cours de mon enfance, j’avais entraîné mes copines et mes copains à jouer au docteur. L’auscultation de nos nudités respectives semblait suffire à satisfaire ma curiosité enfantine.

Ce n’est que quelques années après l’ouverture de mon premier cabinet médical clandestin, que j’ai découvert la masturbation.

Mon corps s’éveillait alors sous le frêle duvet de mes quatorze ans.

Certes le mot ou plutôt certains mots désignant cette délectable activité ne m’étaient pas inconnus, mais mon instinct sexuel naissant, ne m’avait poussé jusqu’alors qu’à quelques attouchements maladroits et sans conviction.

Par un après-midi de vacances estivales, la fin de l’étape du Tour de France (à cette époque je m’y intéressais) nous laissait, deux camarades de mon âge et moi-même, fort désœuvrés.

Au détour d’une conversation faussement désintéressée, l’un d’entre-nous a proposé sur le ton de la plaisanterie pour tâter le terrain, une partie de pouilleux déshabilleur. Idée que nous nous sommes empressés d’accepter, en feignant toute fois l’indifférence blasée qui sied aux adolescents désirant masquer leur émoi.

Nous avons décidé de nous rendre dans une cabane de notre construction au milieu des bois.

Chemin faisant, alors que déjà un étrange sentiment de pudeur et de curiosité nous envahissait, nous avons échangé quelques bribes de nos inexpériences respectives.

A mots rougissants nous en sommes bien sûr venus a évoquer la masturbation, seule activité sexuelle pratiquée par la partie pratiquante de notre trio pubescent.

Mes deux compères laissaient entendre qu’ils avaient déjà eu quelques éjaculations. N’osant leur avouer mon manque de pratique, je me contentais de leur dire que je n’avais pour ma part jamais éjaculé.

Arrivés à notre repère forestier, nous nous sommes installés, et la distribution des cartes a pu commencer.

Le pouilleux courant de main en main effeuillait peu à peu nos corps fébriles d’adolescents.

Nos érections juvéniles, sensations délicieuses mêlées de gêne et de volupté mal définie, gonflaient déjà nos shorts. Le jeu imperturbable nous ôtait bientôt tout espoir de dissimulation de cette encombrante effervescence, ne nous laissant pour seul rempart aux regards des autres joueurs, que nos slips en relief dépassés par les évènements.

De pouilleux en pouilleux, l’un d’entre nous assaillli par le sort, dû dévoiler son anatomie protubérante à la curiosité inavouée de ces vainqueurs.

Nous avons alors convenu d’une petite modification du jeu, afin de pouvoir poursuivre équitablement notre intéressante partie.

Ainsi un gage serait donné au perdant n’ayant plus de vêtement à offrir en sacrifice.

Ce qui eu pour effet de nous trouver finalement tous trois superbement nus dans la moiteur de l’été.

J’ai pu constater que mes partenaires m’avaient quelque peu précédé dans l’adolescence. Indépendamment des pilosités et des mensurations notre excitation ne faiblissait pas.

Au rythme des cartes poursuivant leur ronde coquine, nos imaginations inventaient divers gages que nous honorions dans notre nudité frémissante.

Mon voisin de droite se trouvant une énième fois en la compagnie compromettante du valet de pique fut invité à se donner du plaisir.

Ce qu’il entreprit debout devant nous, me révélant ainsi, sans le savoir le geste de la masturbation, qu’un manque de détermination m’avait jusque là laissé ignorer.

Lorsqu’il se rassit les jambes fageolantes, de nouveaux horizons encore flous s’ouvraient à moi.

Mon voisin de gauche vit aussi arriver son tour de s’adonner à cette activité salutaire, me confirmant ainsi la marche à suivre.

Le hasard faisant bien les choses, le gage suprême me fut donné ensuite.

Je me levais donc face à mes compères et prenant mon sexe en main je commençais le va-et-vient caressant que je les avais vus faire quelques instants plutôt.

C’est ainsi que je me branlais pour la première fois, nu au milieu des bois, sous le regard de mes initiateurs.

Accomplissant le gage qui venait de m’être donné, je me suis tout d’abord demander quel intérêt on pouvait trouver à cette activité.

Peu à peu de légers picotements son montés de mon entre-cuisses vers ma verge chaude.

Ma main se fit plus pressante à mesure que les picotements devenaient plaisir nouveau.

Puis j’ai senti mes fesses se contracter, mes genoux fléchir légèrement, et avant même de comprendre ce qui m’arrivait, le plaisir s’est fait plus intense, envahissant mon sexe dressé, puis mon corps tout entier.

C’est alors que j’ai jouis en lâchant mes premiers jets de sperme à la face du monde nouveau qui s’offrait à moi.



Aujourd'hui, bien plus tard, je reste nostalgique de ce genre de petits jeux, dont j'aimerais retrouver l'esprit et les sensations...



hsolo19@hotmail.fr
Répondre