Ma première sturb....
Publié : mer. 01 nov. 2006, 16:38
Pas évident de se remémorer tout ça, pourtant me direz vous c'est un instant inoubliable !
Je pense que c'est un peu par hazard que j'y suis venu. En effet étant très jeune 7env. ans parfois j'étais réveillé par une sensation assez étrange au niveau de mon pénis : des picottements très intenses, qu'une envie alors me prendre la verge à pleine main me la frotter, mais malheureusement quand je touchais mon sexe cette étrange et pourtant délicieuse sensation partait comme elle était venue. Sans doute le fruit de qques penssées érotiques.
Bref c'était très frustrant pour moi, en outre ces épisodes se produisaient de plus en plus rarement.
C'est qques années plus tard que je découvris les joies de frotter mon pénis contre le matelas de mon lit vers 9 ans je pense. Et encore il me fallait outre des pensées érotiques une autre source de stimulation pour accroître encore ce doux rituel : un stimulus olfactif.
J'ai longtemps cherché, salive, sueur, et puis enfin sous vêtements. Là j'ai pris réellement mon pied à "sniffer" mes slips, m'emplir et me délecter de toutes ces délicates éffluves corporelles qui faisaient grandir en moi le désir et durcir mon queue. Mes premières éjacs (enfin si l'on peut dire, car c'était juste du liquide séminale) sont intervenues ver 10 ans. C'était cool car elles ne laissaient pas trop de traces du délit.....
Puis enfin LA révélation. En parlant de manière tout à fait anodine avec un pot (plus âgé), il m'apprend que lui se branle sur le dos, en s'astiquant le pieux à l'aide de sa main.
J'étais vraiment bouleversé (lol), surtout qu'il m'assurait que l'orgasme était beaucoup plus satisfaisant. J'avoue ne pas avoir ménager ma peine dans l'apprentissage de cette nouvelle technique. Qui au départ fût très frustrante puis que je n'arrivais pas à jouir. J'en ai laissé des litres de sueur ds mon plumard avant d'obtenir l'effet recherhé. Et ce fût une révélation, que de vivre cette douce agonie, certains diront une petite mort...moi j'y trouvais une renaissance !!!
Ensuite vinrent mes vraies éjacs, le liquide se tintait d'un blanc laiteux au fur et à mesure de mon apprentissage, pour devenir tout à fait blanc par la suite. Là beaucoup moins cool, car les traces de ms séances masturbatoires étaient visibles. Surtout aux yeux de ma mère, qui lavait le linge. Parfois je dû subir qques remarques au sujet de ces traces jaunâtres laissées au milieu des draps, mais bon...j'en avais trop envie, tant pis, je continuais !
Tant et si bien que je n'ai jamais pu m'en passer, et avec le temps ma pratique s'est perfectionnée (différentes techniques, usage de lubrifiants etc...). Je dois dire que je suis un vrai fanatique de branle.
Je pense que c'est un peu par hazard que j'y suis venu. En effet étant très jeune 7env. ans parfois j'étais réveillé par une sensation assez étrange au niveau de mon pénis : des picottements très intenses, qu'une envie alors me prendre la verge à pleine main me la frotter, mais malheureusement quand je touchais mon sexe cette étrange et pourtant délicieuse sensation partait comme elle était venue. Sans doute le fruit de qques penssées érotiques.
Bref c'était très frustrant pour moi, en outre ces épisodes se produisaient de plus en plus rarement.
C'est qques années plus tard que je découvris les joies de frotter mon pénis contre le matelas de mon lit vers 9 ans je pense. Et encore il me fallait outre des pensées érotiques une autre source de stimulation pour accroître encore ce doux rituel : un stimulus olfactif.
J'ai longtemps cherché, salive, sueur, et puis enfin sous vêtements. Là j'ai pris réellement mon pied à "sniffer" mes slips, m'emplir et me délecter de toutes ces délicates éffluves corporelles qui faisaient grandir en moi le désir et durcir mon queue. Mes premières éjacs (enfin si l'on peut dire, car c'était juste du liquide séminale) sont intervenues ver 10 ans. C'était cool car elles ne laissaient pas trop de traces du délit.....
Puis enfin LA révélation. En parlant de manière tout à fait anodine avec un pot (plus âgé), il m'apprend que lui se branle sur le dos, en s'astiquant le pieux à l'aide de sa main.
J'étais vraiment bouleversé (lol), surtout qu'il m'assurait que l'orgasme était beaucoup plus satisfaisant. J'avoue ne pas avoir ménager ma peine dans l'apprentissage de cette nouvelle technique. Qui au départ fût très frustrante puis que je n'arrivais pas à jouir. J'en ai laissé des litres de sueur ds mon plumard avant d'obtenir l'effet recherhé. Et ce fût une révélation, que de vivre cette douce agonie, certains diront une petite mort...moi j'y trouvais une renaissance !!!
Ensuite vinrent mes vraies éjacs, le liquide se tintait d'un blanc laiteux au fur et à mesure de mon apprentissage, pour devenir tout à fait blanc par la suite. Là beaucoup moins cool, car les traces de ms séances masturbatoires étaient visibles. Surtout aux yeux de ma mère, qui lavait le linge. Parfois je dû subir qques remarques au sujet de ces traces jaunâtres laissées au milieu des draps, mais bon...j'en avais trop envie, tant pis, je continuais !
Tant et si bien que je n'ai jamais pu m'en passer, et avec le temps ma pratique s'est perfectionnée (différentes techniques, usage de lubrifiants etc...). Je dois dire que je suis un vrai fanatique de branle.