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À 14 ans avec un copain de l'école

Publié : jeu. 21 oct. 2010, 09:56
par sg1
Ce fut la première fois que je vivais cette expérience.



J'étais chez un ami d'école, ce n'était pas mon meilleur ami, nous n'étions pas dans la même classe mais nous avions tout de même certaines choses en commun.



J'allais à l'école privée donc la majorité de mes copains de classe n'habitait pas proche de chez nous. Pour aller voir ce dernier, je devais prendre l'autobus et le trajet nécessitait deux transferts et 40 minutes de route au total.



Ayant passé la journée chez lui, vers la fin de la soirée, considérant l'heure tardive, sa mère m'invita à rester pour la nuit. J'ai accepteé la proposition car cela me permettait de passer plus de temps avec mon copain et j'anticipais que l'on pourrait se coucher plus tard que la normale et m'évitait aussi de faire le trajet de retour tard le soir.



Nous avons donc commencé à regarder un film. Quand vint le temps de se coucher, sa mère m'avait préparé un coussin du genre matelas à terre dans la chambre de mon copain avec un oreiller et des couvertes juste à côté de son lit. C'était comme faire du camping.



Au moment d'aller au lit, il ferma la porte de la chambre s'approcha de son lit et moi du mien qui était juste à côté. Je ne savais plus quoi faire à partir de ce moment, je suis très pudique et je me suis demandé comment j'allais m'y prendre pour me coucher, la lumière sur la table de chevet était allumée et on pouvait se voir. Je n'ai pas vraiment eu le temps de réfléchir car d'un trait, il enleva ses pantalons devant moi et resta debout quelques temps à plier et placer ses pantalons sur une chaise, il enleva ensuite son chandail et se dirigea alors vers le lit et en souleva les draps, plaça son oreiller pour ensuite se faufiler sous les draps, et ce, sans vraiment se soucier de ma présence. Je fut surpris par sa manoeuvre rapide et n'ai pas eu le temps de me retourner pour lui donner un moment d'intimité pour se dévêtir et se mettre au lit donc ne pouvant détourner mon regard, je venais de le voir dans son slip, un slip qui à cette période était du style bikini donc petit ,serré et très moulant. J’ai pu voir que son pénis était un peu en érection car ça faisait une bosse au centre en pointant vers le haut. J'avais déjà vu des gars en slip et même nu dans une salle pour prendre nos douches mais à chaque fois je me sentais mal à l'aise. Cette fois, ce n’était pas comme au gymnase ou dans les douches, ou il n’y a vraiment pas d’autre endroit pour le faire, ici, on aurait pu fermer la lumière ou autre…..



Bon voilà c'est fait pour lui mais c'est maintenant mon tour, je le vois étendu dans son lit et il me regarde. J’imagine qu’il laisse la lumière allumée pour me facilité la tâche mais dans mon fin fond, j’aimerais tellement mieux qu’il la ferme mais je suis trop gêné pour lui demandé. À partir du moment où la porte s’est fermée et il fallait maintenant se coucher, je suis passé par une gamme d’émotions diverses, allant de - je ne sais pas quoi faire au début, suivi d’une nervosité et d’une gêne et se terminant par une anxiété de me dévêtir. Je ne peux me résigner à baisser mes pantalons devant lui, je porte le même genre de slip et ces dernières émotions ont eu un petit effet sur moi et j’ai surtout peur qu’une légère bosse ne soit apparente alors je me retourne vers le mur descend mes pantalons et me glisse rapidement sous les draps en prenant soin de ne pas me montrer de façe. Je garde mon chandail mais cela est une coutume chez moi.



Une fois couché, il éteint finalement la lumière et on commence une p’tite jasette. On discute de tout et de rien, on fait des plans pour le lendemain. Ensuite on reste tranquille pour un moment. Il me demande si je suis bien sur mon lit improvisé et je lui réponds que ça fait l’affaire mais que mes pieds et mes mollets dépassent au bout du matelas qui bien entendu n’est pas assez long. On éclate de rire tous les deux puis on commence à déconner sur le sujet. On se parle mais on ne se voit pas puisque je suis couché à terre et lui en haut dans son lit. Après un moment, il m’offre de monter dans son lit pour que je puisse dormir comme il le faut et non sur ce matelas de fortune, en plus, cela serait plus facile pour converser.



N’ayant aucunes idées croches dans la tête, je ne vois pas de mal à acquiescer, la lumière étant fermée je conservais mon intimité. Jamais à ce moment j’ai pensé que cela était pervers. Juste plus pratique que de coucher à terre.



Son lit n’était pas gros mais il avait assez de place pour deux sans se toucher. On a continué de niaiser pendant un p’tit bout de temps pour ensuite tranquillement devenir moins jasant.



Après un moment de silence, il m’a demandé si j’étais circoncis. Je lui ai répondu que non et par réflexe je lui ai demandé si lui l’était? Il m’a répondu que oui et cela, depuis qu’il était tout petit donc il n’avait jamais eu de prépuce. On a commencé à parler de circoncision, certains le font faire étant enfant, d’autres se font opérer par ce qu’ils ne peuvent pas décalotter le gland ou ont un problème quelconque. Un autre moment de silence s’ensuivi. Il me demande alors s’il peut me toucher, question de voir ce que ça à l’air un pénis qui n’est pas circoncis. Je ne réponds pas tout de suite, je suis surpris par cette demande, il s’empresse donc de continuer en disant que si je le laisse me toucher, je pourrai toucher le sien. Du coup je me suis dit que s’il me touche et que je le touche ça annule la chose. Je n’ai pas du tout pensé que c’était sexuel mais plutôt de la curiosité puisque j’avais quelque chose que lui n’avait pas. J’y ai réfléchi un moment, il fait noir, on est sous les draps il ne me verra pas…… cela est plus important pour moi que de se faire toucher, bizarre comment on voit les choses parfois. Il insiste un peu en disant qu’il a entendu dire que la peau qui recouvre le pénis est très douce et qu’il croit que la texture du gland est différente parce qu’il est couvert et le sien est toujours découvert.



Ça peut paraître bizarre mais j’ai dit OK, m’étant convaincu moi-même qu’il n’y avait rien de mal à faire cela et étant devenu aussi un peu curieux moi-même de voir la différence.



J’étais couché sur le côté, lui faisant face. Je baissai donc mon slip jusqu’au genoux et attendu qu’il approche sa main pour me toucher. J’étais nerveux mais nullement excité, curieusement je n’avais aucune érection. Pour moi, ce n’était pas sexuel mais, peut-être étais-je anxieux au point ou je réalisais ce qui était pour d’arriver et mon esprit avait bloqué cette partie de mon cerveau. Je me sentais comme si rien n’allais arriver et ce serait fini très vite. J’étais plus gêner d’avoir avoir à lui toucher le pénis que lui touché le mien, curieux ce que la nervosité peut faire.



Je n’ai pas eu long à attendre, sa main a heurtée ma cuisse en premier et s’est dirigé vers le milieu, j’ai alors senti ses doigts me toucher le bout du pénis. Comme on peut s’y attendre, j’ai réagi à ce toucher. Mon pénis a donné une secousse en se contractant vers l’intérieur. Il a relâché et s’est repris de nouveau, même réaction de mon côté. Il a laissé ses doigts dessus et a commencé à flatter le dessus et il a tout de suite dis ‘’c’est vrai que c’est doux’’. Je ne lui offrais vraiment pas beaucoup d’espace pour toucher, au repos, mon pénis n’est pas gros mais je savais qu’il aurait une surface de contact plus grande prochainement car c’est à ce moment que j’ai compris que je ne resterais pas mou longtemps. Je ressentais quelque chose de nouveau et de très stimulant. C’était la première fois que quelqu’un me touchais au pénis et de surcroit, le frottait doucement. Je ne pensais plus du tout au fait qu’il me touchait mais plutôt au feeling que cela m’apportais. J’étais en mode réceptif, je réagissais au moindre effleurement et je me concentrais sur ce que je vivais à ce moment. J’anticipais chacun de ses mouvements et me demandais comment mon corps réagirait à chaque fois.



Avec chaque mouvement, je donnais des secousses et mon pénis se raidissait et grossissait. Il s’en est rendu compte car il a été forcé de repositionner sa main et du même coup a lâché prise et lorsqu’il a repris contact j’ai fait un saut. J’étais beaucoup plus sensible qu’au début. Il a alors pris mon bout entre ses doigts et a commencer à peser dessus. Je suis devenu gros comme jamais je l’avais été auparavant. Je sentais le sang pomper et le battement de mon cœur à travers les veines de mon pénis.



On est resté muet durant toute l’expérience. Je crois que le fait de ne rien dire enlevait un peu de la culpabilité que j’ai ressenti au début et de mon côté, me permettait de me concentré à 100% à ce qui m’arrivais. C’était incroyable les choses que je ressentais.



Après s’en être tenu qu’au dessus du pénis et d’avoir touché le bout donc la partie du prépuce qui dépasse le gland (j’ai un prépuce de longueur normal donc il recouvre mon gland au complet, au repos tout comme en érection) il commença à descendre vers mon pubis. Ses doigts frottaient maintenant toute la surface de haut en bas. Je raidi au maximum et maintenant j’ai le pénis qui est complètement vers le haut et qui me touche pratiquement la bédaine. Il n’y a plus beaucoup de place pour sa main sur le dessus. Il prend alors mon pénis dans sa main et la referme. Je me sens entouré et encore une fois je donne un coup en me raidissant. Vu que je ne disais rien, je crois qu’il prenait pour acquis qu’il pouvait continuer. Il lâcha son empreigne et mis un doigt sur le bout et commença à le descendre le long du dessous de ma verge vers les testicules. Rendu au bas il arrêta, remonta en peu et puis j’ai senti qu’il hésitait. J’étais aux aguets, qu’allait-il faire ensuite? Il a encore une fois pris dans sa main mon pénis en entier mais cette fois plus haut que la première fois, il tenait maintenant mon gland au complet ainsi qu’une partie du reste et il appuyait plus fort. Je ne pouvais contrôler mes réactions et on dirait que ça le faisait rire. Il a ensuite recommencé à faire descendre un doigt le long de mon pénis et cette fois il s’est rendu jusqu’aux testicules qu’il a caressé au début et ensuite saisi à main pleine. Il a joué avec comme si c’était des grelos. C’était une sensation différente, moins excitante que mon pénis mais quand même agréable.



J’ai commencé à me dire que ce n’était pas vraiment cela qui était différent chez moi et que ce n’était pas ce qu’il était supposé toucher mais bon tant qu’a s’être fait toucher le pénis, c’est quoi de plus?



Il lâche mes testicules et je ne le sens plus. Il a cessez tout contact, est-ce fini? J’attends nerveusement la suite, j’anticipe son prochain geste avec fébrilité. Ça y’est, il recommence a effleurer du bout des doigts le dessus de mon prépuce, là ou c’est le plus doux. Je dois admettre que j’étais content qu’il continue. J’aimais vraiment les sensations que je ressentais. Maintenant il a tous ses doigts qui entourent mon prépuce et qui en fait le tour. Tranquillement il commence à me décalotter, je réagis fortement, wow! Je pousse un petit gémissement, quel feeling cela m’a donné. La peau n’a baissé que d’un centimètre au plus mais je vous jure que j’ai ressenti cela à travers tout mon corps. Bien entendu, avec ma réaction il a lâché prise. Comme je ne disais rien, il a mis le bout de son index sur le dessus de mon gland, la petite partie qui était maintenant exposée et a commencé à en caresser la surface. C’était meilleur que tout ce qu’il avait fait auparavant et je bougeais avec chaque mouvement. Il a compris que j’aimais ça. Il reprit alors mon prépuce entre ses doigts et décalotta un peu plus bas, je dirais à moitié car c’est à peu près là qu’il s’exerce une résistance et il a mis son doigt encore sur mon gland exposé pour le caressé. Ensuite il l’a pris entre ses doigts et a commencé à le tâtonner en appuyant à l’occasion et en y frottant ses doigts. Je sentais la chaleur de ses doigts. Le moment culminant fut quand il remonta mon prépuce et recommença a le descendre mais cette fois jusqu’en bas, dépassant la couronne. Il a failli perdre prise car cette partie du pénis devient plus petite une fois en bas du gland et ça descend d’un coup. Maintenant je suis découvert au complet et probablement plus bandé que jamais. Est-ce que mon membre va exploser sous la pression? Je suis totalement désemparé, je me laisse allé aux plaisirs que je ressens. Ma sensibilité sur le gland est à son maximum, je sens même l’air que déplace les draps lorsqu’il bouge son bras. J'avais le gout de prendre mon pénis et de me masturber.



Cette fois il peut vraiment sentir mon gland au grand complet et c’est ce qu’il fait. Il le prend dans sa main, enroule ses doigts à l’entour, le frotte de haut en bas, de côté. Je respire très fort et me retient afin de ne laisser sortir aucuns bruits. Il faut surtout pas qu'il pense que je suis excité mais je le suis.



Il veut maintenant recouvrir mon gland avec le prépuce mais. Il essaye de le remonter mais je vois bien qu’il en arrache, mon gland est rendu tellement gros que c’est maintenant difficile de le recouvrir. Il s’acharne sans succès, je croyais bien qu’il y arriverait mais n’en ayant pas lui-même je comprend qu’il ne connaisse pas ça, je passe donc au-delà de ma gêne je lui dis ‘’attends une minute je vais le faire pour toi’’ et je remonte moi-même la peau jusqu’en haut. Il me dit alors, ‘’est-ce que peux réessayé’’ Difficile de dire non. Je vois qu’il est vraiment curieux avec cette peau qui peut couvrir et découvrir le gland. N’était-ce pas là le but de l’exercice, la chose qui nous différencie l’un de l’autre, ce fameux bout de peu. Je le laissai donc découvrir le fonctionnement.



Il recommence alors tout doucement à descendre vers le bas, une fois arrivé presqu’en bas, il remonte doucement jusqu’en haut, il redescend encore une fois et cette fois il se risque à aller jusqu’en bas. Il essaye même de voir quel est le maximum qu’il peut atteindre vers le bas. Il retire ses doigts et prend sa main au complet pour empoigné mon membre. Il remonte alors et encore uns fois c’est plus difficile rendu à la hauteur de la couronne mais il y parvient à mon grand bonheur et satisfaction et se rend jusqu’en haut. Ce mouvement de va et vient fait qu’un petit liquide coule sur mon gland qui devient humide et visqueux, sa main le détecte et il arrête et frotte de ses doigts mon gland découvert. Cette sensation est maintenant très différente. Auparavant, lorsqu’il frottait, je sentais quelque chose à un endroit bien localisé, maintenant, ses doigts glissent et la sensation se transmet sur toute la partie du gland. On était rendu beaucoup plus loin qu’une simple touchette de bout de pénis. Mais force d’admettre que j’éprouvais des sensations auxquelles on peut difficilement se retirer.



Il dit alors, c’est bien vrai que la texture de ton boutte n’est pas comme le mien. Vient voir la différence.



Je suis excité au maximum et c’est à ce moment qu’il décide que c’est mon tour, bon je ne suis pas pour lui dire de continué tout de même. Je remonte mon slip, mais il n’est pas assez haut pour que je rentre ma bite au complet dedans. Je suis pas mal trop en érection pour cela. Je reste comme cela, avec le bout qui dépasse.



Pendant ce temps, je le vois en train de baisser son slip et de s’installer sur le dos. Il me passe un drôle de frisson, je suis sur le point de mettre ma main sur le pénis d’un autre gars. C’est à ce moment que je réalise un peu plus ce qui vient juste de se passer, un garçon m’a pris le pénis dans sa main et me l’a frotté. Il l’a même décalotter jusqu’en bas qui pour moi est l’action qui devient la plus intime. Cette peau qui le recouvre est comme un vêtement, une fois abaissé, je me sens vraiment tout nu! Même aujourd’hui si une fille me regarde nu, si mon prépuce est relevé, pour moi je ne suis pas complètement nu, si elle découvre mon gland, alors là je peux dire qu’on est intime.



Bon, il est allongé à mes côtés. Je ne sais plus si je vais le faire. Après tout, c’est lui qui voulait voir ce que ça avait l’air un pénis non circoncis. Pour moi, un pénis circoncis c’est la même chose que mon pénis avec le prépuce complètement baissé et le gland à découvert. Qu’il me laisse le toucher était peut-être qu’une excuse pour me convaincre au tout début et qu’il n’y tenait pas plus que ça que je mette ma main sur son pénis. Est-ce que je me dégonfle? Une raison qui m’a poussé à accepter le touche-pipi était le fait que lui aussi se ferait toucher le pénis alors comment reculer? Je m’étais dis, s’il me touche pis que je lui touche on est quitte.



Je commence à avoir peur que si je ne lui touche pas, il pourra dire aux autres qu’il m’a touché le pénis et moi je ne pourrai pas alors dire que lui aussi c’est fait touché. C’est niaiseux comme raisonnement mais que voulez-vous, c’est comme ça que je voyais les choses à ce moment. Je me suis dit que si je lui faisais la même chose, il n’en parlerait à personne. Finalement je me suis dit, il prétend que la texture de son gland est différente, et bien je vais allez voir de moi-même. En plus, je me demandais aussi quel était la sensation de toucher un pénis qui n’a pas de prépuce, où arrête la peau? Est-ce que la peau qui recouvre le reste du pénis est différente puisqu’il n’y a pas cette peau flexible qui le recouvre une fois décalotter?



Je pris mon courage à deux mains (et son pénis à une … LOL petite joke pour détendre l’atmosphère) et j’allongé le bras pour atteindre son pénis. Il était déjà en érection avancé. Je l’avais déjà constaté car dans la pénombre de la chambre, je voyais bien que le drap faisait comme un poteau de tente au milieu.



Tout comme moi auparavant, il a réagit lorsque j’ai fait contact. La première chose que j’ai touché c’est son gland puisque j’avais levé le bras pour faire monter le drap et en redescendant c’est la première chose sur mon passage.



C’était curieux, c’était doux et lisse mais dur et sec en même temps. Je ne m’attendais pas à ça du tout. J’ai caressé doucement le gland pendant que je sentais qu’il éprouvait les mêmes sensations que j’avais éprouvées quelques moments auparavant. Je sentis alors mon pénis se raidir et grossir encore une fois, sapristi, je suis en train de bander……..



Je réalise alors que j’ai commencé par la fin, ou du moins touché ce qu’il m’avait touché en dernier. J’ai alors changé de place et commencer à descendre mon doigt le long du dessus de son pénis. J’ai pris son pénis da ma main au complet et refermé la main. La première chose que j’ai remarqué c’est comment son pénis était chaud et qui donnait lui aussi des coups lorsque je mettais une pression. Il se retournait la tête et levait la main droite à l’occasion. Une fois que tu as un pénis dans la main, c’est là que tu réalises comment c’est gros. Je lui ai pogné les testicules mais il n’y a pas eu de période de décalottage puisqu’il n’a pas de prépuce.



Ce fût la première fois que je touchais à un pénis et la première fois que quelqu’un me touchait au pénis.



Mais cela ne s’est pas arrêté là…….. quand j’ai eu fini avec mes attouchements, on est resté allongé sur le dos pendant un bon moment, il a alors commencé à me dire, tu vois, j’avais raison, c’est différent un peu, j’ai été forcé d’admettre que oui. C’est vraiment drôle de voir le prépuce qui s’étire autant que ça, dit-il en partant à rire. Ce rire à complètement détendu l’atmosphère car à ce moment je ne savais plus quoi penser et comment lui se sentait.



Plus à l’aise, je lui dis alors qu’y pas tout vu, ça s’étire vers le bas mais tu peux aussi l’étirer vers le haut bien au-delà du gland pis ça s’ouvre grand aussi. Il me demande alors si j’utilisais la peau de mon prépuce pour me masturber. Réponse qui pour moi m’apparaissait bien évidente, le devient moins lorsque tu réalises que l’autre n’en a pas et que maintenant tu te demandes comment lui il fait? Un sujet auquel je ne m’étais jamais attardé.



Conscient de cette situation qui maintenant me saute aux yeux, je lui réponds que bien oui je m’en sers et que je ne me suis jamais masturbé autrement et que je ne vois pas comment je pourrais le faire sans m’en servir. Ma question pour lui devient alors ‘’comment toi tu fais?’’ Il me répond qu’il se crache dans la main et frotte de haut en bas, tranquillement au début et de plus en plus vite jusqu’à temps qu’il éjacule. Il utilise sa salive comme lubrifiant sinon ça ne glisserait pas au début. Il me dit que son gland est moins sensible au début puisqu’il est circoncis mais qu’il devient extrêmement sensible après quelques mouvement de va et vient. Il m’explique que quand j’ai commencé à lui toucher le bout, la sensation était de plus en plus forte à mesure que le temps passait.



Il me demande alors quand j’ai commencé à me masturbé, comment de fois je me masturbe, si ça gicle fort, est-ce que j’ai beaucoup de sperme qui sort ou juste un peu. On compare nos réponses. Vient alors une question que je n’attendais pas ‘’est-ce que je peux essayer pour voir comment ça marche’’ Je crois avoir compris ce qu’il veut dire mais je commence à rire nerveusement au lieu de répondre. J’aimerais ça voir le feeling que ça fait en s’en servant pis comment ça fait une différence dit-il d’un ton très sérieux. Je vois bien qu’il ne me niaise pas du tout.



Encore une fois je me dis ‘’J’ai quelque chose que tu n’as pas’’ Là je deviens extrêmement gêné mais en même temps je me sens durcir. J’étais déjà en semi-érection puisqu’on parlait de masturbation depuis quelques minutes déjà mais là, je sentais une pulsion me passer à travers le pénis et je ne contrôlais plus les mouvements involontaires qui s’emparaient de mon pénis et le faisait gonfler. Je crois que c’était la première fois que je bandais aussi dure et aussi vite sans me toucher.



Je ne sais pas quoi répondre, il revient à la charge et me dis ‘’J’ai déjà fait monter pis descendre ton prépuce lentement avec mes doigts, c’est pas comme si je ne l’avais jamais fait’’ Il a raison. Come on, tu ne peux pas dire non! Encore une fois, je ne veux pas le contraindre de peur qu’il parle de ce qu’on a fait, si je lui déplais je ne sais pas ce qu’il peut faire.



Je lui dis alors OK tu peux ‘’essayer’’



Étant allongé sur le dos, je baisse mon slip et mon pénis jailli debout bien droit. Je suis déjà en érection et bien dur je dois dire. Mon niveau d’excitation atteint un sommet, je suis tout crispé, j’anticipe ce qu’il va faire et me demande comment je vais réagir.



Il prend mon pénis dans sa main, la referme fermement et commence alors le mouvement de bas en haut. Il le fait avec une poigne solide. Encore une fois je ne dis absolument rien et lui non plus, c’est le silence total à part les bruits provoqués par son bras qui fait bouger les draps. Oh mon dieu que c’est bon, je n’en crois pas mon corps, c’est un peu comme auparavant lorsqu’il m’a décalotter mais la ça va encore plus loin et plus de sensations aigues voir même inconnues. Jamais auparavant je n’avais ressenti cela, c’est bien meilleur que quand moi je le fais c’est tout simplement sublime, divin. Ça ne prend pas beaucoup de temps avant que je commence à sentir quelque chose monter en moi. Je me dis qu’il va arrêter bientôt, avant que j’éjacule, après tout, il a dit qu’il voulait ‘’essayer’’ et c’était maintenant fait, il l’avait ‘’essayer’’. Je mets le mot essayer entre guillemet car je crois que ma compréhension du mot essayer n’a pas été la même que ce qu’il voulait me dire.



Pour moi ‘’essayer’’ c’est de le faire une couple de fois et puis s’arrêter une fois que l’on a compris comment ça marche ou c’est quoi le feeling – ‘’essayer voir comment tu te sers du prépuce’’. De la manière que les choses se présentaient, pour lui, le mot ‘’essayer’’ voulais peut-être dire ‘’essayer de te masturber’’ je crois car il n’arrêtait plus et je m’attendais à ce qu’il arrête. Je ne pensais vraiment pas que j’avais accepté de me faire masturber quoique malgré mon énervement qui grandissait je ne peux prétendre que je ne trouvais pas ça sublime. Par contre, j’étais rendu dans un autre état de stress parce qu’il n’arrêtait pas et je ne savais pas comment lui dire d’arrêter. Les circonstances font parfois bien les choses, à 14 ans, mon frein n’était pas encore étiré ou aussi flexible qu’aujourd’hui, comme je l’ai appris récemment, il s’étire et se place avec le décalottage et les masturbations répétitives.



Comme il n’avait aucune expérience de masturbation avec un prépuce il a commencé à me faire plus de mal que de bien. Je m’explique, la manière dont il s’y prenait faisait en sorte qu’il décalottait au complet le gland jusqu’en bas et remontait jusqu’en haut et il faisait ce mouvement constamment. Au début c’est bon mais quand il prend de la vigueur et va de plus en plus vite ça devient douloureux. J’ai compris aujourd’hui que c’est mon frein qui a rendu cette masturbation douloureuse à ce moment. En combinant mon stress et la douleur, j’ai réussi à ne ma pas venir et finalement mis ma main sur la sienne pour l’arrêter. Ce ne fut pas facile laissé moi vous le dire car j’étais vraiment très proche d’avoir un orgasme et d’éjaculer. Aujourd’hui, je ne crois pas que je serais capable d’arrêter qui que ce soit une fois qu’il aurait commencé mais j’en ai été capable cette fois-là.



J’ai senti que je l’offusquais et il a dit quoi ? quoi? Qu’est-ce qui a? Et je lui ai dit ‘’C’est parce que je suis juste sur le bord de venir’’ Ah! OK d’abord, on va attendre un peu.



Attendre un peu quoi me dis-je? Je restai allongé sur le dos pendant un moment, je sentais encore des secousses dans le pénis mais je n’osais pas le faire paraitre, on dirait que j’allais venir sans même y toucher. Je faisais tout pour me retenir. Tout en me détendant, je repensais à ce que je venais tout juste de ressentir et ma parole c’était absolument incroyable, quelle sensation du tonnerre. Pourquoi est-ce meilleur quand c’est lui qui le fait, pourtant je ne suis pas attiré sexuellement par les gars? Maintenant je sais que se toucher c’est comme se gratter et essayer de sa chatouiller, c’est toujours mieux si c’est quelqu’un d’autre.



Bon c’est pas fini ici, il a quand même dit ont va attendre…… je reste totalement silencieux en espérant qu’il s’endorme ou qu’il pense à autre chose.



Quelques minutes plus tard il me demande si je veux qu’il recommence, je lui dis que non ce n’est pas nécessaire, il a vu comment ça marche. Il me dit alors, veux-tu que je te montre comment moi je la fais avec de la salive, j’ai juste à te décalotter jusqu’en bas et le faire sans ton prépuce. Je dis non, il me dit pourquoi, je réponds que cela, je peux l’essayer moi-même. Il dit alors OK on va faire une course, le premier qui vient.



C’est à ce moment qu’on a commencé à se masturber chacun de son côté et que j’ai gagné la course. Pas de surprise là, j’étais tellement venu près auparavant qu’il ne m’en manquait pas gros et puis en passant, je l’ai fait à ma manière et non à la sienne. Je me demande encore aujourd’hui comment il fait car j’ai beau essayer de toutes les manières que je peux imaginer, se masturber sans prépuce et avec de la salive, je ne comprends toujours pas???



Aujourd’hui avec le recul, je peux vous garantir que je l’aurais laissé aller jusqu’au bout et j’aurais même essayé sur lui……. Le genre de trip qui ne se présente que rarement et qu’on ne peut pas reproduire, on le vit sur le moment et ne fait qu’en avoir un souvenir par la suite. On regrette de l’avoir fait ou de ne pas l’avoir fait mais on regrette toujours quelque chose. Dans mon cas, je me dis qu’il n’est jamais trop tard pour essayer mais l’innocence du moment ne se représentera plus jamais. À ce moment, il n’y avait aucunes préméditations, c’est arrivé tout simplement comme cela. Je ne recherchais pas cela du tout quand j’ai décidé de partager son lit et je croyais que c’était le cas pour lui aussi mais j’ai compris plus tard que tel n’était pas le cas.



Voir ma prochaine histoire de lui avec un de mes copains intitulée *** sa première à lui aussi***